randonnee en montagne

Publié le 18 Juillet 2022

 

   Pour ce Dimanche 17 Juillet 2022 Richard propose au calendrier le Pic et le Lac de Gourguet respectivement à 2619 m et 2218 m.

   C'est un jour de canicule annoncée et il fait déjà doux quand nous démarrons vers 8h40 du stationnement du Lac d'Aubert à 2158 m. Nous sommes dix à prendre le sentier qui contourne par l'Ouest le Lac d'Aumar puis au bout du lac nous obliquons vers le Nord pour gravir la crête d'Estibère jusqu'au col d'Aumar à 2381 m. tout en profitant d'une vue somptueuse sur Massif du Néouvielle se reflétant sur le miroir du lac.

    Le col , très fréquenté, est atteint en un peu moins d'une heure puis c'est la bascule et toujours plein Nord nous atteignons le Lac Supérieur qui est contourné par l'Ouest et après une bonne montée de 150 m nous arrivons au pied du Pic de Gourguet tout près du petit laquet qui le ponctue.

    Il reste 150m avant le sommet que s'offrent huit volontaires allégés de leur sac. Il est 11h20 et le panorama qui s'offre à nous est grandiose avec au Nord le val d'Aygues-Cluses et ses multiples lacs et au Sud le Vallon d'Estibère tout aussi pourvu.

    Quand tous les grimpeurs sont redescendus au pied du Pic il est midi et il nous reste 250 m à descendre pour atteindre le Lac du Gourguet et sachant qu'il faudra les remonter après le repas sous la canicule qui commence à se faire bien ressentir tout le monde accueille avec plaisir et soulagement la proposition de Richard d'aller pique-niquer sur les bords du lac Supérieur croisé à l'aller.

    Un replat herbeux au bord de l'eau nous accueille pour un repas bien mérité et même pour une baignade revigorante pour certains.

     C'est ensuite le retour vers le Col d'Aumar une soixantaine de mètres plus haut puis la descente vers le Lac d'Aumar puis vers les voitures atteintes à 15h 40  .

 

     En cette chaude journée nous aurons parcouru 10,260 km pour un dénivelé cumulé de 626 mètres.

                           Un grand merci Richard !

Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet
Pic de Gourguet

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 11 Juillet 2022

Il y a 2 ans Josiane nous avais fait découvrir une série de très beaux lacs dans la région du refuge du Miguelou. Hélas (X3) nous avions été victimes d’une mauvaise météo qui nous avait imposé un brouillard persistant durant toute la randonnée.

Jean-Pierre relève le défit et nous propose à nouveau de parcourir ce circuit. La météo,  cette fois-ci  nous est favorable et nous évoluerons nous un ciel limpide.

Le départ est donné à 8h50 de la centrale électrique du Miguélou.  Le même escalier au départ ainsi que le même sentier raide et pierreux (mais les pierres sont sèches) nous attendent. Au fur et à mesure de notre ascension nous découvrons un paysage splendide. Les abords du sentier sont bordés  d’une magnifique flore.

 Nous arrivons  au  lac des Touest (1900m) et vérifions  que sa réputation n’est pas usurpée. Un petit lac sauvage reflétant de manière  étonnante les parois rocheuses qui le bordent, il est magnifique. Nous  le quittons et reprenons  le sentier ascendant qui nous conduit au sommet de la conduite forcée que nous avons plus ou moins longée depuis le départ.

Ensuite,  nous marchons sur le ballast et les traverses des  rails de la voie ferrée qui a servi  lors de la construction du barrage du Miguélou. Nous arrivons enfin au bord du lac de Lassiédouat, plus grand et moins sauvage que celui des Touest.

Une dernière grimpette de 80m et nous atteignons vers 13h , le refuge du Miguélou (2278m) et son lac, point culminant de la randonnée. Le repas sera pris non loin de là.

Vers 14h, nous levons le camp, longeons le barrage avec ses éperons en bétons déjà cités il y a 2 ans,  et entamons le sentier de la descente. Il est très pierreux au départ et un peu moins par la suite. Il faut environ 2 h pour le descendre et arriver au Pla d’Asté, 900m plus bas,  où une voiture appartenant à un camarade qui, se moquant de l’esthétique des lacs parcourus, a préféré faire une petite randonnée moins pénible. Il a  ainsi  pu se trouver sur le point d’arrivée ( la paresse a elle aussi des vertus) et  ramener  les conducteurs à leurs voitures situées  500m au dessus, à la maison du parc.

