Publié le 23 Avril 2024

Le TEILHET (1287 m)

Une belle petite classique nous est proposée par Jean-Louis :

Le Teilhet au départ de Campan que nous quittons à 9h.

Après avoir traversé la passerelle sur l’Adour (650 m), nous prenons le sentier plein nord, puis NE qui nous conduit à un petit abreuvoir. Nous sommes, nous indique Jean-Pierre consultant son GPS, « à 1 km à vol d’oiseau du sommet ». Notre absence d’ailes (que certains lorsqu’ils sont fatigués, surtout à la descente, déplorent) fait que nous nous remettons courageusement sur nos jambes pour gravir les 380 m, de dénivelée, nécessaires pour rallier le Teilhet. Ce sentier orienté Est, N-E est excellent. Il monte régulièrement de manière confortable. Ainsi, vers 11h30, tout le monde est au sommet.

Il est un peu tôt pour manger, et ce sommet est balayé par une petite bise assez fraîche. Nous apprécions le beau panorama qui nous est offert. Il est vrai que cette réflexion est faite lors de chaque sortie avec un sommet comme but. Mais cette contemplation des pics qui nous entourent fait partie intégrante des plaisirs des randonnées. On ne s’en lasse jamais ! Une mention spéciale pour le Casque du Lhéris à 1h30 de marche, qui a donné quelque envie de visite chez certains d’entre nous. Mais ce sera bientôt l’heure du repas.

Nous sommes tout près du Courtaou du Teilhet où la cabane pourrait nous protéger du vent, mais elle parait déjà occupée. Une mini-dépression et quelques petits rochers jouxtant le sommet nous procurent un endroit suffisamment abrité pour assouvir notre faim. La fin du repas fut agrémentée par quelques chants montagno-bigourdans, bien sympathiques.

Vers 13h, nous quittons notre « salle à manger » et descendons vers le Courtaou. Non loin, nous redécouvrons une curiosité : la glacière, c'est-à-dire un large puits de 5 à 6 m de profondeur, qui servait de réservoir à glace. Dans le même esprit et dans le même coin, de petites guérites permettaient de laisser le lait au frais avant de le transformer. C’était le réfrigérateur des anciens, « les leytés ».

Un regard sur la cabane magnifiquement restaurée, belles pierres et ardoises neuves.

Ensuite, un sentier un peu caillouteux va nous faire descendre les 600 m qui nous ramènent au niveau de l’Adour et nous retournons sur Campan, retrouver nos voitures.

Inutile de chercher un café, nous fêtons joyeusement l’anniversaire de Jean-Louis au bord de la rivière.

Belle et très sympathique randonnée.

Merci Jean-Louis.

S de l’A


 

Le Teilhet 1287 m
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Le Teilhet 1287 m

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Publié le 16 Avril 2024

Les Tunnels Decauville

Voici une randonnée bien originale que Jean-Pierre nous fit découvrir il y a 7 ans. Il nous propose d’y retourner.

Pourquoi cette succession de tunnels, dans le fond d’une vallée profonde d’Ariège ?

Un brin d’histoire industrielle : au pied du Mail de Bulard, des filons de minerais riches en plomb et zinc argentifère étaient découverts et exploités depuis 1853. Le transport de ces précieuses roches à cette altitude à dos d’hommes était délicat et très dangereux. Des tentatives de mécanisation du transport furent tentées avec plus ou moins de réussite.

A la fin du 19ème siècle, pour acheminer le minerai extrait au Fourcaye côté espagnol (près du port d’Orle) une ligne de chemin de fer fut construite. Elle faisait environ 10 km et aboutissait au pied du Tuc de Lauzat. Un funiculaire descendait, vers Lascoux, le minerai qui y était « lavé ».

