randonnee en montagne

Publié le 3 Avril 2024

Le Cap de Pouy de Hourmigué 1685m

Monique en « régionale de l’étape » nous invite à revisiter un sommet que nous affectionnons, nous l’avons maintes fois gravi. Cette crête « des fourmis » dominant la Barousse coté ouest, et la vallée de Luchon coté est, est d’un accès facile et offre un fabuleux panorama.

Plusieurs itinéraires possibles : Monique comptait nous faire démarrer de Sost, mais, comme il faut traverser des terrains humides, voire marécageux, les pluies survenues la veille qui nous ont fait reporter la sortie au lundi, n’allaient pas s’améliorer leur état.

Nous empruntons au départ de l’aire de Pique nique de Permilla (800m), la piste classique de 7 km qui nous conduit au col de Hourques (1510m). Elle possède malgré sa longueur la vertu d’évoluer en terrain sec.

Un petit bonjour affectueux et nostalgique au camion grue (GMC) qui rouille au bord de la piste depuis des décennies, et vers 11h sommes au pied du col. Nous étions partis à 9h, la froideur du matin nous avait encouragés à avoir un départ rapide.

Petite surprise lorsque nous arrivons au col, nous apercevons devant nous le sommet du Hourmigué recouvert de neige. Elle est toute récente et la couche est très fine.

Pour accéder au sommet, la pente est assez raide, il n’y a pas de véritable sentier, on doit monter dans des herbages. Vers midi, le sommet et atteint par Monique et ses 21 camarades. La petite couche de neige en soit n’est pas gênante, mais une bise soutenue assez froide l’est d’avantage.

Contre des rochers nous trouvons un abri au vent et pouvons déguster notre repas montagnard. Il ne va pas trop s’éterniser, la température ambiante n’étant pas favorable à la sieste.

Vers 13h nous quittons, après un dernier regard circulaire sur le panorama, le sommet. Deux groupes se forment. Une minorité va descendre par l’itinéraire de l’aller. La majorité en suivant Jeanne va descendre vers la cabane de Bordes de Pouy située 200m plus bas coté ouest. Cette cabane restaurée ne mérite pas tellement le détour, mais spectacle du passage d’une harde de cerfs et biches récompense ceux qui ont choisi cet itinéraire.

Il faut ensuite par une descente en sous bois retrouver la piste de l’aller. La jonction se fait assez rapidement avec les camarades qui sont passés par le col. Il reste un peu plus d’une heure pour atteindre l’aire de Permilla. Nous y sommes vers 15h30. Nous avons dénivelé 900m et parcouru 16 ou 18km suivant les 2 itinéraires.

Un excellent « club privé » nous attend à Esbareich, lieu de résidence de Monique, cherchez l’éventuelle corrélation !! Des crêpes à profusion et diverses boissons plus ou moins gazeuses vont nous permettre de fêter plusieurs anniversaires. Nous y restons « un certain temps ».

Chacun ensuite regagne son foyer.

Très belle randonnée, magnifique accueil dans ton « club privé », tu nous as gâtés Monique !

Un très grand merci.

S de l’A

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Publié le 26 Mars 2024

Les Estives de Mont

En ce dimanche des rameaux, bien ensoleillé sur les sommets, Maryse nous invite à faire une randonnée au départ de Mont, joli petit village situé près de la route du col de Peyresourde.

Nous ne sommes pas moins de 28 pour répondre à son invitation. Nous quittons Mont (1293 m) à 9h et commençons à monter une petite série d’escaliers qui nous conduisent à une piste, puis à un sentier orienté plein nord, vers le col de Coulantigue (1620 m). Inutile de le chercher sur la carte IGN, il n’en a pas les honneurs ! Nous sommes au pied du cap de Tuquet qui nous domine de 220 m. Un sentier à la pente assez soutenue nous y conduit directement. Il est aussi possible d’y accéder en le contournant par l’ouest, la pente sera moins raide, mais il faut tout de même gravir ces 220 m. Certains empruntent le sentier direct, d’autres préfèrent le contournement.

