Publié le 29 Avril 2024

La cabane d’Artigueluz

En ce dimanche 28 avril, Alain pour des raisons familiales, ne peut nous emmener, comme prévu, en Espagne. De plus, la météo est bien maussade. Donc, l’avenir est sombre !! Un dimanche à se morfondre « au coin du feu !! ».

C’est compter sans le désir profond de certains membres du club, dont Jean-Pierre, de conjurer le sort. Nous allons tout de même sortir et faire une petite randonnée dans le massif du Bassia.

A l’entrée de Sarrancolin, côté ouest, une route qui se transforme en piste bien carrossable, aboutit au lieu-dit : les Panets (situé à 820 m d’altitude). Une ferme est l’aboutissement de cette piste. Ses occupants sont très amicalement hospitaliers ainsi que leurs chiens.

Abandonnant nos voitures sous leur vigilance, nous prenons à 9h20 un petit chemin bien raide (cela tombe bien, il permet de nous réchauffer !), qui, nous faisant grimper 250 m, nous conduit non loin du Plat de la Peyre, puis en allant plein ouest nous fait aboutir au Prat det Gaouach (1075 m).

Nous y trouvons une piste que nous garderons jusqu’à la cabane d’Artigueluz (1398 m).

Nous y sommes vers 11h30. Nous pourrions aller plus loin, vers le cap de Castillon (plein ouest) par exemple, mais la météo ne s’y prête guère, nous sommes pratiquement dans le brouillard. Cette gentille petite cabane nous ouvre sa porte et à l’intérieur, une table et des chaises sont bien accueillantes. L’espace est réduit, mais aujourd’hui, nous ne sommes que 10, tout le monde y trouve sa place.

Nous entamons notre repas bien confortablement installés. Par contre, au bout d’un moment, le froid commence à nous envelopper. Nous ne nous éternisons pas et à 12h30, nous quittons la cabane.

Nous reprenons la piste de l’aller en marchant d’un bon pas pour nous réchauffer. Nous sommes sur la face nord du massif du Bassia, elle est assez humide et la mousse est abondante sur les troncs des arbres. La forêt que nous traversons est tout de même bien belle.

Nous n’oublions pas, non loin de la cabane, d’aller voir l’orifice du gouffre du Bassia. L’ouverture est réduite, quelle est sa profondeur ? Nous repassons ensuite au Prat det Gaouach. Le temps s’est légèrement amélioré et nous pouvons voir le Plo de Berdaoulou ainsi que la falaise de Pène Haute.

Puis nous descendons vers les Panets sur ce sentier un peu raide. Il faut bien sur regarder où l’on met les pieds (bien que mise à part, une raideur relative, le terrain est très confortable) mais surtout, on apprécie la vue plongeante sur Sarrancolin et la vallée de la Neste, beau spectacle !

Vers 14h30, nous sommes chaleureusement accueillis par les chiens qui gardaient nos voitures. Nous passons un petit moment avec eux et leur maître.

Deux heures de montée, autant de descente, sans jamais ne trop se presser sauf pour nous réchauffer par moments. Nous avons gravi 650 m et marché 10 km.

Très belle improvisation, merci à Jean-Pierre et à Danièle (sa pilote).

S de l’A

Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz
Cabane d'Artigueluz

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Repost0

Publié le 23 Avril 2024

Le TEILHET (1287 m)

Une belle petite classique nous est proposée par Jean-Louis :

Le Teilhet au départ de Campan que nous quittons à 9h.

Après avoir traversé la passerelle sur l’Adour (650 m), nous prenons le sentier plein nord, puis NE qui nous conduit à un petit abreuvoir. Nous sommes, nous indique Jean-Pierre consultant son GPS, « à 1 km à vol d’oiseau du sommet ». Notre absence d’ailes (que certains lorsqu’ils sont fatigués, surtout à la descente, déplorent) fait que nous nous remettons courageusement sur nos jambes pour gravir les 380 m, de dénivelée, nécessaires pour rallier le Teilhet. Ce sentier orienté Est, N-E est excellent. Il monte régulièrement de manière confortable. Ainsi, vers 11h30, tout le monde est au sommet.

