Publié le 23 Juillet 2024

La Punta Suelza 2972 m

Majestueuse randonnée.

C’est Martiane qui en est l’inspiratrice et ce sont Annie et Francis qui la mettront en pratique. Nous allons évoluer sur un terrain pas bien difficile sauf près du sommet, mais très sauvage.

Nous sommes 21 randonneurs à St Lary (lieu de ralliement) vers 8h15. Annie vérifie la qualité passe-partout des véhicules. Seules les voitures un peu hautes ou 4x4 sont admises pour le voyage. L’explication va venir !!

Nous passons le tunnel de Bielsa, puis à Salinas nous partons à gauche (à l’est) vers la direction de Plan. Au niveau du petit village de Servetto, nous empruntons une piste d’environ 12 km caillouteuse, ce qui a disqualifié les voitures urbaines. Cette piste nous fait remonter plein nord jusqu’au Collado de la Cruz de la Guardia 2103 m, qui sera le point de départ de notre randonnée. Il est 10h30, parcourir la piste nous a pris du temps !!

Nous passons devant le refuge des Pardinas « 2 bergers et 250 vaches » et  montons d’abord vers l’ouest, pour rejoindre la crête qui nous conduira plein nord jusqu’au au sommet. Nous sommes sur des herbages à la pente soutenue mais facile jusqu’à 2600 m où nous trouvons un gros cairn. Un peu auparavant l’inévitable scission (programmée) s’est produite, 4 camarades sont partis vers la gauche pour atteindre le lac de Barleto (2550 m).

Le groupe principal va continuer sur un terrain toujours pentu mais facile jusqu’à 2800 m.

Encore 3 unités de perdues, à ce niveau !!

Le rocher a remplacé l’herbe, un petit éperon rocheux à gravir en s’aidant un peu de ses mains, et la récompense se profile après cette dernière épreuve : le sommet. Il offre son très grandiose panorama. Voilà une expression souvent citée. Mais, ce presque 3000 m, très isolé de ses grands voisins donne l’impression de se trouver sur « le toit du monde ». Entre autres, on peut voir : Le mont Perdu, les Posets, la Peña Montanessa (bien sûr), le Vignemale, le lac de Bartelo où sont passés les copains et le lac d’Ordissetou.

Il a été décidé que les divers groupes allaient se retrouver pour le repas. Le groupe du lac de Bartelo ayant dédaigné la baignade, a rejoint l’itinéraire de descente des amis venant du sommet.

Sur un mini plateau herbeux, nous dégustons notre repas. Nous sommes partis tard et nous prenons notre pique-nique à l’heure espagnole.

Après le repas, il ne reste plus qu’une bonne heure à descendre.

Reprenant nos voitures, nous roulons quelques km, puis stoppons dans un endroit accueillant et notre co-cheftaine : Annie, nous convie à fêter son anniversaire. A noter que Domingo qui est devenu notre pâtissier attitré a fabriqué pour cette occasion un magnifique gâteau. Merci Domingo.

Il faut ensuite reprendre cette longue piste, retrouver les routes goudronnées et la circulation des voitures.

Certains s’arrêtent chez Luis pour peut-être faire quelques achats, mais surtout pour doucher au karcher la carrosserie de leur voiture que la piste a rendue bien poussiéreuse.

Nous repassons le tunnel où côté français, le grand ciel bleu qui nous a accompagnés toute la journée, a disparu.

Un grand merci à vous trois, magnifique découverte d’un beau sommet qui nous a fait parcourir près de 8 km pour 974 m de dénivelé  total.

S de l’A

La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m
La Punta de Suelza 2972 m

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Publié le 16 Juillet 2024

Le pic de Nets 2426 m

En ce 14 juillet, Jean-Louis désirait proposer une randonnée de caractère. Il choisit le pic de Nets. Celui-ci pourrait paraître un peu modeste de par son altitude, mais il demande de bonnes et sûres jambes pour le conquérir.