Paul Decauville, qui construisait du matériel de petit chemin de fer transportable (mines, chantiers) fut choisi pour équiper cette ligne. Il fournissait des rails et leurs traverses métalliques qu’il suffisait d’assembler ensuite. On pouvait aussi facilement les démonter (comme au bon temps des trains électriques offerts aux enfants de mon âge). Cette ligne, placée vers 1200 m d’altitude, subissait l’hiver l’attaque de la neige ainsi que la chute de pierres pouvant endommager les rails. A la fin de la saison d’été, le démontage s’opérait et le matériel était remisé dans des tunnels aménagés.

Avant la guerre de 1914, cette exploitation sans doute pas assez rentable a cessé et la plupart des équipements furent laissés à l’abandon. Ne reste comme vestige que la piste sur laquelle fut bâtie cette ligne, quelques débris de roue métallique et wagonnets et une roue en fin de ligne, dont nous reparlerons.

Revenons à notre randonnée :

Vers 9h45, nous quittons le parking de La Pucelle Bonac-Irazein (881 m) dans la vallée de l’Orle et prenons le sentier qui se dirige vers le col de l’Orle. Ensuite, à notre gauche, un panneau indiquant, «sentier Decauville» nous invite à le suivre et nous atteignons la piste. Les vestiges de wagonnets signalés plus haut nous indiquent que nous sommes au bon endroit, nous avons à présent 10 km de piste à parcourir et traverser quelques tunnels. Mais ce sentier a subit l’outrage des ans et sauf dans une minorité d’hectomètres, on a du mal à imaginer qu’une voie ferrée a pu être installée. Divers éboulements ont comblé ce ballast et lui-même en beaucoup d’endroits s’est effondré.

Il faut dire que cette ligne a été bâtie en corniche sur des pentes très raides à environ 700 à 800 m du fond de la vallée. Ceci implique que le sentier actuel, toujours suffisamment large, comprend des portions assez exposées et il serait bien imprudent de s’y aventurer en cas de neige ou de sol glacé.

Les premiers tunnels se présentent, il y en aura 7. L’accumulation de débris végétaux a relevé le niveau du sol initial, il est fortement recommandé de bien se baisser si l’on ne veut pas que la tête heurte une roche agressive.

A 13h, nous faisons la pause repas à une intersection d’un sentier qui redescend sur notre parking du départ. Il y a 7 ans, nous avions mangé au même endroit puis nous avions pris le sentier de la descente. Nous avons cette fois-ci envie de continuer la piste sur les 2,5 km restants et aboutir à la roue de funiculaire citée plus haut. Le problème nous dit le chef, réside dans le fait qu’ensuite, il nous faudra revenir à l’intersection où nous sommes actuellement, ou, si nous descendons directement du lieu de cette roue sur la route, nous devrons parcourir 4,5 km à pied pour retrouver nos voitures. Au sein de notre groupe de 19 randonneurs a émergé un couple qui très amicalement nous a proposé de descendre directement au parking et d’aller récupérer les conducteurs lors de leur arrivée à côté d’Orle. Un grand merci reconnaissant à Annie et Francis.

Nous partons donc vers cette roue, un dernier tunnel à passer. Son entrée est presque obstruée.

Enfin, au bout d’une petite heure, nous sommes devant cette roue qui (déjà cité) permettait de faire descendre le minerai à Lascoux. A noter que sur un talus surplombant la roue, on jouit d’une très belle vue sur le mont Vallier encore bien enneigé.

Ce funiculaire ayant disparu, il faut descendre les 600 m qui nous font atteindre la route où nous attendent nos obligeants camarades. Les jambes chez certains se font de plus en plus lourdes, mais vers 16h tout le monde arrive à bon port.

Nous avons parcouru 14 km et dénivelé 700 m.

Castillon-en-Couserans possède, entre autres, un agréable café qui nous permit de passer un bon moment d’agréable et amicale détente.

Comme tu as eu raison de nous ramener sur ce sentier ! Très agréable randonnée.

Merci Jean-Pierre.