Il est un peu tôt pour manger, et ce sommet est balayé par une petite bise assez fraîche. Nous apprécions le beau panorama qui nous est offert. Il est vrai que cette réflexion est faite lors de chaque sortie avec un sommet comme but. Mais cette contemplation des pics qui nous entourent fait partie intégrante des plaisirs des randonnées. On ne s’en lasse jamais ! Une mention spéciale pour le Casque du Lhéris à 1h30 de marche, qui a donné quelque envie de visite chez certains d’entre nous. Mais ce sera bientôt l’heure du repas.

Nous sommes tout près du Courtaou du Teilhet où la cabane pourrait nous protéger du vent, mais elle parait déjà occupée. Une mini-dépression et quelques petits rochers jouxtant le sommet nous procurent un endroit suffisamment abrité pour assouvir notre faim. La fin du repas fut agrémentée par quelques chants montagno-bigourdans, bien sympathiques.

Vers 13h, nous quittons notre « salle à manger » et descendons vers le Courtaou. Non loin, nous redécouvrons une curiosité : la glacière, c'est-à-dire un large puits de 5 à 6 m de profondeur, qui servait de réservoir à glace. Dans le même esprit et dans le même coin, de petites guérites permettaient de laisser le lait au frais avant de le transformer. C’était le réfrigérateur des anciens, « les leytés ».

Un regard sur la cabane magnifiquement restaurée, belles pierres et ardoises neuves.

Ensuite, un sentier un peu caillouteux va nous faire descendre les 600 m qui nous ramènent au niveau de l’Adour et nous retournons sur Campan, retrouver nos voitures.

Inutile de chercher un café, nous fêtons joyeusement l’anniversaire de Jean-Louis au bord de la rivière.

Belle et très sympathique randonnée.

Merci Jean-Louis.

S de l’A


 

Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m
Le Teilhet 1287 m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Repost0

Publié le 16 Avril 2024

Les Tunnels Decauville

Voici une randonnée bien originale que Jean-Pierre nous fit découvrir il y a 7 ans. Il nous propose d’y retourner.

Pourquoi cette succession de tunnels, dans le fond d’une vallée profonde d’Ariège ?

Un brin d’histoire industrielle : au pied du Mail de Bulard, des filons de minerais riches en plomb et zinc argentifère étaient découverts et exploités depuis 1853. Le transport de ces précieuses roches à cette altitude à dos d’hommes était délicat et très dangereux. Des tentatives de mécanisation du transport furent tentées avec plus ou moins de réussite.

A la fin du 19ème siècle, pour acheminer le minerai extrait au Fourcaye côté espagnol (près du port d’Orle) une ligne de chemin de fer fut construite. Elle faisait environ 10 km et aboutissait au pied du Tuc de Lauzat. Un funiculaire descendait, vers Lascoux, le minerai qui y était « lavé ».

Paul Decauville, qui construisait du matériel de petit chemin de fer transportable (mines, chantiers) fut choisi pour équiper cette ligne. Il fournissait des rails et leurs traverses métalliques qu’il suffisait d’assembler ensuite. On pouvait aussi facilement les démonter (comme au bon temps des trains électriques offerts aux enfants de mon âge). Cette ligne, placée vers 1200 m d’altitude, subissait l’hiver l’attaque de la neige ainsi que la chute de pierres pouvant endommager les rails. A la fin de la saison d’été, le démontage s’opérait et le matériel était remisé dans des tunnels aménagés.

Avant la guerre de 1914, cette exploitation sans doute pas assez rentable a cessé et la plupart des équipements furent laissés à l’abandon. Ne reste comme vestige que la piste sur laquelle fut bâtie cette ligne, quelques débris de roue métallique et wagonnets et une roue en fin de ligne, dont nous reparlerons.

Revenons à notre randonnée :

Vers 9h45, nous quittons le parking de La Pucelle Bonac-Irazein (881 m) dans la vallée de l’Orle et prenons le sentier qui se dirige vers le col de l’Orle. Ensuite, à notre gauche, un panneau indiquant, «sentier Decauville» nous invite à le suivre et nous atteignons la piste. Les vestiges de wagonnets signalés plus haut nous indiquent que nous sommes au bon endroit, nous avons à présent 10 km de piste à parcourir et traverser quelques tunnels. Mais ce sentier a subit l’outrage des ans et sauf dans une minorité d’hectomètres, on a du mal à imaginer qu’une voie ferrée a pu être installée. Divers éboulements ont comblé ce ballast et lui-même en beaucoup d’endroits s’est effondré.