« La bande à Jean-Louis » qui s’est levée tôt (RDV 6h30, à Lannemezan), démarre du parking de la fin de la route du Cambasque, 1340 m à 8h. Il y a 1100 m à monter. Le début est très facile. Une piste large permet d’atteindre le lac et le refuge d’Ilhéou, situés 600 m au-dessus. Pour faire plus montagnard, un petit sentier parallèle dénommé officiellement Gr10, double cette piste. La piste emporte l’adhésion de la grande majorité des randonneurs. A l’approche du refuge, au niveau de la belle cascade d’Ilhéou, le sentier permet tout de même de couper un lacet.

Quoiqu’il en soit, la petite troupe est au refuge à 10h. Ce refuge, dominant le lac, est très agréable. Après la perte d’une unité, les 13 « rescapés » vont commencer à arpenter la montagne sérieuse.

Il s’agit de rallier le col de la Haugade, (330 m au-dessus), le sentier longe d’abord le lac d’Ilhéou par sa rive droite puis se met à grimper. Il chemine d’abord dans l’herbe, puis traverse des pierriers à plusieurs moments. La vitesse de progression en est bien altérée. Par contre cette portion de terrain ne présente aucun danger. Le sentier, passé ces petits obstacles, aboutit au col. Un très beau panorama s’en dégage, on se trouve sur la crête orientée nord-est qui domine la vallée du Marcadau côté est. Le pic de Nets est au bout de cette crête.

Tout le monde veut rallier le sommet, il ne reste que 120 m à monter. Certes, mais attention : le sentier va cheminer légèrement sous la crête côté est, il est bien prononcé, mais par endroits il faut être vigilant, il ne faudrait pas que les pieds se dérobent. La glissade est interdite !!

Le sommet est enfin atteint, il est midi. Bravo à tous !! Quatre heures d’ascension.

C’est l’heure du repas, bien mérité et agrémenté par un panorama fabuleux. Pour ne citer qu’eux (un choix arbitraire), on peut parler du Grand Barbat (voisin) et puis l’ensemble : Pique Longue, couloir de Gaube et petit Vignemale. On peut aussi voir en baissant la tête, Cauterets bien bas, bien loin, et en baissant encore plus la tête, le lac et le refuge d’Ilhéou, vertigineusement bien bas. Avec une paire de bonnes jumelles, on pourrait apercevoir, se prélassant au soleil, 3 membres du club : « l’unité perdue » et 2 autres camarades, ayant dormi 1h de plus donc partis 1h plus tard et arrivés au refuge toujours 1h plus tard. Leur suprême effort final a été d’aller du refuge au bout du lac. Ils attendent patiemment le retour de leurs amis.

Ce magnifique sommet, de part son sol assez rocailleux n’apporte pas d’endroits confortables propices à la sieste. A 13h, le signal du départ est donné.

Il faut prendre les mêmes précautions qu’à la montée en traversant les quelques passages délicats jusqu’au col. Ensuite, il faut gérer les pierriers existant ça et là jusqu’au lac.

A partir de 14h15, tout le monde se retrouve au refuge, quelques consommations et un peu de repos sont les bienvenus.

La descente vers le Parking du Cambasque est une formalité et les voitures sont atteintes à 16H. A l’approche du terminus, il a été nécessaire de slalomer entre quelques troupeaux de chevaux et nous avons rencontré quelques vaches trapues, au poil long et noir. Renseignement pris, se sont des Highland (des immigrées d’Ecosse).

C’est à Argelès que nous dégustons notre habituel pot de fin de randonnée.

Un sommet très peu connu par la majorité d’entre-nous. De la montagne exigeante où tu as parfaitement conduit ton groupe. Beau 14 juillet.

Grand merci Jean-Louis.

S de l’A


 


 


 


 

Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
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Le pic de Nets 2426 m
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Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
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Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
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Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
Le pic de Nets 2426 m
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Le pic de Nets 2426 m
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Publié le 9 Juillet 2024

Le Courtaou d’Ordincède 1400 m

En ce 1er dimanche de juillet, nous ne sommes pas très nombreux pour répondre à l’invitation de Jean-Pierre. Une journée électorale avec ses contraintes d’horaires, une météo bien maussade n’incitent pas à envisager « une grande chevauchée » sur les cimes.