Un  café très accueillant à Arrens,  que nous avons déjà  fréquenté, nous permet de prendre des rafraichissements bienvenus et bien mérités.

Même si elle fut un peu sportive et exigeante, ce fut une très belle randonnée.

Merci Jean-Pierre

Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou
Circuit Miguelou

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 5 Juillet 2022

Ce sommet ne nous est pas inconnu. Il suffit de partir de la station de Nistos – Cap Nestes, se diriger vers la cabane d’Ilhet, le col de Saunères , et moins de 100m au-dessus on aboutit au Plat de l’Estaque. Ce n’est pas un circuit bien montagnard a pensé Danièle,  tout juste une balade digestive !

Elle va muscler cela. Nous sommes 11 pour la rejoindre à Sarrancolin. De là, nous allons à Chagarde, un tout petit hameau à l’Est du village de Camous. (La route qui y amène part d’Hilhet). Du petit espace où nous laissons les voitures (950m), nous pouvons apprécier les falaises du Cap des Pènes qui paraissent bien hautes et redoutables.

Nous démarrons à 9h sur une piste que nous abandonnons très vite au bénéfice d’un sentier dans la forêt, si petit, si timide qu’il ne figure sur la carte qu’en pointillés qui s’interrompent sans raison. Il n’est pas caillouteux mais souvent très raide. Nous gagnons ainsi rapidement de la hauteur,  nous quittons la forêt  et traversons un important « champ » de fougères. Ensuite l’horizon s’éclaircit, nous sommes sur des pelouses et voyons le Plat de l’Estaque bien en face de nous, il reste 200m à gravir.

Une petite dispersion s’opère dans le groupe. Il  y a vers la droite la cabane  d’Ardengost  avec ses belles façades en bois  et son  toit végétalisé. Certains vont la visiter.  Il y a le Mont Arrouy (1805m) que d’autres ou les mêmes voudront gravir.  Il y a ensuite ceux qui se contentent du Pla. Ils y arrivent  vers 11h15, font connaissance avec 2 chevaux et tenteront d’éloigner les taons et mouches qui les assaillent, en vain.

 Beau  panorama, mais les sommets lointains sont un peu brumeux car  le temps est orageux. Cependant l’étroite crête qui relie le mont Arrouy au Cap des Pènes est intéressante à voir de ce belvédaire.

Nous nous dirigeons tous ensuite vers la cabane de Camous toute proche. Nous l’investissons et pouvons déjeuner soit à l’intérieur, soit à l’extérieur. Un bon moment de convivialité.

Le départ est donné vers 14h. Nous allons descendre par le sentier figurant sur la carte; il  passe au pied des falaises rocheuses du cap des Pènes. Sa continuité n’est pas toujours évidente et quelques petites descentes  raides furent nécessaires   par moments pour  le retrouver en contre bas. Nous retrouvons la forêt  avec un sentier plus marqué mais toujours un peu raide.

Vers 15h30 nous arrivons aux voitures, et clôturons ainsi une belle randonnée de 800m de dénivelée. Il est temps d’aller ensuite s’abreuver à Sarrancolin de boissons bien fraiches.

Très belle découverte, très belle balade.

Grand merci, Danièle.

S de l’A

Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m
Cap du Plat de l’Estaque 1745m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 20 Juin 2022

Dimanche électoral  (en principe le dernier de l’année), départ tardif, météo caniculaire dans les vallées,  presque tempétueuse sur les crêtes. De cette équation légèrement compliquée, Alain en tire la conclusion que nous n’allons  aller ni très loin ni trop haut.

Les crêtes du Bassia remplissent à peu près ce cahier des charges.

Partis à 9h30 de La Barthe,  le sac sur le dos,  nous quittons à 10h20 le col de Beyrède (1417m). L’habituel troupeau de vache y résidant l’été nous souhaite obligeamment bonne route.

Nous abordons le sentier classique, balisé qui, avec des pentes un peu raides parfois nous conduit  à un petit col sans nom (1800m) qui nous permet de prendre pied sur la crête. Nous y sommes vers 11h30. Nous imaginions monter sous une forte chaleur, c’est un fort vent qui nous accueille.  Le temps que tout le monde se regroupe, nous  partons à gauche pendant quelques mètres pour trouver  quelques rochers qui nous procurent un précaire abri contre le vent. 

La tempête devrait s’apaiser dans l’après midi. C’est dans cet état d’esprit optimiste que nous entamons notre repas  en fêtant  l’anniversaire de l’une de nos compagnes.