Nous nous retrouvons tous vers 11h30 sur ce cap de Tuquet. Le splendide panorama proposé par tous les sommets de ce secteur a souvent été décrit, inutile d’y revenir ; mais on ne se lasse jamais de le contempler. L’envie de pousser vers le cap de Peyrehicade puis, pourquoi pas, vers le soum de l’Aigle est présente chez certains, mais ce n’est pas le but de la randonnée.

A 300 m sous nos pieds, se trouve la cabane de Balencous, c’est en ce lieu que nous ferons notre repas. Nous dégringolons ces 300 m sur des restes de névés, là où dimanche dernier la neige était encore abondante !! Cette neige résiduelle est un peu dure, il vaut mieux bien « planter les talons », mais la descente se fait sans problèmes et à midi tout le monde est aux abords de la cabane.

Une série de petits rochers plats procure de confortables sièges. Nous y fêtons l’anniversaire de notre cheftaine et savourons une bonne heure de repos.

Un peu après 13h, nous repartons. Nous n’avons pas loin de 7 km à parcourir.

Nous prenons la route forestière de Balencous puis nous montons en sous- bois pour atteindre la crête de Portet qui nous gratifie à nouveau d’un magnifique panorama. Nous descendons par un sentier qui, contournant Cazaux-Dessus, nous conduit au cimetière de St Calixte.

Encore 2 bons kilomètres et à 16h, nous retrouvons Mont. Quelques jambes sont un peu lasses !

Nous avons dénivelé 800 m et parcouru un peu plus de 13 km.

A Arreau, notre café habituel accepte d’accueillir gentiment notre troupe nombreuse et forcément un peu bruyante. Nous y passons comme toujours un agréable moment.

Et vient la séparation !!

Nous te remercions vivement Maryse pour cette superbe randonnée très bien gérée.

S de l’A


 

Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
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Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
Les Estives de Mont
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Publié le 12 Mars 2024

Le Cap des Barres 10/03/2024

Les deux dernières sorties du Club ayant été annulées à cause du mauvais temps, Monique avait à cœur de faire l'impossible pour assurer la sienne ce dimanche malgré des prévisions météo assez pessimistes. Hésitant entre la Montagne d'Espiau et la forêt de Barbazan, ce sont finalement les crêtes de Cirès qui ont fait l'objet de son choix, qui finalement fut le bon.

Vers 10 h, après distribution des ARVA obligatoires par temps de neige, nous sommes neuf à emprunter la piste qui démarre dans le virage en épingle au-dessus de Bourg-d'Oueil, à 1407 m, sur la route du Port de Balès. Le sol est encore gelé, mais rapidement, le soleil nous souhaite la bienvenue.

Après le passage du Ruisseau de Rustier, vers 1470 m, nous trouvons la neige qui décide certains à chausser les raquettes. Nous progressons sur la piste, qui sur la neige de plus en plus épaisse, qui sur les bandes herbeuses découvertes par les températures élevées de ces derniers jours.

Il n'est pas loin de midi quand nous parvenons en vue du petit sommet du Cap des Barres (1767 m.) qui surplombe de quelques mètres une cabane en tôle bien connue des randonneurs. Certains s'y rendent directement, d'autres font un petit effort supplémentaire pour accéder au sommet afin d'y jouir d'un panorama plus large sur la Vallée d'Oueil encore un peu ensoleillée et sur les grands sommets du luchonnais bien accrochés par le mauvais temps. Nous avons une belle vue sur le Cap de la Lit très enneigé qui était au programme aujourd'hui, sur le Sommet de l'Aigle prévu pour dimanche prochain, le Pic du Lion, le Mont Né, le Pouy de Pradaus, et même le Sommet d'Antenac souvent visités par le Club.

Le repas est pris au soleil et à l'abri du vent près de la cabane, puis un peu avant 13 h nous entamons la descente sur les traces de la montée. Le dernier kilomètre est parcouru sous une bourrasque de neige fine qui nous rappelle que nous sommes encore en hiver. Heureusement, elle ne dure pas et le soleil refait son apparition dès notre retour aux voitures ce qui nous laisse le loisir d’improviser un petit pot de fin de rando agrémenté des délicieuses gaufres proposées par notre nouvelle amie.