Nous sommes 7 randonneurs, quittons Lannemezan à 9h, avec l’intention de rallier Campan. Tout au long de la route, nous devons composer avec une importante course cycliste « La Pyrénéenne », je crois. Nous slalomons délicatement entre les différents pelotons, jusqu’à Ste Marie de Campan.

Nous sommes plusieurs fois montés au Courtaou en partant du village de Campan. Jean-Pierre innove, il nous fait passer par le pont de la Moulette que l’on atteint après avoir quitté Ste Marie de Campan, environ 2 km avant La Séoube.

C’est vers 10h que nous démarrons notre randonnée. Après la traversée de l’Adour, nous allons toujours monter plein nord. A une piste débonnaire, succède un sentier assez raide et pierreux. Nous montons dans la forêt. Quelques replats succèdent à des portions assez raides. Nous nous élevons bien et sortons de la forêt, encore une portion raide, puis le sentier devient relativement plat. Il évolue en corniche sur des herbages fournis et très pentus. Nous arrivons au Courtaou d’Ordincède, vers 11h45.

Nous sommes dans un léger brouillard. Pas évident de manger dehors. Trois cabanes nous environnent et l’une d’elles accepte de nous ouvrir sa porte. Nous pouvons manger au sec, assis confortablement sur des pierres plates qui nous servent de siège.

Le repas est donc bien agréable, mais rapidement, nous avons un peu froid.

Nous entamons le chemin du retour. Il vaut mieux être bien attentif dans les portions pentues, les risques de glissades sont réels. Tout se passe bien, aucun vêtement ne subit les affronts d’une chute malencontreuse et boueuse.

Avant 3h, nous sommes aux voitures, nous avons le temps de musarder un peu, décidons d’aller prendre notre traditionnel « rafraîchissement » (pas trop d’actualité ce terme) à Payolle.

Le café-restaurant nous offre une terrasse agréable, nous n’y avons presque pas froid !!!

On ne peut pas faire moins ensuite que de passer par le col d’Aspin dont le sommet est un peu dans le brouillard. Nous sommes privés de son panorama. Il ne nous reste plus qu’à le descendre vers la vallée d’Aure pour regagner nos pénates.

Par ce temps médiocre, nous avons passé une bonne journée, dénivelé 500 m et découvert un itinéraire inédit.

Tu as eu raison de nous faire bouger Jean-Pierre, un grand merci.

S de l’A

Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m
Courtaou d'Ordincède 1400 m

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Publié dans #randonnée en montagne

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Publié le 2 Juillet 2024

Camous – Ardengost

En cette période d’élection législative, notre emploi du temps nous est contraint. Il faut donner la possibilité aux citoyens d’aller voter avant la randonnée avec un lieu de rendez-vous adapté.

La sortie initialement prévue vers Tournaboup est abandonnée. Daniel reprend le flambeau et nous propose d’aller faire un tour à Ardengost en partant de Camous.

Nous quittons à 9h30 nos voitures sur un parking situé au bord de l’ancienne voie ferrée reliant Lannemezan à Arreau, et empruntons le Gr 105 qui la longe jusqu’à Fréchet-Aure. Durant les 40 minutes de ce trajet, certains ne peuvent une fois de plus s’empêcher d’être nostalgiques en côtoyant ces rails et traverses abandonnés depuis environ 60 ans, envahis de végétation. Il est vrai qu’au début du 19ème siècle l’un de nos plus grands poètes, Alfred de Vigny, se lamentait avec des vers magnifiques (lui), sur la disparition progressive des voyages en diligence. Les nostalgiques d’aujourd’hui sont donc en très bonne compagnie.

