Publié le 28 Juin 2017

Pierre nous annonce  une randonnée avec 1400m de dénivelée. Ceci refroidit les ardeurs de certains. Cette dénivelée est en fait moins importante. Nous atteignons le petit village du Couéu, situé au pied du col de Menté, versant ariégeois, nous montons une petite cote et  arrêtons les voitures environ à 900m d’altitude. Il restera tout de même  1250m à monter !

Les fracturations dans les groupes étant très à la mode, pourquoi le club ne pourrait-t-il pas s’en offrir une ?

Trois sous groupes vont donc se créer :

                -Les vaillants, ceux qui veulent faire l’intégralité de la randonnée.

-Ceux, tout aussi vaillants au départ, mais qui en cours de balade considèreront qu’ils en ont  fait assez et s’arrêteront en route.

-Les pas vaillants du tout. Dès la veille ils ont décidé qu’ils n’atteindraient pas le sommet et qu’il est inutile de se lever si tôt (rendez-vous à 6h30). Honte à eux bien entendu.

 

Les 2 premiers groupes, vers 8h, entament le sentier qui les conduit à la cabane du Piejau 1440m. Cette montée se fera dans un brouillard assez dense. Il faut avoir une bonne foi en la météo et espérer en des heures meilleures pour cheminer sur ce  sentier bien raide. Enfin la cabane, elle est très accueillante, mais  Il n’est pas question de trop s’y attarder il reste 700m à gravir. Le brouillard disparait peu à peu. On avance à présent sur une large crête qui dévoile un beau panorama.

 Arrivé au col de Grataux 1661m la scission entre les 2 premiers groupes s’opère.  Neuf d’entre eux continuent vers le sommet, alors que trois autres restent dans les parages et vont visiter les anciennes mines de blende.

Le troisième groupe (les 5 paresseux qui sont partis à 9h15 des voitures), parvient au col de Grataux vers 11h30, les retrouvailles sont, comme de bien entendu, émouvantes.

Bientôt ceux qui ont fait le sommet redescendent, et tout le monde se retrouve pour savourer le repas  habituel des montagnards.

Une brume montante de la vallée fait craindre un moment qu’elle s’attarde un peu trop sur nous, ceci nous incite à ne pas trop nous attarder. Ceux qui le matin, sont monté dans le brouillard, n’ont pas envie de redescendre sous les mêmes conditions.

Nous nous dirigeons  vers la cabane tout en constatant que nos craintes n’étaient pas justifiées, un franc soleil nous y attend. Il fait même chaud et un petit abreuvoir avec un tout petit filet d’eau fraiche est le bienvenu.

La descente est ensuite rapide vers Couéou où vers 15h30, nous retrouvons les voitures.

Le pot de l’amitié se fait au sommet du col de Menté où 2 jolis petits ânes nous souhaitent la bienvenue.

Tu as emmené 16 montagnards dans un endroit inconnu de la plupart d’entre eux. Belle découverte. Merci Pierre.

Simon de l’Abreuvoir

Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m
Le cap de Gauch 2148m

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Publié le 25 Juin 2017

Partis un peu tard (élections obligent) avec Alain comme guide, nous voila au parking du tunnel de Bielsa

Nous montons allègrement vers le col des Aiguillettes (2392m.) à pied évidemment !!!!

Après un regroupement, nous partons à l’aventure en direction du Port de Bielsa. En chemin, nous décidons de monter au Pic de Marioules (2586m.) où nous apprécions le déjeuner

Nous descendons par une crête de schistes au Port de Bielsa (2125m.)là nous repassons en France dans le vallon de Bataillence. Au milieu des cascades et des pentes herbeuses un sentier agréable nous conduit aux voitures ……… nous les enfourchons pour aller boire le pot de l’amitié dans la bonne humeur

Merci Alain pour cette heureuse initiative

Ricardo de la Fuente

Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule
Pic de Marioule

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Publié le 24 Juin 2017

Voila une randonnée inédite dans le calendrier des sorties du club. Jean-Pierre va donc nous la faire découvrir.