Durant ce repas, le vent ne s’est pas tellement calmé, notre chef décide cependant que nous allons terminer la randonnée et finir de gravir les quelques 120m qui nous séparent du sommet. Nous y sommes vers 13h45.

L’inévitable et fâcheuse scission se produit à ce niveau entre d’une part : Le chef ainsi qu’une vaillante partie de sa troupe qui, désirent  parcourir la crête jusqu’au pas du Bassia en passant par le cap de Castillon  et d’autre part, une minorité qui, estimant que le sommet étant atteint, il suffit maintenant de redescendre tranquillement  en reprenant l’itinéraire de l’aller.

Le seul problème que les 2 groupes auront à affronter est ce vent violent qui,  n’en déplaise à la météo,  ne s’est pas affaibli. Une fois  la crête  quittée soit,  au Pas de Bassia pour les vaillants ou au col sans nom  pour les moins vaillants, l’effet du vent se fait de moins en moins sentir et la chaleur le remplace. On en regretterait presque le vent !

Les 2 groupes se retrouvent  au col de Beyrède, et chacun reprend sa  voiture qui a bien chauffé au soleil. Nous descendons sur Sarrancolin, où des boissons fraiches,  au café du centre ville,  sont les bienvenues.

Bien belle balade, bonne idée, toujours sympathique ce Bassia.

Merci Alain

S de l’A

Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m
Le signal de Bassia 1921m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 14 Juin 2022

Elections législatives obligent : Il faut laisser tout loisir à ceux qui le désirent, d’aller voter. Le départ de la randonnée ne peut-être que tardif,  la randonnée ne peut être que relativement modeste.

Tel fut le raisonnement de notre chef : Gérard, qui nous fit partir de La Barthe à 9h30 pour arriver à la Hourquette d’Ancizan vers 10h30. Nous allons nous dit-il, aller au lac d’Arou, puis, nous monterons un peu plus loin en direction du pic de Monfaucon. Ce pic qui subit injustement l’ombrage de l’Arbizon, son grand frère, est très agréable à faire et son point de vue sur la face nord de ce fameux Arbizon avec ses falaises impressionnantes est remarquable. Il souffre de la réputation de proposer un pierrier d’environ 300m avant d’arriver sur sa crête sommitale. Ce pierrier se monte assez aisément,  c’est la seule difficulté, et  la descente y est tellement agréable.

Digression superflue, nous n’allons pas au Monfaucon. Nous allons au lac dans un vallon très agréable et par un sentier très facile. Les amateurs ont tout le temps d’admirer de nombreuses variétés de fleurs qui le jalonnent ;  nous sommes encore au printemps !  Nous sommes au lac vers 11h40, il est petit mais très beau et limpide. Nous  montons sur une petite éminence située 40m au dessus, ce qui nous permet de bien le dominer. Il est presque midi nous décidons d’y déjeuner. Durant le repas, certains lorgnent un petit col une centaine de mètres au dessus de nous, sur l’itinéraire du Monfaucon. Peut-être pourrions-nous aller le voir ensuite.

 Cette réflexion ne tenait pas compte des  conditions météorologiques : Nous étions partis par un temps orageux, il faisait chaud à la Hourquette,  mais rapidement nous fûmes assaillis par des bandes de brouillard qui nous accompagnèrent presque jusqu’au lac. Juste le repas terminé,  vers 13h une petite averse nous fit déguerpir. Adieu le projet du petit col, nous reprîmes la direction de la Hourquette que nous ralliâmes vers 14h15.

Le ciel était redevenu clément, une petite collation sur une terrasse de Payolle clôtura cette randonnée bien agréable malgré ce temps capricieux.

Beau coup de maitre

Merci Gérard

S de l’A

Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m
Lac d’Arou 1786m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 6 Juin 2022

Danièle a la lourde tâche de nous conduire au lac de Peyrelade avec une météo moyenne voire défavorable.

Ce très beau lac jouit d’une excellente réputation, son seul défaut résiderait dans son accessibilité sur un plan routier : 10 km de piste (en bon état) dans le bois de Beaudéan. Partis à 8h15 de Lannemezan, nous n’attaquons la randonnée qu’à 9h45. Il faut dire que nous avons pris le temps de sympathiser avec un troupeau de jeunes vaches  qui nous ont formé un amical comité d’accueil. Ces bovins sont peut-être herbivores, mais une petite gâterie style chocolatine ne les rebute pas.