Abandonnons Fréchet-Aure et entamons la montée ! Elle se fait sur un sentier confortable parfois un peu raide. Nous sommes en sous-bois, et même par forte chaleur ce sentier doit être agréable. Aujourd’hui, le soleil ne va pas nous incommoder, prions le ciel pour qu’il s’abstienne de nous arroser. A une petite bifurcation de la piste, nous rencontrons quelques personnes et un bien beau chien noir qui décide d’intégrer notre groupe et de porter notre nombre à 15.

Nous devons partager notre itinéraire avec des participants à une course de VTT, leur effort est méritoire, car le sentier est, par endroits, bien pentu, comme déjà dit.

Nous arrivons à Ardengost à midi. Nous y trouvons un stand d’accueil pour les cyclistes compétiteurs. Bien que démunis de bicyclettes nous y sommes fort aimablement accueillis et quelques friandises nous sont offertes. Merci pour cet accueil chaleureux.

Après consultation de sa troupe, le chef décide de quitter ce beau village pour terminer la montée vers le col. Nous le suivons montons encore 45mn parfois sous un léger brouillard et arrivons au sommet de notre randonnée, environ 1200 m.

Il est presque 13h, le repas est bien mérité. Nous ne nous attardons pas, le temps est trop incertain.

Nous repartons vers 13h30 et prenons le sentier qui descend sur Chagarde, il est pentu et humide gare aux glissades, mais tout se passe bien.

Ensuite une série de pistes plus ou moins larges plus ou moins caillouteuses, attention aux dalles plates et glissantes parce qu’humides ramène toute la troupe y compris notre camarade canin aux voitures. Il est 15h05.

Nous disons au revoir à ce gentil compagnon en souhaitant qu’il retrouve son chemin, il n’a aucun collier permettant de l’identifier.

Nous nous arrêtons à Sarrancolin pour prendre notre traditionnel pot. Nous sommes tout juste installés à la terrasse du café (abritée) qu’une bonne pluie se met à tomber. Qui parle de chance ??

Nous nous séparons à 16h30, la pluie a cessé.

Très belle balade, Daniel, tu as relevé un beau défit.

Grand merci.

S de l’A

De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
De Camous à Ardengost
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Publié le 25 Juin 2024

REFUGE DE LARRIBET 2072 m

Malgré une météo mitigée, entre brouillard, nuage et soleil, un petit groupe de randonneurs décide d’aller au Val d’Azun pour atteindre le lac de Batcrabère.

Nous empruntons le sentier menant au refuge de Larribet. Il nous fait passer devant le lac de Suyen, puis après avoir bifurqué à droite, nous permet de voir la cabane et un peu plus loin, la toue de Doumblas. Elle sera visitée au retour.

Le sentier monte plus rudement, en escalier durant une demi-heure, puis nous débouchons dans un large vallon qui nous permet d’apercevoir bien loin devant nous, le refuge de Larribet. La Toue de Larribet à 1810 m, aperçue à notre droite, sera elle aussi visitée à la descente.

Nous cheminons et arrivons un peu avant midi au refuge Larribet, après 600 m de dénivelé.

Un brouillard recouvre les sommets et le sentier vers le lac, le groupe, bien accueilli par le gardien, décide de faire la pause repas.

Un petit café, un peu de repos et, petit à petit, le soleil réapparaît pour une belle descente tranquille.

Les randonneurs, contents de cette petite randonnée sur les sentiers caillouteux, au décor de haute montagne et accompagnés par le chant des torrents, terminent leur journée dans un café à Arrens pour le pot de l’amitié.

JF

REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
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REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
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REFUGE DE LARRIBET 2072 m
REFUGE DE LARRIBET 2072 m
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REFUGE DE LARRIBET 2072 m
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Publié le 17 Juin 2024

Muro de Bellos – Murillo de Sampietro

Annie et Francis continuent de nous faire visiter ce beau et sauvage Haut Aragon.

Ils nous proposent encore une belle traversée inconnue de la plupart d’entre nous. Une belle découverte. Qui peut mieux nous la décrire que son initiatrice ?