En ce jour d’élections (encore une, que la démocratie est exigeante !), le rendez-vous est retardé et les 15 randonneurs que nous sommes, n’atteignent Barèges que vers 9h30. Le temps d’être prêts et chaussés, nous démarrons vers 9h45. Une très belle et chaude journée nous est promise. Toute la montée se fera en sous bois, d’abord par la rive droite du ruisseau du Miadou, puis, après l’avoir traversé, nous montons rive droite en suivant l’itinéraire balisé de la montagne fleurie. Le sentier nous élève par de grands zig-zags sur les flancs de la montagne de la Bène. Durant cette montée, nous remarquons une série de constructions en pierre, bien alignées. Ce sont des ouvrages anti-avalanches. La ville de Barèges a subit durant son histoire, notamment au début du 20ème siècle, plusieurs avalanches dévastatrices.

Nous traversons ensuite la montagne fleurie qui porte bien son nom de part la variété de fleurs et de pins qu’elle nous offre. Nous arrivons sur la crête du Pioulat, 1940m. Le panorama est magnifique comme souvent ; le Néouvielle, le pic Long , les sommets de Gavarnie, le Balaitous. C’est donc l’endroit idéal pour faire la pause repas, d’autant plus qu’il est 12h45. Certains auraient aimé atteindre un replat un peu au-dessus de nous, mais la petite troupe était un peu lasse.

Repas toujours aussi convivial et, comme de bien entendu, nous fêtons un énième anniversaire.

Vers 14h30 nous entamons la descente, d’abord par la crête, puis nous pénétrons dans le bois du Lys et le plateau du Miadou. La chaleur se fait très insistante, par bonheur nous retrouvons le ruisseau, il est le bien venu. Les gourdes étaient vides, une bonne eau fraiche pénètre dans les gosiers asséchés. Les casquettes sont trempées dans le torrent et replacées sur les cranes surchauffés. Merci, petit ruisseau.

Dernière descente et nous retrouvons nos voitures sur le parking de Barèges. On réalise à quel point, la climatisation dans les voitures, n’est pas un gadget !

Belle balade, belle découverte. Merci Jean-Pierre.

Simon de l’Abreuvoir

La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie
La montagne fleurie

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Publié le 4 Juin 2017

Ce pic fait partie des sommets que l’on ne se lasse jamais de gravir.

C’est ce que 12 montagnards ont estimé en se dirigeant d’abord sur le joli petit village d’Artigue perché à 1230m sur le flanc ouest de la vallée de la Pique. Ensuite, ayant abandonné les voitures en ce lieu, ils sont partis vers 9h en direction de la cabane de Saunères. Dès le départ la vue sur Luchon et le massif de la Maladetta est époustouflante. Une petite traversée en forêt, où un compagnon nous rejoint, est la bienvenue, il fait très chaud. Vers 10h15 nous sommes à la cabane de Saunères. Malgré la chaleur, un petit vent nous rend la progression supportable.

Après cette cabane, le groupe se sépare. Certains prennent la piste, d’autres choisissent la crête dite de Serrat de Créspés, tout le monde se retrouvant au plan de Montmajou, 1950m.

Un peu plus loin dans un dernier petit ressaut on atteint la crête que nous suivons jusqu’au sommet. Cette crête qui forme la frontière entre la France et l’Espagne est une large croupe qui monte en pente douce. Mais il faut reconnaitre que, pour quelqu’un qui la gravit pour la première fois, alors qu’il est bientôt midi, que cela fait bientôt 3 heures que l’on monte et qu’il fait chaud, une série de petits monticules donnent l’impression que le Bacanère s’éloigne au fur et à mesure de notre progression. Cela peut altérer temporairement le moral.

Enfin nos efforts sont récompensés, nous sommes au sommet. Un panorama qui va de l’Ariège au Pic du Midi. Belle récompense, nous ne sommes pas montés pour rien.

Tiens ! Il y a un anniversaire à fêter, cela manquait. Mais, petit reproche au Bacanère : D’habitude un petit névé en cette saison permettait de mettre les « bulles » à la température idéale. Hélas il avait disparu, et malgré des sacs isothermes, la température requise des bouteilles était légèrement dépassée, mais sans plus. Après cette célébration toujours très amicale et une courte sieste nous abordâmes la descente et vers 16h30 nous retrouvions nos voitures un peu chaudes.

Un pot de l’amitié à Luchon compléta cette très agréable journée.

Ce Bacanère est bien sympathique, nous y reviendrons.

Merci Jacques

Simon de l’Abreuvoir

Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m
Le pic de Bacanère 2193m

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