S de l’A


 

Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
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Les Tunnels de Decauville
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Les Tunnels de Decauville
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Les Tunnels de Decauville
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Publié le 9 Avril 2024

Cabane d’Ourtiga 1601 m

Connaissez-vous la cabane d’Ourtiga ? Interroge Martiane à ses 28 camarades. Euh…..pas sûr…

Je vais vous y conduire.

Nous quittons ainsi Loudenvielle à 9h et nous dirigeons plein sud sur une piste, bien pavée à l’ancienne à son départ, vers le pont des Chèvres (1100 m). Nous le rallions au bout d’une petite heure. Aucune erreur d’itinéraire possible, une pancarte indique sa direction.

Ensuite, le sentier reste excellent, mais sa pente s’est bien redressée. Nous cheminons principalement en forêt et atteignons vers 1470 m un petit barrage et sa petite retenue d’eau.

Encore un ressaut et le sentier presque plat sur la fin, nous fait aboutir à la cabane. Nous y sommes vers 11h30.

C’est une bien jolie petite cabane, située dans un environnement très accueillant.

Il faut maintenant évoquer la météo. Un pic de chaleur est annoncé sur toute la région. Ceci provient de la présence d’un fort vent du sud (effet de foehn !!). Mais le soleil est voilé et ce vent n’est pas bien chaud. Manger dans la cabane eut été la bonne solution, mais elle est toute petite.

Une minorité d’entre nous s’y installe, le reste du groupe arrive à trouver un petit espace légèrement à l’abri du vent. Nous profitons ainsi du spectacle des hauts sommets encore enneigés qui nous entourent en particulier le pic de Hourgade qui nous domine.

Tout ceci ne nous empêche pas de fêter un bon anniversaire à Suzy.

Le temps n’étant pas favorable à la sieste, vers 12h30, les premiers départs s’opèrent.

Martiane nous propose de faire une boucle. Nous allons rentrer par le Gr 10. Il passe près de la cabane sur l’autre rive du torrent qui la borde. Certains l’empruntent tout de suite.

D’autres descendent par le sentier de l’aller (nommé variante du Gr 10 sur la carte) jusqu’au barrage. Puis, tout le monde prend le Gr 10 qui se balade magnifiquement en corniche jusqu’au village de Germ. Ensuite toujours le Gr 10 nous fera descendre les 430 m nécessaires pour atteindre Loudenvielle, notre point de départ. Un petit mot sur cette descente qui se pratique sur un sentier toujours très confortable, mais dans la forêt, on descend par de tous petits lacets très rapprochés. C’est assez pittoresque.

Nous aurons dénivelé 700 m et parcouru 14 km.

De retour à Loudenvielle vers 16h, nous trouvons sur place un très agréable bar qui nous donne le loisir d’apprécier nos dégustations habituelles.

Très belle découverte, très belle randonnée.

Merci Martiane.

S de l’A

Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
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Publié le 3 Avril 2024

Le Cap de Pouy de Hourmigué 1685m

Monique en « régionale de l’étape » nous invite à revisiter un sommet que nous affectionnons, nous l’avons maintes fois gravi. Cette crête « des fourmis » dominant la Barousse coté ouest, et la vallée de Luchon coté est, est d’un accès facile et offre un fabuleux panorama.

Plusieurs itinéraires possibles : Monique comptait nous faire démarrer de Sost, mais, comme il faut traverser des terrains humides, voire marécageux, les pluies survenues la veille qui nous ont fait reporter la sortie au lundi, n’allaient pas s’améliorer leur état.

Nous empruntons au départ de l’aire de Pique nique de Permilla (800m), la piste classique de 7 km qui nous conduit au col de Hourques (1510m). Elle possède malgré sa longueur la vertu d’évoluer en terrain sec.