Il faut dire que cette ligne a été bâtie en corniche sur des pentes très raides à environ 700 à 800 m du fond de la vallée. Ceci implique que le sentier actuel, toujours suffisamment large, comprend des portions assez exposées et il serait bien imprudent de s’y aventurer en cas de neige ou de sol glacé.

Les premiers tunnels se présentent, il y en aura 7. L’accumulation de débris végétaux a relevé le niveau du sol initial, il est fortement recommandé de bien se baisser si l’on ne veut pas que la tête heurte une roche agressive.

A 13h, nous faisons la pause repas à une intersection d’un sentier qui redescend sur notre parking du départ. Il y a 7 ans, nous avions mangé au même endroit puis nous avions pris le sentier de la descente. Nous avons cette fois-ci envie de continuer la piste sur les 2,5 km restants et aboutir à la roue de funiculaire citée plus haut. Le problème nous dit le chef, réside dans le fait qu’ensuite, il nous faudra revenir à l’intersection où nous sommes actuellement, ou, si nous descendons directement du lieu de cette roue sur la route, nous devrons parcourir 4,5 km à pied pour retrouver nos voitures. Au sein de notre groupe de 19 randonneurs a émergé un couple qui très amicalement nous a proposé de descendre directement au parking et d’aller récupérer les conducteurs lors de leur arrivée à côté d’Orle. Un grand merci reconnaissant à Annie et Francis.

Nous partons donc vers cette roue, un dernier tunnel à passer. Son entrée est presque obstruée.

Enfin, au bout d’une petite heure, nous sommes devant cette roue qui (déjà cité) permettait de faire descendre le minerai à Lascoux. A noter que sur un talus surplombant la roue, on jouit d’une très belle vue sur le mont Vallier encore bien enneigé.

Ce funiculaire ayant disparu, il faut descendre les 600 m qui nous font atteindre la route où nous attendent nos obligeants camarades. Les jambes chez certains se font de plus en plus lourdes, mais vers 16h tout le monde arrive à bon port.

Nous avons parcouru 14 km et dénivelé 700 m.

Castillon-en-Couserans possède, entre autres, un agréable café qui nous permit de passer un bon moment d’agréable et amicale détente.

Comme tu as eu raison de nous ramener sur ce sentier ! Très agréable randonnée.

Merci Jean-Pierre.

S de l’A


 

Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville
Les Tunnels de Decauville

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Repost0

Publié le 9 Avril 2024

Cabane d’Ourtiga 1601 m

Connaissez-vous la cabane d’Ourtiga ? Interroge Martiane à ses 28 camarades. Euh…..pas sûr…

Je vais vous y conduire.

Nous quittons ainsi Loudenvielle à 9h et nous dirigeons plein sud sur une piste, bien pavée à l’ancienne à son départ, vers le pont des Chèvres (1100 m). Nous le rallions au bout d’une petite heure. Aucune erreur d’itinéraire possible, une pancarte indique sa direction.

Ensuite, le sentier reste excellent, mais sa pente s’est bien redressée. Nous cheminons principalement en forêt et atteignons vers 1470 m un petit barrage et sa petite retenue d’eau.

Encore un ressaut et le sentier presque plat sur la fin, nous fait aboutir à la cabane. Nous y sommes vers 11h30.

C’est une bien jolie petite cabane, située dans un environnement très accueillant.

Il faut maintenant évoquer la météo. Un pic de chaleur est annoncé sur toute la région. Ceci provient de la présence d’un fort vent du sud (effet de foehn !!). Mais le soleil est voilé et ce vent n’est pas bien chaud. Manger dans la cabane eut été la bonne solution, mais elle est toute petite.

Une minorité d’entre nous s’y installe, le reste du groupe arrive à trouver un petit espace légèrement à l’abri du vent. Nous profitons ainsi du spectacle des hauts sommets encore enneigés qui nous entourent en particulier le pic de Hourgade qui nous domine.

Tout ceci ne nous empêche pas de fêter un bon anniversaire à Suzy.

Le temps n’étant pas favorable à la sieste, vers 12h30, les premiers départs s’opèrent.