Merci Monique pour cette sympathique randonnée à raquettes de 8,7 km pour 400 m de D+ bien calibrée pour s'inscrire dans un créneau météo bien agréable.

JP

Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
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Publié le 20 Février 2024

Crêtes des Baronnies

Notre amie Jeanne « régionale de l’étape » nous propose de faire une sortie sur « ses terres ».

Les propositions de randonnées de Jeanne étant toujours intéressantes et souvent innovantes, nous ne sommes pas moins de 24 à répondre à son invitation.

Nous démarrons vers 9h de Bourg-de-Bigorre, le chef-lieu du canton de ces baronnies qui ont gardé leur caractère pastoral et authentique. Nous empruntons primitivement une série de routes goudronnées qui, nous faisant monter d’une centaine de mètres par un arc de cercle centré sur un lieu-dit « Mondirous », nous fait ensuite partir plein sud sur une petite crête en direction d’Esconnets. Une belle vue nous est déjà offerte sur ce passage en crête. Assez rapidement, nous apercevons Esconnets, il reste tout de même plus de 4 km pour y arriver. Qu’importe, le temps est très agréable, la troupe marche bien. Vers 11h30, nous sommes au pied de ce village. Une petite grimpette de 150 m nous y fait parvenir.

En ce lieu, Jeanne nous précise qu’à une centaine de mètres, une très agréable aire de pique-nique nous permettra d’y prendre notre repas. Mais il est loin d’être midi, 2h30 de marche, ce n’est rien !! Payons-nous un petit sommet. C’est ainsi que, nous dirigeant sud-ouest en passant par le col de la Pède, nous allons gravir le Castet 781m. Ce sera le point culminant de notre randonnée. Un grandiose point de vue récompensera ceux (mais pas tout le monde, il y a toujours hélas, des « tire-au flan ! » la nature humaine est ainsi faite.) qui y sont montés. Nous revenons par l’itinéraire de l’aller et un peu avant le col de la Pède, nous partons à droite, plein Est, sur un sentier qui nous fait descendre une cinquantaine de mètres pour nous les faire remonter, mais nous conduit directement sur cette aire de pique-nique que Jeanne nous avait habilement fait miroiter depuis tout à l’heure.

Il est 12h45 et c’est avec plaisir que nous ouvrons nos sacs pour en sortir la nourriture ainsi que les petites douceurs solides et liquides qui agrémentent et scellent gentiment la cohésion du groupe.

Après ce bon moment passé à table, Jeanne nous propose un itinéraire retour différent de celui de l’aller. Nous descendons vers l’est des sentiers qui nous conduisent à Fréchendets puis nous traversons un petit ruisseau nommé l’Esquéda. Ce joli ruisseau, tout petit, tout timide, affluent de l’Arros, a tout de même creusé une vallée de presque 200 m de profondeur dont nous devons remonter la rive droite pour aboutir sur une petite crête étroite orientée sud-nord, qui va nous ramener à Bourg-de-Bigorre.

Bien contents d’être arrivés ; nous avons parcouru 18 km et dénivelé, en cumulé, 700 m. Somptueuse randonnée.

Jeanne, étant consciente de l’effort qu’elle avait demandé à certains, s’était souciée par anticipation du point de chute que nous cherchons habituellement, des fois vainement, dans « quelques bistrots ». Elle nous a réservé des places dans un café du village.

C’est une attention qui fut très appréciée, tout le monde put commander des boissons chaudes ou fraîches suivant les goûts et déguster, entre autres, des crêpes apportées par une amie qui est coutumière du fait. Merci Monique !!

Jeanne, tu nous as donné l’occasion de faire une magnifique randonnée, un peu physique, ce qui ajoute à son charme, mais tellement agréable. Ta gestion de la « 3ème mi-temps », fut la cerise sur l’excellent gâteau.

Nous t’adressons un grand merci.