Un petit bonjour affectueux et nostalgique au camion grue (GMC) qui rouille au bord de la piste depuis des décennies, et vers 11h sommes au pied du col. Nous étions partis à 9h, la froideur du matin nous avait encouragés à avoir un départ rapide.

Petite surprise lorsque nous arrivons au col, nous apercevons devant nous le sommet du Hourmigué recouvert de neige. Elle est toute récente et la couche est très fine.

Pour accéder au sommet, la pente est assez raide, il n’y a pas de véritable sentier, on doit monter dans des herbages. Vers midi, le sommet et atteint par Monique et ses 21 camarades. La petite couche de neige en soit n’est pas gênante, mais une bise soutenue assez froide l’est d’avantage.

Contre des rochers nous trouvons un abri au vent et pouvons déguster notre repas montagnard. Il ne va pas trop s’éterniser, la température ambiante n’étant pas favorable à la sieste.

Vers 13h nous quittons, après un dernier regard circulaire sur le panorama, le sommet. Deux groupes se forment. Une minorité va descendre par l’itinéraire de l’aller. La majorité en suivant Jeanne va descendre vers la cabane de Bordes de Pouy située 200m plus bas coté ouest. Cette cabane restaurée ne mérite pas tellement le détour, mais spectacle du passage d’une harde de cerfs et biches récompense ceux qui ont choisi cet itinéraire.

Il faut ensuite par une descente en sous bois retrouver la piste de l’aller. La jonction se fait assez rapidement avec les camarades qui sont passés par le col. Il reste un peu plus d’une heure pour atteindre l’aire de Permilla. Nous y sommes vers 15h30. Nous avons dénivelé 900m et parcouru 16 ou 18km suivant les 2 itinéraires.

Un excellent « club privé » nous attend à Esbareich, lieu de résidence de Monique, cherchez l’éventuelle corrélation !! Des crêpes à profusion et diverses boissons plus ou moins gazeuses vont nous permettre de fêter plusieurs anniversaires. Nous y restons « un certain temps ».

Chacun ensuite regagne son foyer.

Très belle randonnée, magnifique accueil dans ton « club privé », tu nous as gâtés Monique !

Un très grand merci.

S de l’A

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Publié le 26 Mars 2024

Les Estives de Mont

En ce dimanche des rameaux, bien ensoleillé sur les sommets, Maryse nous invite à faire une randonnée au départ de Mont, joli petit village situé près de la route du col de Peyresourde.

Nous ne sommes pas moins de 28 pour répondre à son invitation. Nous quittons Mont (1293 m) à 9h et commençons à monter une petite série d’escaliers qui nous conduisent à une piste, puis à un sentier orienté plein nord, vers le col de Coulantigue (1620 m). Inutile de le chercher sur la carte IGN, il n’en a pas les honneurs ! Nous sommes au pied du cap de Tuquet qui nous domine de 220 m. Un sentier à la pente assez soutenue nous y conduit directement. Il est aussi possible d’y accéder en le contournant par l’ouest, la pente sera moins raide, mais il faut tout de même gravir ces 220 m. Certains empruntent le sentier direct, d’autres préfèrent le contournement.

Nous nous retrouvons tous vers 11h30 sur ce cap de Tuquet. Le splendide panorama proposé par tous les sommets de ce secteur a souvent été décrit, inutile d’y revenir ; mais on ne se lasse jamais de le contempler. L’envie de pousser vers le cap de Peyrehicade puis, pourquoi pas, vers le soum de l’Aigle est présente chez certains, mais ce n’est pas le but de la randonnée.

A 300 m sous nos pieds, se trouve la cabane de Balencous, c’est en ce lieu que nous ferons notre repas. Nous dégringolons ces 300 m sur des restes de névés, là où dimanche dernier la neige était encore abondante !! Cette neige résiduelle est un peu dure, il vaut mieux bien « planter les talons », mais la descente se fait sans problèmes et à midi tout le monde est aux abords de la cabane.

