Publié le 27 Novembre 2016

S’il fait un peu frisquet dans le fond des vallées, le soleil aidant, la température sera plus douce en altitude.

C’est ce qu’allèrent vérifier 16 montagnards qui partirent sous la direction de Pierre en direction des crêtes du Bassia. Effectivement, un temps magnifique et relativement doux (au soleil) nous attendait au col de Beyrède. Le temps d’aller garer une de nos voitures un peu plus loin à l’ouest, (précaution intéressante pour ne pas avoir à faire, en fin de randonnée, 3km supplémentaires), tout le monde était prêt et équipé pour démarrer à 9h10 et emprunter l’itinéraire très classique du Signal du Bassia. Arrivés 1 h après, sur la crête, nous tournons le dos au Signal et partons plein ouest en direction de Pène Lise. Nous cheminons allègrement sur cette crête, le versant nord est légèrement enneigé, une neige craquante qui porte bien. Nous passons Pène de la Téoulère. Le panorama est magnifique, coté nord nous avons une vue très étendue sur la Bigorre et le Gers). Coté sud, les grands sommets, magnifiquement enneigés, et bien sur, au premier plan, le Pic du Midi.

Bientôt la crête se fait moins hospitalière, nous pénétrons dans une zone rocheuse dans laquelle nous avançons plus lentement, nous sommes sur le versant nord, et une végétation un peu touffue nous prive du soleil. Enfin, au bout de 3/4h, suprême récompense nous trouvons une porte de sortie pour revenir  sur le versant sud et son soleil ; nous sommes au niveau de Pène de Bédout.

Comme par hasard les cloches de la vallée ont sonné midi, il est temps de nous installer pour manger et fêter un joyeux anniversaire à deux de nos amies. Le repas fut donc très agréable avec comme seul voisin le pic de midi. Les meilleures choses ayant une fin, il faut songer à repartir.

Le retour de fait dans des herbages en suivant par moment des sentes de mouton, ensuite nous descendons directement  sur la route qui nous conduira aux voitures du col de Beyrède.

Tout le groupe étant rassemblé, suivant l’humeur de certains les itinéraires de descente ont été variables, et toutes voitures ayant retrouvé leurs passagers, nous revenons sur Sarrancolin, où après avoir dégusté le pot de l’amitié, nous dûmes nous séparer.

Très belle balade, ces crêtes légèrement enneigées et ce passage sur un terrain rocheux et déchiqueté, ont apporté un piment certain à cette rando vraiment montagnarde. Et que dire des anniversaires !!

Nous n’en attendions pas moins de toi, Pierre, grand merci.

Simon de l’Abreuvoir

Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia
Les Crêtes du Bassia

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 20 Novembre 2016

Une randonnée en Espagne vers Plan et Servetto était prévue, mais une fois n’est pas coutume, le mauvais temps sévissait sur cette région et plus généralement sur les Pyrénées. Un vent violant balayait la chaine du sud au nord entrainant de fortes précipitations au sud (comme dit la météo).

Fort heureusement nous avons eu sur notre région, droit au foehn et à son effet spécial. Celui-ci  nous a  gratifié  d’un ciel dégagé et d’une température clémente.

Notre cheftaine décida ainsi de nous conduire vers le plateau de Payolle, l’esprit n’était pas à la recherche d’exploit sportif ou d’escalade vertigineuse mais tout simplement de visiter cet endroit que tout le monde connait bien pour y passer souvent dans le but de gravir un des nombreux sommets environnants. On peut résumer la matinée en disant que nous sommes allés de cabane en cabane. Il y a quelques décennies toutes ces cabanes étaient en ruine, a présent certaines on été magnifiquement restaurées.

Cependant vers 11 heures, Annick a estimé a juste titre, qu’il fallait tout de même faire une petite grimpette, notre seul exploit jusque là avait été de traverser un torrent sur un pont fait avec 3 troncs d’arbre humides. Une ascension sur une petite crête s’imposait donc, ce qui fut fait. En contre-bas une cabane nous ouvrait ses bras et nous allâmes déguster notre pique-nique à ses abords.