S de l’A


 

Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
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Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024

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Publié le 12 Février 2024

Cabane de Camous 11/02/2024

Ce deuxième dimanche de février Thierry nous propose d'aller revoir les cabanes de Jézeau , un grand classique des randonnées à raquettes quand il y a de la neige. Elle était annoncée pour ce week-end, mais il fallait beaucoup d'optimisme ce matin pour se rendre au rendez-vous après une nuit de pluie. Pourtant, nous sommes treize à démarrer d'Ardengost à 1080 m vers 9h20.

L'accès au village étant interdit aux voitures « étrangères », nous les laissons en contrebas et accédons au sentier de la Lit par une rampe un peu raide. Nous progressons plein Est d'abord à plat puis rapidement la pente devient de plus en plus raide. Nous passons près de belles granges bien restaurées sur un joli chemin de calade. La neige tombe maintenant , la température a l'air de se rafraîchir un peu et le paysage blanchit de plus en plus.

Vers 1250 m, nous parvenons à la bifurcation avec le sentier menant au col des Sonères. Il est un peu plus de10h et la neige tombe toujours. Quelqu'un émet l'idée que les cabanes de Jézeau étant fermées le pique-nique sous la neige risque de ne pas être très agréable et qu'après le col des Sonères il y a la cabane de Camous qui elle est toujours ouverte. Motion adoptée et le cap est mis sur le col. Il se situe 400 m au-dessus, mais le sentier qui y conduit est ancestral, donc bien tracé par les anciens qui faisaient par là des échanges entre les vallées d'Ardengost et de Nistos. Le dénivelé est avalé en une heure sous un vent de plus en plus acerbe et la neige qui pique le visage.

Au col des Sonères à 1680 m, il est 11h15 et un panneau indique la cabane de Camous à 30 minutes, juste pour l'heure du déjeuner. Le sentier a disparu sous la neige, mais le lieu étant bien connu de presque tous, nous n'avons aucun mal à trouver la cabane toujours nichée au pied du Mountarrouy émergeant de temps en temps des vagues de brouillard neigeux.

Tel un troupeau de vaches regagnant  leur étable après le pacage, c'est presque en courant que le groupe dévale la pente qui mène à la cabane. Elle est petite, mais tous arrivent à s'asseoir et c'est dans la bonne humeur de rigueur que le repas est consommé, précédé d'un bienvenu et excellent vin chaud apporté par notre « chef » du jour.

Après quelques chansons et à court de vin, il est un peu plus de 13h quand le signal du départ est donné. Bonne surprise la neige a cessé de tomber, le vent a faibli et c'est sous un pâle soleil intermittent que nous remontons l'arête Nord du Plat de l'Estaque pour rejoindre le Col des Sonères. Nous suivons le sentier de la montée, avec mille précautions, car il est devenu boueux avec la neige fondante. Bien exposé au Sud le paysage a bien changé, car la neige disparaît rapidement sous l’action du redoux annoncé et déjà présent. Elle n'est plus qu'un souvenir quand nous atteignons Ardengost et les voitures vers 15h.

C'est ensuite le traditionnel pot de l'amitié avec pâtisseries pris dans le plus british des bistrots d'Arreau.

Comme cela arrive parfois le calendrier des sorties du Club de Montagne d'Anères n'a pas été respecté à la lettre mais, sachant nous adapter aux conditions météorologiques, nous avons effectué une superbe randonnée hivernale de près de 700 m de dénivelé pour un peu plus de 10 km.

Merci Thierry.

JP

 

 

 

 

Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous

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Publié le 6 Février 2024

Le pic Saint-Vincent 1944 m

Nous avions une revanche à prendre, et nous avons attendu 7 ans pour l’assouvir.

Petit retour en arrière : au printemps 2017, Jean-Pierre nous conviait au pic St Vincent. Mais la météo ne nous était pas favorable et un vent très violent avait accompagné la seconde partie de notre ascension. Nous étions arrivés au sommet, ballottés par le vent, et tout de suite redescendus, ne profitant aucunement de la beauté du panorama.

Après 7 ans de réflexion, nous refaisons une tentative. La météo est idyllique, Eole se repose.