Une série de petits rochers plats procure de confortables sièges. Nous y fêtons l’anniversaire de notre cheftaine et savourons une bonne heure de repos.

Un peu après 13h, nous repartons. Nous n’avons pas loin de 7 km à parcourir.

Nous prenons la route forestière de Balencous puis nous montons en sous- bois pour atteindre la crête de Portet qui nous gratifie à nouveau d’un magnifique panorama. Nous descendons par un sentier qui, contournant Cazaux-Dessus, nous conduit au cimetière de St Calixte.

Encore 2 bons kilomètres et à 16h, nous retrouvons Mont. Quelques jambes sont un peu lasses !

Nous avons dénivelé 800 m et parcouru un peu plus de 13 km.

A Arreau, notre café habituel accepte d’accueillir gentiment notre troupe nombreuse et forcément un peu bruyante. Nous y passons comme toujours un agréable moment.

Et vient la séparation !!

Nous te remercions vivement Maryse pour cette superbe randonnée très bien gérée.

S de l’A


 

Les Estives de Mont
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Publié le 18 Mars 2024

Sommet de l'Aigle par les crêtes de Peyresourde. 17/03/2024

C'est une grande classique des sorties raquettes que Thierry nous propose en cette mi-mars 2024. Déjà faite l'an dernier début mars, nous avions eu beaucoup plus de neige dès le Col de Peyresourde à 1569 m.

Nous sommes 16 à démarrer vers 9h 05 sur la piste de la Forêt Domaniale de la Neste du Louron, mais nous ne trouvons la neige qu'au portillon des estives à 1711 m. Il ne reste que des lambeaux du manteau neigeux et personne ne juge opportun de chausser les raquettes.

Suivant le sentier classique apparaissant de temps en temps entre les plaques de neige résiduelle, nous franchissons le Sommet du Lampet (1804 m) puis descendons de 20 m, remontons le Pic Arrouy (1850 m) descendons de nouveau de 30 m pour remonter de 90 m au sommet du Cap de Hont Nère à 1916 m. Après une courte pose de regroupement, nouvelle descente de 70 m jusqu'à la Porte de Lis à 1845 m puis c'est la grande montée bien raide de 207 m jusqu'au sommet de Pouyaué à 2062 m où certains chaussent les raquettes, car la neige est bien lourde. La descente suivante d'une cinquantaine de mètres se fait sur l'herbe et nous retrouvons la neige dans la dernière montée vers le Sommet de l'Aigle que nous atteignons, à sept, quelques minutes avant midi à 2078 m.

Après le tour d'horizon et les photos de rigueur, nous rejoignons le reste de la troupe pour le repas pris sur une émergence rocheuse entre les sommets de l'Aigle et du Pouyaué.

Vers 13h 30 nous entamons la descente en « montagnes russes », rajoutant près de 150 m de dénivelé positif à nos jambes déjà bien éprouvées.

Le Col de Peyresourde et les voitures sont rejoints vers 16 h puis nous finissons comme il se doit la journée dans notre bistrot favori d'Arreau.

Merci Thierry pour cette très belle rando d'une douzaine de kilomètres pour 800 m de dénivelé positif.

JP

Soum de l'Aigle 2078 m
Soum de l'Aigle 2078 m
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Publié le 12 Mars 2024

Le Cap des Barres 10/03/2024

Les deux dernières sorties du Club ayant été annulées à cause du mauvais temps, Monique avait à cœur de faire l'impossible pour assurer la sienne ce dimanche malgré des prévisions météo assez pessimistes. Hésitant entre la Montagne d'Espiau et la forêt de Barbazan, ce sont finalement les crêtes de Cirès qui ont fait l'objet de son choix, qui finalement fut le bon.

Vers 10 h, après distribution des ARVA obligatoires par temps de neige, nous sommes neuf à emprunter la piste qui démarre dans le virage en épingle au-dessus de Bourg-d'Oueil, à 1407 m, sur la route du Port de Balès. Le sol est encore gelé, mais rapidement, le soleil nous souhaite la bienvenue.