Voici donc son compte-rendu :

28 randonneurs ont pris le départ ce dimanche matin (vers 10h) de Muro de Bellos (au dessus d’Escalona) pour rejoindre Morillo de Sampietro. Une randonnée de 17 km et 500 m de dénivelée.

Une petite visite au village de Muro avant le départ nous permet de découvrir ce village haut perché, abandonné, en cours de restauration.

Nous commençons notre montée par le PR HU 40 (chemin de Saint-Jacques), sentier à flanc jusqu’à un col qui dessert San Vincente à gauche et Morillo de Sampietro à droite (plein ouest), notre destination. (PR Hu 185)

Le PR HU 185 suit la ligne de crête du Tozal de Las Tres Gueguas et nous mène jusqu’à une piste que nous suivons provisoirement. Le panorama sur le Mont Perdu, Las Tres Maria, les Sestrales et le Castillo Mayor est magnifique.

Nous quittons cette piste allant sur Boltaña et Ascaso pour rejoindre Morillo de Sampietro (1215 m) par un sentier peu fréquenté (qui pour accéder au village nous fait descendre de 200 m). Ce village est lui aussi abandonné et lui aussi en cours de restauration. Situé sur un éperon rocheux, il surplombe le rio Yesa.

Nous y pique-niquons (au bout de 3 h de marche) à l’ombre d’un grand arbre avec, en ligne de mire, la fabuleuse Peña Montanesa qui nous a accompagnés tout au long de la journée.

Vers 14h, nous entamons le retour qui se fera par le même itinéraire (avec au départ 200 m a remonter !). Vers la fin du parcours nous prenons une piste qui nous conduira directement au parking des voitures.

En ce lieu, Annie nous offre boissons et gâteaux pour fêter son anniversaire bien en face de la toujours magnifique Peña Montanesa.

La journée a été très ensoleillée, ce qui a réchauffé les corps et les cœurs.

Voilà il n’y a rien à ajouter à ce très précis topo d’Annie, sinon que nous la remercions vivement ainsi que Francis pour cette belle randonnée qu’ils ont très bien encadrée.

Nous en redemandons.

S de l’A


 


 

De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
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De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
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De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
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De Muro de Bellos à Murillo de Sampietro
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Publié le 4 Juin 2024

Le pic d’Entécade 2268m

Qu’il est agréable à faire ce pic ! Il est affublé d’un nom pas bien élogieux, « Entécade » en occitan comme en Aranais (en gros la même langue) signifie petit, qui a eu une mauvaise croissance. Il est vrai qu’il se situe à l’extrémité sud d’une crête moins élevée que ses grandes voisines. Il faut tout de même grimper pas loin de 900m pour y accéder, mais le terrain est toujours facile.

Ayant été un peu retardés par un important troupeau de moutons en transhumance, nous ne quittons l’Hospice de France qu’à 9h30. Nous sommes 15. Nous grimpons d’abord sur le plateau de Campsaure, le sentier est facile, des fois un peu raide, mais rien de bien méchant. En cette saison, ce plateau fait la joie des herboristes et amateurs des nombreuses espèces de fleurs que nous y trouvons.

Ensuite, ce n’est pas compliqué, à un croisement de sentiers, il faut emprunter celui qui va plein est puis sud-est, dans une large vallée, passer non loin de petits étangs, puis le sentier bien marqué par une série de longs zigzags conduit au « Tuc dera Entecada » si l’on veut respecter son véritable patronyme. Nous y sommes un peu après midi.

Malgré sa modeste altitude, ce sommet offre un magnifique panorama, en particulier sur tout le massif de la Maladeta. Mais une fois de plus, la météo ne nous est pas bien clémente. Et au sommet le brouillard, « c’était l’horizon » !!

Une exception sur ce panorama virtuel : la face est du pic de la Pique, un triangle posé verticalement : magnifique et impressionnant.