Ce ne sont pas moins de 25 randonneurs, toujours sous la direction de Jean-Pierre, qui quittent le Chiroulet à 9h et prennent la piste qui conduit au Courtaou de la Lit (1500 m) et ses jolies cabanes. Une pensée pour Georges Buisan à qui l’on doit cette belle restauration. Après une petite halte dans ce lieu familier, nous partons plein ouest vers la cabane de Bénaquès située 150 m au-dessus. Nous commençons à trouver quelques petites plaques de neige, mais vraiment peu de choses alors que nous évoluons vers 1600-1700 m.

Nous montons toujours vers l’ouest et apercevons bien à notre droite encore un peu loin et haut pour certains, le pic Saint-Vincent. Il paraît avoir un abord un peu rébarbatif, surtout avec sa face Est verticale. Mais il suffit de le contourner par l’ouest, on aboutit sur une large crête et, sur une pente modérée, on arrive au sommet. Nous y arrivons en ordre dispersé vers midi.

Le temps magnifiquement beau et clément nous permet d’apprécier un grandiose panorama, cela valait la peine d’y revenir !!

Nous prenons notre temps pour manger et profiter de l’environnement.

Vers 13h15, nous redescendons par le même itinéraire, quelques, tout petits névés agréables à descendre, et nous nous trouvons rapidement à la cabane de Bénaquès. Ensuite, par des itinéraires légèrement différents (parce qu’il y a d’autres petites cabanes à visiter) nous nous retrouvons aux cabanes de la Lit.

Nous avons choisi d’y fêter un anniversaire. Ce lieu s’y prête si bien. Rien ne nous presse, nous y séjournons une heure.

Nous quittons enfin, comme à regret, ces cabanes et descendons retrouver nos voitures.

Nous avons tout de même dénivelé 900 m, mais sur un terrain globalement facile.

Tu as eu grandement raison de nous y ramener.

Merci, Jean-Pierre

S de l’A


 

Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
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Le Pic Saint-Vincent 1944 m
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Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m

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Publié le 30 Janvier 2024

Les crêtes d’Aulon

Maryse nous enjoint de l’accompagner sur des lieux qui lui sont très familiers. Un petit massif orienté ouest-est sépare les vallées du Lavedan au nord et de la Neste au sud. Nous avons plusieurs fois foulé sa crête large et facile.

Le projet initial consistait à parcourir ce terrain en raquettes. Mais un petit détail manquait : l’absence de neige !! Nous nous en passerons et les raquettes seront privées de sortie !!!

Nous sommes 19 à retrouver Maryse à Soulan (1330 m), à 9h. Nous partons par le sentier des Nobis. Miserere !! Il nous prend à froid. Il est bien raide, pas le temps de chauffer ou souffler. Durant 200 m, sa déclivité ne se dément pas. Nous arrivons enfin à 1574 m sur le GR 10. La pente sera moins raide !!

Nous suivons un peu le GR 10 vers l’ouest, puis nous l’abandonnons pour monter dans de vastes herbages vers un petit sommet nommé « le Serre » à 2004 m. Nous y sommes vers 11h25. Non loin de là, nous trouvons une bonne plate forme qui nous sert de salle à manger.

Il fait beau, il souffle une brise d’autant plus légère que nous sommes assis. Placés en cet endroit, nous profitons d’un fabuleux panorama ! C’est toujours ainsi sur tous les sommets, mais nous sommes au seul endroit où l’on peut avoir une vision aussi précise de la face Sud de l’Arbizon. On ne voit pas les granges de Lurgues qui sont trop en contrebas, mais on devine bien, ensuite, tout l’itinéraire de son ascension : les rochers au niveau de la fontaine de Coulariot, la brèche d’Aurey et la montée finale.

Revenons à notre repas que nous terminons vers 12h30. C’est là que Maryse va se distinguer par rapport à nos précédentes randonnées sur ce même terrain. Nous sommes toujours redescendus en reprenant l’itinéraire de l’aller.

Elle nous fait partir vers l’ouest où nous trouvons un minuscule lac gelé, puis un peu plus loin, un autre lac un peu plus vaste, mais tout aussi gelé. Certains s’y hasardent un peu.