Après leur avoir confié la garde de nos voitures, nous prenons le sentier qui doit nos emmener en 2h (dit un panneau) au lac de Peyrelade.  Ce sentier monte le long du torrent qui est alimenté par le lac. Il est raide, caillouteux, traverse des petits rus, un sentier de montagne en quelque sorte! En avance sur le panneau indicateur du départ, nous arrivons au lac vers 11h30. Une belle esplanade nous invite à nous  poser pour déjeuner. Nous dominons le lac d’une vingtaine de mètres, nous devrions le voir dans toute sa splendeur, mais c’est sans compter avec le brouillard environnant. Malgré tout, un mélange de brouillard, de petits torrents se jetant dans le lac, de petits névés s’y reflétant, donnent à ce paysage un aspect un peu irréel, sauvage et pour tout dire magnifique.

Nous quittons ce lieu vers 13h, traversons le guet du torrent et nous dirigeons vers le cap de Labasset situé 100m au-dessus du lac. La majorité du groupe y accède, certains s’arrêtent en chemin et d’autres préfèrent attendre leurs camarades au pied de cette montée.

Ensuite,  nous prenons l’itinéraire qui nous fera passer dans le bois de Pouzac. Nous allons marcher presque 2 h dans le brouillard mais, sur un excellent sentier ;  nous aboutissons  sur la piste qui nous ramène aux voitures, les vaches ne nous ont pas attendus !

Certaines jambes se ressentent légèrement de cette randonnée qui a duré près de 5 heures. Nous allons donc reprendre des forces à l’auberge de Beaudéan et visitons « l’épicerie d’autrefois ». Nous y voyons exposée, mais pas à la vente, la croix de Béliou. Site bien connu de la région.

C’est le temps des « au-revoir » et du « rendez-vous  la semaine prochaine ».

Super sortie,  très bien encadrée dans ce brouillard.

Merci Danièle.

S de l’A

Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset
Le lac de Peyrelade : 1919m  Cap de Labasset

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 30 Mai 2022

    Dans notre région tout le monde connaît la silhouette de Napoléon bien visible depuis les hauts de Montréjeau . La randonnée d’aujourd’hui doit nous permettre d'aller chatouiller le nez de Napoléon en faisant l’ascension  de Pène Haute culminant à 1451m. 

    Caroline donne le départ depuis le virage en épingle de la route support du GR 105 croisant le ruisseau de Coume Nère, à 670 m d’altitude peu avant 9h.

     Tout de suite nous quittons la route pour un sentier vers l'Ouest montant assez rapidement puis au niveau du chemin d'Estivère nous prenons vers le Sud-Est en direction du Col, mais par un sentier alternant landes et bois des plus pittoresques.

     La sente est bien tracée et en suivant le balisage rose nous atteignons vers 11h 20 le Col d'Estivère à 1219m.

     Du col une montée sévère nous amène Nord-Ouest jusqu'au pied de la falaise aux multiples voies d'escalade équipées. L'une d'elles est d'ailleurs investie par un petit groupe de grimpeurs.

     Après avoir admiré la vue somptueuse sur la Vallée d'Aure nous longeons la falaise jusqu'à son extrémité Est,  puis nous plongeons sur le versant Nistos afin de contourner par le Nord la crête de Pène Haute  au prix d'une perte de dénivelé de 200 m. La frustration est quelque peu adoucie par la découverte de quelques Edelweiss curieusement fleuris si tôt dans la saison puis la pente s'inverse à l'entrée d'une magnifique hêtraie que nous parcourons jusqu'au sommet au prix d'une ascension de quelques 230 m.

     La récompense est au bout de l'effort car il est autour de 13h 30 et nous avons tôt fait de trouver une place pour le repas sur le bord de l'arête du haut de la falaise avec sous les yeux le panorama grandiose de la vallée d'Aure non sans avoir fêté l'anniversaire de l'une de nos amies.

     Il est 14h 30 et Caroline donne le signal de la descente d'abord en suivant la crête jusqu'à son extrémité Ouest puis par landes et forêts nous rejoignons les voitures vers 16h 15 en ayant suivi, approximativement, le balisage « 6 rose »

 

     Merci Caroline pour cette magnifique rando, nouvelle pour la plupart d'entre nous, où nous aurons parcouru 11,9 km pour 1073m de dénivelé cumulé.

 

Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 25 Mai 2022

Alain nous propose souvent d’intéressantes randonnées en Espagne. En cette chaude journée du mois de mai, il n’a pas faillit à sa réputation. Il amène avec lui une quinzaine d’amateurs de canions.