Après le passage du Ruisseau de Rustier, vers 1470 m, nous trouvons la neige qui décide certains à chausser les raquettes. Nous progressons sur la piste, qui sur la neige de plus en plus épaisse, qui sur les bandes herbeuses découvertes par les températures élevées de ces derniers jours.

Il n'est pas loin de midi quand nous parvenons en vue du petit sommet du Cap des Barres (1767 m.) qui surplombe de quelques mètres une cabane en tôle bien connue des randonneurs. Certains s'y rendent directement, d'autres font un petit effort supplémentaire pour accéder au sommet afin d'y jouir d'un panorama plus large sur la Vallée d'Oueil encore un peu ensoleillée et sur les grands sommets du luchonnais bien accrochés par le mauvais temps. Nous avons une belle vue sur le Cap de la Lit très enneigé qui était au programme aujourd'hui, sur le Sommet de l'Aigle prévu pour dimanche prochain, le Pic du Lion, le Mont Né, le Pouy de Pradaus, et même le Sommet d'Antenac souvent visités par le Club.

Le repas est pris au soleil et à l'abri du vent près de la cabane, puis un peu avant 13 h nous entamons la descente sur les traces de la montée. Le dernier kilomètre est parcouru sous une bourrasque de neige fine qui nous rappelle que nous sommes encore en hiver. Heureusement, elle ne dure pas et le soleil refait son apparition dès notre retour aux voitures ce qui nous laisse le loisir d’improviser un petit pot de fin de rando agrémenté des délicieuses gaufres proposées par notre nouvelle amie.

Merci Monique pour cette sympathique randonnée à raquettes de 8,7 km pour 400 m de D+ bien calibrée pour s'inscrire dans un créneau météo bien agréable.

JP

Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m
Cap des Barres 1767 m

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Publié le 20 Février 2024

Crêtes des Baronnies

Notre amie Jeanne « régionale de l’étape » nous propose de faire une sortie sur « ses terres ».

Les propositions de randonnées de Jeanne étant toujours intéressantes et souvent innovantes, nous ne sommes pas moins de 24 à répondre à son invitation.

Nous démarrons vers 9h de Bourg-de-Bigorre, le chef-lieu du canton de ces baronnies qui ont gardé leur caractère pastoral et authentique. Nous empruntons primitivement une série de routes goudronnées qui, nous faisant monter d’une centaine de mètres par un arc de cercle centré sur un lieu-dit « Mondirous », nous fait ensuite partir plein sud sur une petite crête en direction d’Esconnets. Une belle vue nous est déjà offerte sur ce passage en crête. Assez rapidement, nous apercevons Esconnets, il reste tout de même plus de 4 km pour y arriver. Qu’importe, le temps est très agréable, la troupe marche bien. Vers 11h30, nous sommes au pied de ce village. Une petite grimpette de 150 m nous y fait parvenir.

En ce lieu, Jeanne nous précise qu’à une centaine de mètres, une très agréable aire de pique-nique nous permettra d’y prendre notre repas. Mais il est loin d’être midi, 2h30 de marche, ce n’est rien !! Payons-nous un petit sommet. C’est ainsi que, nous dirigeant sud-ouest en passant par le col de la Pède, nous allons gravir le Castet 781m. Ce sera le point culminant de notre randonnée. Un grandiose point de vue récompensera ceux (mais pas tout le monde, il y a toujours hélas, des « tire-au flan ! » la nature humaine est ainsi faite.) qui y sont montés. Nous revenons par l’itinéraire de l’aller et un peu avant le col de la Pède, nous partons à droite, plein Est, sur un sentier qui nous fait descendre une cinquantaine de mètres pour nous les faire remonter, mais nous conduit directement sur cette aire de pique-nique que Jeanne nous avait habilement fait miroiter depuis tout à l’heure.