A une centaine de mètres, nous retrouvons le GR 10 et allons le suivre plein Est sur environ 5 km. C’est un très agréable sentier, primitivement en corniche sous « le Serre » il descend ensuite sur de vastes herbages vers le cap de Pède. Durant ce parcours, nous avons toujours la splendide vue sur l’Arbizon et le village d’Aulon. Un peu plus loin, nous apercevons les granges de Lurgues, ainsi tout l’itinéraire de la montée de ce mythique est sous nos yeux.

Une petite éminence : le soum de Pacou (1612 m), sera le but ultime de notre traversée.

Nous descendons vers les granges de Grascouéou, puis nous prenons la piste bien connue qui nous conduit jusqu’à la route du Pla d’Adet où, une voiture judicieusement bien placée portera les conducteurs dont les voitures se trouvent 1 km plus haut, à Soulan.

Un café à Arreau qui depuis plus d’un siècle porte le nom d’une capitale étrangère, nous accueille chaleureusement et nous permet de bien terminer cette journée.

Tu nous as proposé une bien belle randonnée. Nous pensions bien la connaître, mais avec toi, nous l’avons très agréablement redécouverte. Merci Maryse.

S de l’A

La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m

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Publié le 23 Janvier 2024

Le Mondoto 1959 m

Ce sommet ne nous est pas inconnu, nous l’avons gravi en septembre 2020. La beauté du panorama qu’il nous offre, l’à-pic vertigineux de sa face Est sur le Cañon d’Añisclo, tout ceci a été décrit, et notre seul désir était d’y retourner.

Ainsi, lorsque Francis a proposé cette sortie, nous sommes 18 pour être au rendez-vous. Il y a un bémol non négligeable à apporter à ce projet, ce sont les 2h30 de route pour y accéder. Le splendide Haut Aragon se gagne !! Partis à 7h45 de La Barthe de Neste, nous démarrons à 10h30 de Nerin, ou plutôt à côté de l’ermitage de Santa Maria à 1350 m.

Le sentier bien tracé, mais rocailleux nous conduit au col de la Balsa (1800 m). Il ne reste plus qu’à gravir 150 m de dénivelé sur un terrain un peu herbeux, un peu caillouteux et un tout petit peu recouvert de neige. Ne pas oublier que nous sommes fin janvier et qu’à cette altitude la neige devrait être plus abondante. Par contre la nuit a été froide, et il vaut mieux éviter les plaques de glace au sol.

Aux alentours de 13h, tout le monde est au sommet. Nous nous éloignons légèrement du bord vertigineux de sa face Est, nous trouvons des petits rochers émergeants de la mince pellicule de neige qui nous procurent de bons sièges dans ce restaurant d’altitude.

Un dernier coup d’œil sur le fabuleux panorama, vers 14h, nous repartons non sans avoir rendu visite à une toute petite cabane marquée sur une carte comme « cabana de Pietra »

Aux environs de 15h30, nous retrouvons nos voitures et prenons la route d’Escalona. L’itinéraire du retour nous permet d’admirer peu après Buerba le massif des Sestrales. Magnifique !!

Hélas, arrivés à Escalona, nous ne trouvons aucun café ouvert. Bien dépités, nous repartons vers Bielsa où, au centre-ville, un établissement ouvert et accueillant, nous permet de passer un bon moment.

Peu après 18h nous quittons l’Espagne. Il fait nuit, côté français, il faut faire attention à l’état de la route, légèrement verglacée par moments.

Chacun rentre sans encombre et il ne nous reste plus que le souvenir de cette magnifique randonnée et la belle journée qu’elle nous a permis de passer.

Grand merci à toi, Francis.

S de l’A

Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
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Publié le 15 Janvier 2024

Plo del Naou 15 Janvier 2024

Dimanche dernier, nous avions reporté le Plo del Naou pour cause de grand froid, c'est donc aujourd'hui que Thierry nous y mène en remplacement de Marydany indisponible.