Après 2 h de voiture et après avoir dépassé Boltania en allant vers Sieste, nous stoppons sur un parking à proximité du rio de Sieste.

Nous empruntons  un sentier très confortable puis, nous arrivons sur le rio que nous allons remonter. Nous ne sommes qu’au mois de mai, son débit est encore un peu soutenu et il faut cheminer par des sentiers qui alternent entre les rives droite et gauche. Le paysage devient de plus en plus enchanteur. Ces parois calcaires qui nous dominent et quelques fois nous surplombent sont magnifiques.  Nous évoluons de vasque en vasque jusqu’à (au bout d’une heure) la vasque « Posa de Chinchirigay ». Elle est fermée en amont par une impressionnante barre rocheuse.  Les choses sérieuses commencent !!

Pour la passer, il faut aller rive droite, prendre derrière un gros caillou, un sentier presque invisible qui devient tout de suite très raide. Une corde y a été installée. En s’en aidant ainsi que des branches de buis que nous frôlons, nous parvenons à nous élever. Il y a aussi une série de racines apparentes qui nous font des marches d’escalier. Quittant ce court sentier terreux et boisé, nous arrivons à la barre rocheuse qu’il faut escalader. Ici, c’est une chaine qui va nous aider. Une autre aide salutaire du compagnon qui nous suit, est bien utile à certains. Enfin le sommet de cette barre  est atteint. Après un petit répit, une descente de nouveau bien raide équipée de cordes,  clôture la partie délicate de la randonnée. Comme toujours, certains ont beaucoup apprécié ces passages, d’autres moins….

Nous nous retrouvons tous  enfin sur un sentier montant qui, au bout de ¾ d’heures nous conduit au village abandonné de Morcat (1085m). Il est 13h cela fait 3h que nous marchons. Non loin de plusieurs bâtiments en ruine nous trouvons une agréable terrasse pour déjeuner, avec en point de mire, au loin, le mont Perdu.

Le retour se fera par des sentiers qui dominent le rio ; nous finirons par le rejoindre près de l’endroit où nous l’avions abordé ce matin, là où le sentier était si confortable !

Une petite fête d’anniversaire nous attend aux voitures ;  depuis le début du mois chaque dimanche aura été marqué par un anniversaire. Joli mois de mai !!

Ensuite 2h de voiture nous attendent pour rentrer, avec pour certains la traditionnelle étape chez Luis.

Très belle randonnée,  physique par moments, merci, Alain.

S de l’A

Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 17 Mai 2022

Les conditions d’enneigement et météorologiques ne permettant à Bernard de faire sa randonnée prévue, il se rabat vers une valeur sure et unanimement appréciée : Le Port Vieux. Nous sommes une petite trentaine à adhérer à ce choix.

Nous partons du parking situé au sortir du tunnel : Aragnouet-Bielsa et empruntons l’ancestral sentier (le tunnel n’a été ouvert que dans les années 70) qui nous mène  au col. Nous évoluons primitivement en sous-bois, pouvons furtivement contempler la cascade à notre gauche, puis au bout d’une petite heure, après être sortis du bois, nous atteignons une cabane, le lieu habituel d’une pause. Le vallon est très large, nous apercevons  au loin le col à atteindre. 

Le groupe va se séparer entre les tenants entre ceux qui estiment que le col ne sera qu’un passage (sur le plan de la sémantique, ils ont raison) et ceux qui se moquant de cette sémantique basique pensent que ce Port Vieux leur confère un excellent but de randonnée. Il est convenu que tout le monde doit s’y retrouver pour manger. Chacun des 2 groupes évoluant à un rythme différent les premiers arrivés au col se dirigent à leur droite vers le pic de l’Aiguillette situé 150m au-dessus du col.

Durant toute ascension, nous n’avons traversé que quelques rares plaques de neige. Par contre, lorsque nous sommes au col, le contraste est saisissant avec le versant nord qui est magnifiquement enneigé sur toute sa totalité. Très beau à voir, plus délicat à descendre.

 Un petit plateau, situé sur le départ du pic de port Vieux, offrant un beau belvédère et une non moins bonne salle à manger était notre point de ralliement. Mais,  depuis que nous avons pris de l’altitude et surtout en arrivant au col, un vent violent nous balaie et déstabilise certains. Il ne faudrait pas être sur une crête étroite.