Nous sommes contents d’être au sommet. Par contre, un petit vent frais et l’exigüité du site nous conseillent de descendre chercher un lieu de repas abrité et plus confortable. Les vastes herbages que nous avons parcourus à la montée n’en manquent pas et nous trouvons après quelques minutes de descente ce qu’il nous faut.

Après le reposant repas, Monique nous suggère de faire un petit crochet par la cabane de Pouylané (ou d’Arro), cabane en très bon état et confortable.

Nous descendons ensuite récupérer notre itinéraire de l’aller et nous retrouvons le croisement de sentiers. L’un conduit vers le Pas de la Monjoye et le Pas de l’Escalette, splendide balade, mais assez longue ; l’autre musarde sur le plateau de Campsaure vers la cabane du même nom et le col de Barèges.

Nous choisissons le 3ème sentier, celui de la monté, qui nous ramène en 1/2h à l’Hospice de France.

Nous y sommes avant 16 h et, à l’extrémité du parking, des rondins d’arbres abattus offrent d’excellents sièges pour fêter un anniversaire.

Bien sûr, nous l’avons gravi bien souvent, mais son accès facile et la beauté de son panorama (quand le ciel est bien dégagé) font que nous ne lui avons dit qu’un au revoir. Nous l’aimons trop pour ne pas y retourner.

S de l’A

Le Pic d'Entécade 2268 m
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Rédigé par club ski et montagne de la neste

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Publié le 28 Mai 2024

Le Pic d’Ayré 2422m

Voici un pic peu fréquenté que désire nous faire découvrir Martiane.

Ne nous y trompons pas, malgré son altitude modeste et la première partie de son ascension très facile, c’est un sommet délicat à gravir dans sa phase finale.

Nous partons du plateau de Lienz 1550m (nous sommes 15) vers 9h10. Un panneau nous indique : col d’Ayré 2h30 mn. Nous rallions rapidement la gare d’un funiculaire qui acheminait skieurs et touristes jusqu’à l’altitude de 2000m.

Cette ligne mise en service en 1937 fut abandonnée après 2000, et un dernier réveillon fêtant à la gare supérieure l’avènement du nouveau millénaire, le coût des travaux de modernisation étant trop important pour les finances de la ville de Barèges. Il ne reste qu’une belle et large piste que nous gravissons, pour aboutir à cette gare supérieure.

Ensuite un vrai sentier montagnard nous attend. Il est souvent assez raide et, par endroits, un peu exposé au vide. Il évolue souvent en sous bois.

Tout le monde se retrouve au col (2240m) vers 11h40, nous sommes dans les temps indiqués au départ.

Du col nous apercevons le pic et pouvons évaluer les difficultés qui nous attendent. Certes il ne reste que 200m à monter, mais ce ne sont pas les plus faciles !!

Déjà 4, membres du groupe avaient anticipé de prolonger leur séjour au col. L’endroit est bien agréable et offre un très intéressant panorama. Un petit monticule à 5mn de marche, coiffé d’un pluviomètre permet à ces 4 « bougres » de déclarer qu’ils ont gravi un sommet.

Les autres se lancent à l’assaut du vrai sommet. Le sentier est moins raide que certaines portions que nous venons de gravir jusqu’au col, mais il est souvent beaucoup plus aérien et délicat.

L’antécime est franchie vers 12h23 ensuite c’est une marche sur des rochers, qui demande de s’aider de ses mains, sans que ce soit des véritables escalades. Il y a cependant des petits passages en crête qui exigent un peu d’attention.

Certains étant restés à l’antécime, il n’y a plus que 5 randonneurs qui parcourent l’ensemble des 3 petits sommets qui composent le pic D’Ayré, ils y arrivent à 12h40. Une fois de plus, le panorama est magnifique.

Il faut entamer la descente et reconstituer le groupe au fur et a mesure des « retrouvailles ! ». Une descente parcourue précautionneusement ; tout le monde se retrouve au col vers 13h30.

Après un repas bien mérité, nous quittons ces lieux vers 14h, descendons vers la gare supérieure du funiculaire puis reprenons la piste que nous coupons un peu pour retrouver nos voitures à 16h, où nous pouvons fêter un joyeux anniversaire à l’un de nos camarades.