Nous démarrons vers 9h du lac de Payolle à 1130 m. Nous sommes 17 à suivre la route qui contourne le lac. Certains chaussent les raquettes, d'autres non. A la limite Ouest, nous tournons à gauche vers la forêt du Différend. C'est ici que commence l'ascension proprement dite. La pente est raide et nous prenons rapidement du dénivelé, puis, après avoir traversé un chaos de sapins abattus par la dernière tempête nous sortons de la forêt pour trouver un beau soleil qui va nous accompagner jusqu'au sommet. Nous y sommes vers 11h45, nous sommes à 1752 m et avons gravi 622 m de dénivelé.

Le temps d'un peu de repos et d'admirer le somptueux panorama enneigé nous reprenons la marche à la recherche d'un endroit propice au pique-nique. Nous le trouvons sur le bord de la Crête de Bidour au moment ou le sentier aborde la forêt. Tassant un peu la neige chacun aménage son site.

Nous repartons vers 13h15, mais au lieu de suivre la piste habituelle à l'ombre, nous continuons sur le bord de la crête sur un sentier où la neige commence sérieusement à virer à la boue sous l'effet du réchauffement rapide de la température. Le parcours est ensoleillé, très agréable, bien que parsemé de petites bosses et de pitons rocheux nous obligeant à absorber un supplément d'un dénivelé déjà conséquent.

On achève enfin la montée pour basculer dans la forêt sur une pente très raide rendue glissante par la neige et après quelques zigzags nous rejoignons la piste classique aboutissant au Col d'Aspin.

Petite halte de regroupement et nous nous engageons sur la piste en contrebas de la cabane. Nous la suivons plein Ouest dans le bois de Cloutet et après quelques lacets, nous rallions le stationnement au bord du lac où nous retrouvons nos quatre amis de la rando alternative.

Merci Thierry d'avoir mené notre première sortie hivernale de l'année qui nous a fait parcourir 11,5 km pour un dénivelé de 700 m.

JP

Cabanes de la Hosse 1430 m

Alors que leurs camarades s’attaquaient vaillamment au Plo del Naou, une très modeste équipe au nombre de 4 individus, tout juste pour faire une équipe de belote ou de Monopoly, rallia elle aussi Payolle avec 1h de retard sur leurs camarades, et avec des ambitions plus modestes.

Nous trouvons opportunément une place de parking à coté de celles de nos amis. Nous ne nous munissons pas de nos raquettes, ayant eu des informations que la couche de neige ne sera jamais bien épaisse. Contournant le lac de Payolle par le nord et avec quelques hésitations, nous trouvons le sentier qui au départ est commun à notre but de randonnée et au départ du Plo Del Naou.

Ce joli sentier nord-sud traverse la forêt du Différend, il se hisse sur sa crête pendant environ 1 km. C’est le plus fort de la montée. A une intersection, vers la gauche, nous voyons maintes traces de raquettes, une petite pensée pour nos amis qui ont emprunté ce sentier pentu. Nous continuons plein sud, sur un faux plat montant et atteignons une importante clairière nommée le Clot des Artigous. Après ½ h de marche de nouveau dans la forêt, nous débouchons vers 1400 m sur le plateau des cabanes de la Hosse et la route de la Hourquette d’Ancizan.

Près de la cabane, occupée par plusieurs groupes de randonneurs, nous trouvons un rocher plat qui, une fois libéré de sa neige, nous sert de table et de sièges.

Il est midi, nous ouvrons nos sacs et entamons notre repas. En levant la tête nous voyons le sommet du Plo Del Naou situé 350 m au-dessus de nous.

Un pâlichot soleil par moment vient légèrement nous réchauffer. Nous ne nous attardons pas trop toutefois et bien avant 13h, nous quittons ce lieu. Nous prenons la route des granges de Camoudiet, puis après avoir traversé le ruisseau d’Artigou, nous prenons la piste qui le longeant rive gauche, nous ramène sur Payolle.

Payolle est un lieu touristique très familial, nous croisons au bord du lac beaucoup de familles et de petits enfants sur des luges. Nous croisons aussi beaucoup de chiens !!