Voila pourquoi, malgré la beauté des lieux, le col est abandonné, nous descendons  et trouvons  un petit creux d’herbe un peu à l’abri. Ceux qui étaient partis à l’assaut du pic de l’Aiguillette ne profitent pas longtemps de leur conquête et viennent nous retrouver.

Un sympathique repas  s’en suit. La température peu propice aux siestes fait que nous ne nous attardons pas trop et redescendons.

Arrivés aux voitures une petite fête d’anniversaire nous attend.

Une très sympathique journée. Cet itinéraire du port vieux est vraiment agréable.

Bon choix, merci, Bernard.

S de l’A

Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 10 Mai 2022

 

   En ce Dimanche 08 Mai 2022 ce sont deux randonnées qui nous sont proposées au départ de l'Hospice de France dans la vallée du Lys.

   Jacques menant un groupe vers le Col de Barège c'est Monique qui mène le second vers le Campsaure. Nous sommes dix-neuf à démarrer de l'Hospice à 1379 m vers 9h 50. Prenant la piste Sud-Est qui s'élève à travers bois nous parvenons au bout d'une heure sur le plateau du Campsaure d'où nous pouvons apercevoir le Pic de Poilaner et celui du Campsaure encore partiellement enneigés.

   Doublant le premier nous mettons le cap sur le second et suivant le vallon du Roumingau nous atteignons , à midi, après une sévère montée, le Pas de Vilamos 2042 m. Une petite pause pour un regroupement et pour admirer la vue sur la vallée de Bossost et nous attaquons la crête en direction du Tuc de Campsaure 2141m atteint en un petit quart d'heure après un peu de marche sur névés.

    Pause repas au sommet mais pas de sieste car le vent est glacial et les quelques gouttes se transforment vite en grésil.

    Nous reprenons vers 13h 10 en suivant la crête frontière, passons le Pas d'Arro, 2108 m puis le Montagut 2149 m, redescendons vers le pas d' Arres 2115m , et remontons jusqu'au Pas de Pala Barrada pour redescendre par le Pas dera Trona à 2042 m au pied du Tuc d'Aubars.

    Obliquant plein Ouest nous avons en visuel le Coth de Baretja ou Col de Barege 1751m, que nous atteignons vers 14h 40 après une descente directe de près de 300m.

     Petite visite à la cabane et à la bergerie puis nous reprenons plein Sud le sentier rive gauche du vallon nous menant vers 15h25 près de la cabane de Campsaure à 1654 m.

     Le sentier des Chèvres nous mène ensuite plein Sud à travers les estives puis la forêt pour aboutir juste au dessus de l'Hospice de France atteint vers 16h 15 , non sans nous avoir offert une vue somptueuse sur la vallée de Vénasque gardée par le Pic de la Mine, le Sauvegarde et la Montagnette.

     Malgré un temps pas toujours agréable nous avons effectué une magnifique randonnée de 12,2 km pour près de 900m de dénivelé.

 

           MERCI MONIQUE

 

Modeste petit plan B

Comme indiqué plus haut, un groupe de 8 randonneurs se désolidarisa, à l’Hospice de France, du groupe principal et décida que le col de Barèges pouvait être atteint sans devoir passer par toute une série de crêtes ! Nous prenons le chemin des chèvres qui de l’hospice nous conduit à la cabane de Campsaure, il est très légèrement escarpé par moments, c’est sans doute pour cela qu’il mérite ce nom. Sauf que les biquettes sont capables d’évoluer sur des terrains bien plus délicats.

 Vers 11h nous sommes à la cabane et après une courte visite nous partons sur un sentier bien humide vers le col de Barèges que nous rallions vers midi. Certes le Tuc du plan de la serre juché 230m au-dessus de nous, nous invite à le visiter mais, après une courte réflexion, personne ne répond à sa sollicitation et nous entamons notre repas, bien protégés d’une petite brise assez fraiche par la cabane du col.

Nous la quittons vers 13h et repartons vers celle de Campsaure. Plusieurs itinéraires pour rallier l’hospice de France sont possibles, c’est le chemin de Louise qui est choisi. D’accord il est nettement plus long que le chemin des chèvres, mais il est très confortable et il traverse une belle forêt. Petit bémol, au niveau des sources des Dousses nous rejoignons l’ancienne route de l’Hospice de France et nous devons la remonter sur à peu près 700m pour y accéder, ce que nous faisons vers 15h15.

Il ne nous reste plus qu’à attendre nos compagnons que nous retrouvons un peu après 16h. Ils sont enchantés de leur randonnée. On les comprend, mais nous avons bien aimé la notre.

Merci Jacques

Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0