Martiane nous propose de faire une boucle. Nous allons rentrer par le Gr 10. Il passe près de la cabane sur l’autre rive du torrent qui la borde. Certains l’empruntent tout de suite.

D’autres descendent par le sentier de l’aller (nommé variante du Gr 10 sur la carte) jusqu’au barrage. Puis, tout le monde prend le Gr 10 qui se balade magnifiquement en corniche jusqu’au village de Germ. Ensuite toujours le Gr 10 nous fera descendre les 430 m nécessaires pour atteindre Loudenvielle, notre point de départ. Un petit mot sur cette descente qui se pratique sur un sentier toujours très confortable, mais dans la forêt, on descend par de tous petits lacets très rapprochés. C’est assez pittoresque.

Nous aurons dénivelé 700 m et parcouru 14 km.

De retour à Loudenvielle vers 16h, nous trouvons sur place un très agréable bar qui nous donne le loisir d’apprécier nos dégustations habituelles.

Très belle découverte, très belle randonnée.

Merci Martiane.

S de l’A

Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m
Cabane d'Ourtiga 1601 m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Repost0

Publié le 3 Avril 2024

Le Cap de Pouy de Hourmigué 1685m

Monique en « régionale de l’étape » nous invite à revisiter un sommet que nous affectionnons, nous l’avons maintes fois gravi. Cette crête « des fourmis » dominant la Barousse coté ouest, et la vallée de Luchon coté est, est d’un accès facile et offre un fabuleux panorama.

Plusieurs itinéraires possibles : Monique comptait nous faire démarrer de Sost, mais, comme il faut traverser des terrains humides, voire marécageux, les pluies survenues la veille qui nous ont fait reporter la sortie au lundi, n’allaient pas s’améliorer leur état.

Nous empruntons au départ de l’aire de Pique nique de Permilla (800m), la piste classique de 7 km qui nous conduit au col de Hourques (1510m). Elle possède malgré sa longueur la vertu d’évoluer en terrain sec.

Un petit bonjour affectueux et nostalgique au camion grue (GMC) qui rouille au bord de la piste depuis des décennies, et vers 11h sommes au pied du col. Nous étions partis à 9h, la froideur du matin nous avait encouragés à avoir un départ rapide.

Petite surprise lorsque nous arrivons au col, nous apercevons devant nous le sommet du Hourmigué recouvert de neige. Elle est toute récente et la couche est très fine.

Pour accéder au sommet, la pente est assez raide, il n’y a pas de véritable sentier, on doit monter dans des herbages. Vers midi, le sommet et atteint par Monique et ses 21 camarades. La petite couche de neige en soit n’est pas gênante, mais une bise soutenue assez froide l’est d’avantage.

Contre des rochers nous trouvons un abri au vent et pouvons déguster notre repas montagnard. Il ne va pas trop s’éterniser, la température ambiante n’étant pas favorable à la sieste.

Vers 13h nous quittons, après un dernier regard circulaire sur le panorama, le sommet. Deux groupes se forment. Une minorité va descendre par l’itinéraire de l’aller. La majorité en suivant Jeanne va descendre vers la cabane de Bordes de Pouy située 200m plus bas coté ouest. Cette cabane restaurée ne mérite pas tellement le détour, mais spectacle du passage d’une harde de cerfs et biches récompense ceux qui ont choisi cet itinéraire.

Il faut ensuite par une descente en sous bois retrouver la piste de l’aller. La jonction se fait assez rapidement avec les camarades qui sont passés par le col. Il reste un peu plus d’une heure pour atteindre l’aire de Permilla. Nous y sommes vers 15h30. Nous avons dénivelé 900m et parcouru 16 ou 18km suivant les 2 itinéraires.

Un excellent « club privé » nous attend à Esbareich, lieu de résidence de Monique, cherchez l’éventuelle corrélation !! Des crêpes à profusion et diverses boissons plus ou moins gazeuses vont nous permettre de fêter plusieurs anniversaires. Nous y restons « un certain temps ».

Chacun ensuite regagne son foyer.

Très belle randonnée, magnifique accueil dans ton « club privé », tu nous as gâtés Monique !

Un très grand merci.

S de l’A

A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée
A suivre la vidéo de la randonnée

A suivre la vidéo de la randonnée

pour visionner le parcours en 3D cliquez sur le lien RELIVE ci-dessous:

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0