Le retour aux voitures fut assez rapide, cela arrangeait certains membres du groupe qui avaient en fin d’après midi des activités diverses et variées. Nous étions partis à 14, nous revînmes bien à 14 malgré par moment une certaine tendance à l’éparpillement, et retrouvâmes un 15ème larron qui ayant eu des obligations familiales dans la matinée ne pouvait être des nôtres mais vînt amicalement à notre rencontre.

Le pot de l’amitié, sur  les allées des Coustous à Bagnères, dans un café très accueillant, clôtura cette belle et sympathique journée.

Merci Annick

Simon de l’Abreuvoir

Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle
Les Courtaous de Payolle

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 17 Novembre 2016

Dén.1050m.

Départ du pont de Manau (Cayres de By ) alt.778m.

Menée par Jean-Pierre, qui expérimentait une nouvelle méthode d’orientation par GPS, une petite équipe de 8 personnes s’est élancée sur les pentes d’un sentier balisé en jaune, menant aux granges d’Ordincède (alt. 1340 m.)

Le chemin très agréable, serpente dans une zone calcaire mise en valeur par les rayons du soleil éclairant les falaises multicolores

Des granges d’Ordincède, nous nous sommes dirigés vers le col du Lhéris (1383m.) en passant par le col de Courouau, la cabane de Banios et la hêtraie sombre de Paillas

Du  col , un sentier raide nous a conduit au sommet du HABOURA  (dit aussi Caoutérou)

Après 3 h. de montée le casse croûte a été bien apprécié

La redescente, à travers crêtes rocheuses et hêtraie ne fut qu’une formalité (1h50 sur le sentier un peu roulant)

Un détour par la fontaine de Crastes (à la recherche d’une géocache) et le pot de l’amitié ont conclu cette superbe journée

Merci à Jean-Pierre, grand animateur de cette sympathique randonnée

Ricardo

Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.
Le Haboura  1628m.

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 1 Novembre 2016

« Ils sont venus, ils sont tous là », dès qu’ils ont  entendu sur les ondes l’annonce d’une météo radieuse et qu’ils ont lu sur le programme la promesse d’une ascension  facile.

 Ainsi, 13 randonneurs quittent l’Hospice de France à 9h10 et se dirigent vers la cabane de Campsaure en empruntant le chemin des chèvres. Ce sentier mérite bien son nom, un peu étroit, escarpé, pentu par moments, pas méchant en vérité, il nous amène directement à la cabane de Campsaure, coquette petite cabane. Moins d’une heure après nous sommes au col de Barèges 1749m. Nous y trouvons un peu de monde, il faut dire que son versant espagnol est accessible par une piste, provenant du col du Portillon, très praticable en 4X4.

Il ne nous reste plus qu’à emprunter le sentier, un peu raide au début et qui se radoucit par la suite, qui nous conduit au sommet. Nous y arrivons comme par hasard à midi.

Très beau panorama, les cartes se déplient et chacun cherche à mettre un nom sur cette profusion de beaux pics, certains légèrement enneigés, qui s’offre à notre regard. Un grand absent cependant, l’Anéto est masqué par le pic de la Mine, mais le reste du massif de la Maladéta avec son glacier très brillant au soleil, nous est bien visible.

Nous nous attardons au sommet et, après notre classique pique nique, nous redescendons.

Une petite visite à la cabane située au col de Barèges, elle est ouverte nous la visitons elle est très belle avec son petit perron, et très hospitalière.

Ensuite plusieurs solutions s’offrent à nous pour le retour. Nous abandonnons l’option de l’aller par le chemin des chèvres, nous n’allons pas non plus en traversant le plateau de Campsaure retrouver l’itinéraire de l’Entécade. Tout simplement nous empruntons le chemin de Louise qui, contournant le sommet du plateau nous amène sur l’ancienne route de l’hospice de France. Elle était en service jusque en 1977 avant qu’un orage un peu plus violent que las autres ne provoquât son effondrement.

 Mauvaise surprise, il faut la remonter  sur presque 1 km et donc ajouter 100m de dénivelée à notre sortie. Ainsi nous aurons fait 750m.

Cela en valait la peine. N’est-ce-pas ?

Simon de l’Abreuvoir

Merci  Jacques

Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m
Le Tuc du Plan de la Serre 1977m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0