Etant, arrivés vers 14h30 aux voitures, nous attendons nos camarades qui nous font la surprise de déboucher à l’opposé du lieu où nous les guettions. Un bon point pour leur chef, qui s’est ainsi révélé être un grand stratège militaire. « Toujours surprendre l’ennemi en le contournant !!! »

Heureux de nous retrouver, et après quelques tergiversations étant donné notre nombre (21) et la quantité de personnes dans les cafés de Payolle, c’est à Bagnères que nous trouvâmes (comme souvent) un accueillant bar qui nous permis de bien terminer cette journée.

Ce petit circuit de Payolle vers les cabanes de la Hosse est bien sympathique. Avec ses 300 m de dénivelé il n’est pas bien fatigant 

S de l’A

Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
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Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
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Plo del Naou et Cabanes de la Hosse

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Publié le 9 Janvier 2024

Hospitalité Auroise,

En ce premier dimanche de l’année 2024, comme il se doit, il fait froid, il y a des risques de chute de neige dès la moyenne altitude et une bise assez soutenue nous caresse le visage.

La randonnée initialement prévue : le Plo Del Naou risquait de rebuter un peu de monde.

Notre ami Francis du village d’Arreau, nous propose une journée de randonnée clé en main : nous allons commencer par faire un agréable circuit d’une douzaine de kms dans les environs d’Arreau, puis, argument essentiel, nous pourrons manger dans un gîte chauffé et très confortable. Il ne faut jamais oublier que : dans l’art de proposer une randonnée en montagne, « le difficile est de bien savoir (où ?) poser les fesses « (pour le repas de midi).

Rassurés par ce projet logistique parfaitement élaboré, nous sommes 18 ; nous démarrons vers 9h40 de l’ancienne gare SNCF d’Arreau. Pendant une soixantaine d’années, un joli petit train a circulé d’Arreau à Lannemezan. Il en reste de nombreux vestiges. C’est justement en longeant cette voie ferrée désaffectée que nous nous dirigeons vers le village de Fréchet-Aure. Ce petit village légèrement à l’écart de la route d’Espagne et des stations de ski a gardé le charme de tous ces villages de montagne, sa mairie pittoresque, sa petite église romane du moyen-âge dédiée à St Saturnin, ses maisons accrochées à la pente du terrain. C’est toujours un plaisir de les traverser.

Nous reprenons ensuite, la direction d’Arreau en passant par le chemin des écoliers. Un premier arrêt pour visiter la grotte de Peyrère. Elle est assez profonde, nous y pénétrons (presque) silencieusement pour ne pas réveiller une éventuelle famille d’ours qui y séjourneraient .

Puis, abandonnant le Gr 105 sur lequel nous étions depuis Fréchet-Aure, petite scission (ça rentre dans les gènes du club !!) : Certains bifurquent sur un sentier qui hisse en quelques lacets sur la Crête des Pierres et part Sud Est vers Jézeau. Il s’est élevé de 150 m, le tapis de neige est un peu plus conséquent qu’au niveau du Gr, mais rien de bien méchant. Une descente d’abord assez douce, puis vers la fin un peu plus raide et glissante conduit à Jézeau. Les autres continuent d’arpenter le Gr 105, passant par Pailhac, ils distinguent leurs camarades qui évoluent 150 m au-dessus, allant dans la même direction, et comme par hasard les 2 groupes se retrouvent à Jézeau.

Quelle que soit l’émotion des retrouvailles, il est 13h et il nous reste 30mn de marche soutenue pour rallier Arreau son gîte et sa nourriture. Nous prenons tout de même le temps de traverser la parcelle des jardins communaux d’Arreau ainsi que le poulailler lui aussi communal qui est encore en activité. C’est un bel héritage ancestral.

Nous voici au gîte vers 13h30, la réception que nous y a réservée Francis est au-delà de nos attentes, alors que nous connaissons déjà son grand sens de l’hospitalité. La chaleur de l’accueil est autant physique que morale . Sans entrer dans les détails, il faut croire que nous y fûmes très bien, car, lorsque nous quittâmes ce lieu, il faisait nuit .

Francis, nous te remercions doublement, d’abord pour l’agrément de la randonnée et surtout pour le mémorable moment que tu nous as fait ensuite passer.

Tu as eu tort, nous allons en redemander !!!

S de l’A

Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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