Les plus vaillants ont dénivelé 900m sur un terrain au final très délicat. Les autres 700m.

Nous comptions ensuite rentrer en passant par le col du Tourmalet, le brouillard nous en a dissuadés. Nous avons trouvé la pluie lorsque nous traversions Lourdes, elle ne nous quitta plus. Nous avons rendu grâce à la chance qui nous a permis de pouvoir faire cette randonnée sous un ciel bien dégagé.

Quant à toi, Martiane nous t’adressons un grand merci pour la découverte de ce si beau pic.

S de l’A

 

Cliquez sur le lien Relive ci-dessous pour visionner la vidéo 3D de la randonnée.

Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
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Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
Pic d'Ayré
Pic d'Ayré

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Rédigé par club ski et montagne de la Neste

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Publié le 14 Mai 2024

La Montagne d’ARENG (2079m)

Belle randonnée classique : Ce sommet, bien positionné au nord de la chaîne de montagne, fait admirer son inquiétante falaise bien loin dans la plaine.

Monique, propose à 23 randonneurs d’y retourner. Hormis sa paroi rocheuse peu hospitalière, il y a plusieurs voies d’accès. Aucune ne présente de difficultés techniques, mais elles réclament toutes un certain effort physique pour parvenir au sommet.

Nous quittons la station de Nistos Cap Nestès (1600m) vers 9h35. Pour une petite mise en jambe nous escaladons le Cap Nestès (1887m) la pelouse pour y accéder est un peu raide mais facile. De cette belle éminence on aperçoit bien le pic d’Areng, mais comme il parait lointain !!! (2.5km à vol d’oiseau).Nous ne nous démoralisons pas et repartons en descendant au sud ouest jusqu’au col de L’Aouet (1700m). C’est un des verrous qui relient la Barousse à la vallée de la Neste.

Il s’agit à présent de mettre pied sur la crête bien longue qui nous conduira à la terre promise. Nous montons sud-ouest et l’atteignons. Nous suivons un sentier souvent bien confortable qui passe en léger contrebas des crêtes d’Arrouye et de Montaut. Quelques montées et quelques descentes, de la « montagne Russe ». Trois cabanes au-dessous de nous, ce sont les cabanes de Jézeau, nous arrivons au pied du sommet. Un petit plateau herbeux nous accueille pour faire une pause. Il est 11h45, le pic nous domine de 150m.

Quelques camarades déclarent qu’elles se trouvent très bien en ce lieu, et ne désirent pas aller plus loin. Il faut mesurer à quel point une telle décision est une aubaine pour l’ensemble du groupe. Nous pouvons nous débarrasser de nos sacs à dos que nous confions à leur vigilance, et, ainsi allégés entamons la montée finale.

Le sentier se perd rapidement et il faut ensuite grimper sur un terrain herbeux et pentu. Chacun cherche le petit zigzag un peu favorable. Nous finissons, en ordre certes bien dispersé, par atteindre ce sommet tant convoité.

Il a deux caractéristiques : La raideur de sa montée finale, cela vient d’être évoqué, et le panorama qu’il nous offre. Un prodigieux 360°. Un des rares sommets d’où l’on aperçoit le pic des Posets. La récompense est à la hauteur de l’effort accompli. Mais !!!

La météo !! Nous avons quitté nos vallées sous un temps couvert puis, arrivés au Cap Nestès avons trouvé un ciel dégagé et avons pu apprécier un très beau panorama. Mais ensuite, les nuages ont envahi l’horizon. La récompense panoramique du pic d’Areng tombe dans le grand catalogue des promesses non tenues. Reste la satisfaction de l’avoir une fois de plus gravi, ce n’est pas négligeable.

Nous descendons retrouver nos camarades et le repas est, comme il se doit, fort agréable.

A 14h nous prenons le chemin du retour. Arrivés au col de l’Aouet, nous contournons le Cap Nestès vers la cabane d’Hilhet et aboutissons à la piste qui nous conduira à la station de ski. Nous y arrivons à 16h.