Il est 12h45 et c’est avec plaisir que nous ouvrons nos sacs pour en sortir la nourriture ainsi que les petites douceurs solides et liquides qui agrémentent et scellent gentiment la cohésion du groupe.

Après ce bon moment passé à table, Jeanne nous propose un itinéraire retour différent de celui de l’aller. Nous descendons vers l’est des sentiers qui nous conduisent à Fréchendets puis nous traversons un petit ruisseau nommé l’Esquéda. Ce joli ruisseau, tout petit, tout timide, affluent de l’Arros, a tout de même creusé une vallée de presque 200 m de profondeur dont nous devons remonter la rive droite pour aboutir sur une petite crête étroite orientée sud-nord, qui va nous ramener à Bourg-de-Bigorre.

Bien contents d’être arrivés ; nous avons parcouru 18 km et dénivelé, en cumulé, 700 m. Somptueuse randonnée.

Jeanne, étant consciente de l’effort qu’elle avait demandé à certains, s’était souciée par anticipation du point de chute que nous cherchons habituellement, des fois vainement, dans « quelques bistrots ». Elle nous a réservé des places dans un café du village.

C’est une attention qui fut très appréciée, tout le monde put commander des boissons chaudes ou fraîches suivant les goûts et déguster, entre autres, des crêpes apportées par une amie qui est coutumière du fait. Merci Monique !!

Jeanne, tu nous as donné l’occasion de faire une magnifique randonnée, un peu physique, ce qui ajoute à son charme, mais tellement agréable. Ta gestion de la « 3ème mi-temps », fut la cerise sur l’excellent gâteau.

Nous t’adressons un grand merci.

S de l’A


 

Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024

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Publié le 12 Février 2024

Cabane de Camous 11/02/2024

Ce deuxième dimanche de février Thierry nous propose d'aller revoir les cabanes de Jézeau , un grand classique des randonnées à raquettes quand il y a de la neige. Elle était annoncée pour ce week-end, mais il fallait beaucoup d'optimisme ce matin pour se rendre au rendez-vous après une nuit de pluie. Pourtant, nous sommes treize à démarrer d'Ardengost à 1080 m vers 9h20.

L'accès au village étant interdit aux voitures « étrangères », nous les laissons en contrebas et accédons au sentier de la Lit par une rampe un peu raide. Nous progressons plein Est d'abord à plat puis rapidement la pente devient de plus en plus raide. Nous passons près de belles granges bien restaurées sur un joli chemin de calade. La neige tombe maintenant , la température a l'air de se rafraîchir un peu et le paysage blanchit de plus en plus.

Vers 1250 m, nous parvenons à la bifurcation avec le sentier menant au col des Sonères. Il est un peu plus de10h et la neige tombe toujours. Quelqu'un émet l'idée que les cabanes de Jézeau étant fermées le pique-nique sous la neige risque de ne pas être très agréable et qu'après le col des Sonères il y a la cabane de Camous qui elle est toujours ouverte. Motion adoptée et le cap est mis sur le col. Il se situe 400 m au-dessus, mais le sentier qui y conduit est ancestral, donc bien tracé par les anciens qui faisaient par là des échanges entre les vallées d'Ardengost et de Nistos. Le dénivelé est avalé en une heure sous un vent de plus en plus acerbe et la neige qui pique le visage.

Au col des Sonères à 1680 m, il est 11h15 et un panneau indique la cabane de Camous à 30 minutes, juste pour l'heure du déjeuner. Le sentier a disparu sous la neige, mais le lieu étant bien connu de presque tous, nous n'avons aucun mal à trouver la cabane toujours nichée au pied du Mountarrouy émergeant de temps en temps des vagues de brouillard neigeux.

Tel un troupeau de vaches regagnant  leur étable après le pacage, c'est presque en courant que le groupe dévale la pente qui mène à la cabane. Elle est petite, mais tous arrivent à s'asseoir et c'est dans la bonne humeur de rigueur que le repas est consommé, précédé d'un bienvenu et excellent vin chaud apporté par notre « chef » du jour.

Après quelques chansons et à court de vin, il est un peu plus de 13h quand le signal du départ est donné. Bonne surprise la neige a cessé de tomber, le vent a faibli et c'est sous un pâle soleil intermittent que nous remontons l'arête Nord du Plat de l'Estaque pour rejoindre le Col des Sonères. Nous suivons le sentier de la montée, avec mille précautions, car il est devenu boueux avec la neige fondante. Bien exposé au Sud le paysage a bien changé, car la neige disparaît rapidement sous l’action du redoux annoncé et déjà présent. Elle n'est plus qu'un souvenir quand nous atteignons Ardengost et les voitures vers 15h.

C'est ensuite le traditionnel pot de l'amitié avec pâtisseries pris dans le plus british des bistrots d'Arreau.

Comme cela arrive parfois le calendrier des sorties du Club de Montagne d'Anères n'a pas été respecté à la lettre mais, sachant nous adapter aux conditions météorologiques, nous avons effectué une superbe randonnée hivernale de près de 700 m de dénivelé pour un peu plus de 10 km.

Merci Thierry.

JP

 

 

 

 

Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous

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Publié le 6 Février 2024

Le pic Saint-Vincent 1944 m

Nous avions une revanche à prendre, et nous avons attendu 7 ans pour l’assouvir.

Petit retour en arrière : au printemps 2017, Jean-Pierre nous conviait au pic St Vincent. Mais la météo ne nous était pas favorable et un vent très violent avait accompagné la seconde partie de notre ascension. Nous étions arrivés au sommet, ballottés par le vent, et tout de suite redescendus, ne profitant aucunement de la beauté du panorama.

Après 7 ans de réflexion, nous refaisons une tentative. La météo est idyllique, Eole se repose.

Ce ne sont pas moins de 25 randonneurs, toujours sous la direction de Jean-Pierre, qui quittent le Chiroulet à 9h et prennent la piste qui conduit au Courtaou de la Lit (1500 m) et ses jolies cabanes. Une pensée pour Georges Buisan à qui l’on doit cette belle restauration. Après une petite halte dans ce lieu familier, nous partons plein ouest vers la cabane de Bénaquès située 150 m au-dessus. Nous commençons à trouver quelques petites plaques de neige, mais vraiment peu de choses alors que nous évoluons vers 1600-1700 m.

Nous montons toujours vers l’ouest et apercevons bien à notre droite encore un peu loin et haut pour certains, le pic Saint-Vincent. Il paraît avoir un abord un peu rébarbatif, surtout avec sa face Est verticale. Mais il suffit de le contourner par l’ouest, on aboutit sur une large crête et, sur une pente modérée, on arrive au sommet. Nous y arrivons en ordre dispersé vers midi.

Le temps magnifiquement beau et clément nous permet d’apprécier un grandiose panorama, cela valait la peine d’y revenir !!

Nous prenons notre temps pour manger et profiter de l’environnement.

Vers 13h15, nous redescendons par le même itinéraire, quelques, tout petits névés agréables à descendre, et nous nous trouvons rapidement à la cabane de Bénaquès. Ensuite, par des itinéraires légèrement différents (parce qu’il y a d’autres petites cabanes à visiter) nous nous retrouvons aux cabanes de la Lit.

Nous avons choisi d’y fêter un anniversaire. Ce lieu s’y prête si bien. Rien ne nous presse, nous y séjournons une heure.

Nous quittons enfin, comme à regret, ces cabanes et descendons retrouver nos voitures.

Nous avons tout de même dénivelé 900 m, mais sur un terrain globalement facile.

Tu as eu grandement raison de nous y ramener.

Merci, Jean-Pierre

S de l’A


 

Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m

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