Une belle surprise nous attend : Notre amie Suzy nous convie chez elle à Bise pour déguster une somptueuse collation. L’accueil que son époux et elle nous réservent nous fait oublier les fatigues de la randonnée. Nous leur adressons un grand merci pour ce chaleureux accueil.

800m de dénivelée, un peu plus de 11km. C’était une belle randonnée sportive comme tu sais nous les proposer.

Merci Monique

S de l’A

 

 

Cliquez sur le lien Relive ci-dessous pour voir la video 3D de la randonnée

La Montagne d'Areng
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La Montagne d'Areng
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Rédigé par club ski et montagne de la neste

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Publié le 7 Mai 2024

Traversée Badain-Saravillo

Annie et Francis souhaitent innover un peu. Ils nous proposent une traversée d’environ 12 km dans le Haut Aragon (on pourrait dire, l’Aragon profond !)

Partant de Badain, village jouxtant Lafortunada, nous allons rejoindre le petit village de Saravillo en empruntant le Gr 15.

La distance entre ces 2 villages est de 12 km. Il est donc souhaitable qu’arrivés à Saravillo, des véhicules puissent nous rapatrier vers Badain. A quand les automobiles connectées ??? En attendant, fut élaboré un astucieux plan de rotation de voitures, afin que 2 véhicules attendent les conducteurs à Saravillo pour les rapatrier à Badain puis revenir à Saravillo chercher « le gros de la troupe ». Nous sommes 25, cet exercice fut d’autant plus méritoire à mener à bien. Félicitations à nos 2 chefs.

Ce problème logistique étant résolu, nous quittâmes Badain (710 m) à 9h40.

Le Gr 15 est globalement un bon sentier. Au départ, il est caillouteux, on passe sous 2 importantes conduites forcées côtoyant la voie d’un très ancien funiculaire utilisé pour la construction de ces conduites. Intéressant à voir.

Le sentier devient ensuite terreux et très confortable, il traverse cependant quelques pierriers et quelques troncs d’arbres abattus qui viennent entraver notre progression.

Vers 11h30, nous arrivons au col de Malaire (1307 m), la cabane de Peguera est toute proche, un joli terrain herbeux l’environnant nous permet d’y établir notre coin repas.

Vers 13h, nous voyons quelques nuages un peu inquiétants s’amonceler au-dessus de nous. Il est préférable de quitter cet agréable lieu.

Nous reprenons le Gr15 direction Saravillo. Après 1/2h de marche nous sommes à proximité du Pico de San Miguel. Trois propositions s’offrent à nous : 1/ Aller au pic. 2/Grimper à l’aide d’une chaine sur une petite éminence qui offre un intéressant point de vue sur le rio Cinqueta 300 m plus bas. 3/Se contenter de suivre le Gr vers Saravillo.

Ainsi, 3 groupes se créent, ne qualifions ni les uns ni les autres !!!

Le Gr descend longtemps en forêt. Celle-ci, pourtant bien belle, a beaucoup souffert ; de nombreux arbres abattus (entre autres sur le sentier) ou étêtés. Le vent ? La neige ? Ou les 2 ?

Tout le monde se retrouve à Saravillo, coquet petit village qui était relativement isolé du monde il y a 60 ans, seule une piste empierrée y parvenait. Le tourisme l’a ressuscité.

Le système de voitures mis au point ce matin fonctionna parfaitement et c’est dans un café non loin de Tella que nous pûmes prendre nos collations et rafraîchissements. Durant la rotation des voitures, un bel orage qui avait patienté jusque-là se déclara. Nous étions à l’abri !!

Vous avez tout parfaitement bien géré, Annie et Francis. Même la météo.

Belle découverte et très bonne journée. Nous vous adressons un grand merci.

S de l’A

De Badain à Saravillo
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De Badain à Saravillo
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De Badain à Saravillo
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De Badain à Saravillo
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