Publié le 30 Mai 2022

    Dans notre région tout le monde connaît la silhouette de Napoléon bien visible depuis les hauts de Montréjeau . La randonnée d’aujourd’hui doit nous permettre d'aller chatouiller le nez de Napoléon en faisant l’ascension  de Pène Haute culminant à 1451m. 

    Caroline donne le départ depuis le virage en épingle de la route support du GR 105 croisant le ruisseau de Coume Nère, à 670 m d’altitude peu avant 9h.

     Tout de suite nous quittons la route pour un sentier vers l'Ouest montant assez rapidement puis au niveau du chemin d'Estivère nous prenons vers le Sud-Est en direction du Col, mais par un sentier alternant landes et bois des plus pittoresques.

     La sente est bien tracée et en suivant le balisage rose nous atteignons vers 11h 20 le Col d'Estivère à 1219m.

     Du col une montée sévère nous amène Nord-Ouest jusqu'au pied de la falaise aux multiples voies d'escalade équipées. L'une d'elles est d'ailleurs investie par un petit groupe de grimpeurs.

     Après avoir admiré la vue somptueuse sur la Vallée d'Aure nous longeons la falaise jusqu'à son extrémité Est,  puis nous plongeons sur le versant Nistos afin de contourner par le Nord la crête de Pène Haute  au prix d'une perte de dénivelé de 200 m. La frustration est quelque peu adoucie par la découverte de quelques Edelweiss curieusement fleuris si tôt dans la saison puis la pente s'inverse à l'entrée d'une magnifique hêtraie que nous parcourons jusqu'au sommet au prix d'une ascension de quelques 230 m.

     La récompense est au bout de l'effort car il est autour de 13h 30 et nous avons tôt fait de trouver une place pour le repas sur le bord de l'arête du haut de la falaise avec sous les yeux le panorama grandiose de la vallée d'Aure non sans avoir fêté l'anniversaire de l'une de nos amies.

     Il est 14h 30 et Caroline donne le signal de la descente d'abord en suivant la crête jusqu'à son extrémité Ouest puis par landes et forêts nous rejoignons les voitures vers 16h 15 en ayant suivi, approximativement, le balisage « 6 rose »

 

     Merci Caroline pour cette magnifique rando, nouvelle pour la plupart d'entre nous, où nous aurons parcouru 11,9 km pour 1073m de dénivelé cumulé.

 

Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute
Tour de Pène Haute

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Publié le 25 Mai 2022

Alain nous propose souvent d’intéressantes randonnées en Espagne. En cette chaude journée du mois de mai, il n’a pas faillit à sa réputation. Il amène avec lui une quinzaine d’amateurs de canions.

Après 2 h de voiture et après avoir dépassé Boltania en allant vers Sieste, nous stoppons sur un parking à proximité du rio de Sieste.

Nous empruntons  un sentier très confortable puis, nous arrivons sur le rio que nous allons remonter. Nous ne sommes qu’au mois de mai, son débit est encore un peu soutenu et il faut cheminer par des sentiers qui alternent entre les rives droite et gauche. Le paysage devient de plus en plus enchanteur. Ces parois calcaires qui nous dominent et quelques fois nous surplombent sont magnifiques.  Nous évoluons de vasque en vasque jusqu’à (au bout d’une heure) la vasque « Posa de Chinchirigay ». Elle est fermée en amont par une impressionnante barre rocheuse.  Les choses sérieuses commencent !!

Pour la passer, il faut aller rive droite, prendre derrière un gros caillou, un sentier presque invisible qui devient tout de suite très raide. Une corde y a été installée. En s’en aidant ainsi que des branches de buis que nous frôlons, nous parvenons à nous élever. Il y a aussi une série de racines apparentes qui nous font des marches d’escalier. Quittant ce court sentier terreux et boisé, nous arrivons à la barre rocheuse qu’il faut escalader. Ici, c’est une chaine qui va nous aider. Une autre aide salutaire du compagnon qui nous suit, est bien utile à certains. Enfin le sommet de cette barre  est atteint. Après un petit répit, une descente de nouveau bien raide équipée de cordes,  clôture la partie délicate de la randonnée. Comme toujours, certains ont beaucoup apprécié ces passages, d’autres moins….

Nous nous retrouvons tous  enfin sur un sentier montant qui, au bout de ¾ d’heures nous conduit au village abandonné de Morcat (1085m). Il est 13h cela fait 3h que nous marchons. Non loin de plusieurs bâtiments en ruine nous trouvons une agréable terrasse pour déjeuner, avec en point de mire, au loin, le mont Perdu.

Le retour se fera par des sentiers qui dominent le rio ; nous finirons par le rejoindre près de l’endroit où nous l’avions abordé ce matin, là où le sentier était si confortable !

Une petite fête d’anniversaire nous attend aux voitures ;  depuis le début du mois chaque dimanche aura été marqué par un anniversaire. Joli mois de mai !!

Ensuite 2h de voiture nous attendent pour rentrer, avec pour certains la traditionnelle étape chez Luis.

Très belle randonnée,  physique par moments, merci, Alain.

S de l’A

Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste
Barranco de Sieste

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Publié le 17 Mai 2022

Les conditions d’enneigement et météorologiques ne permettant à Bernard de faire sa randonnée prévue, il se rabat vers une valeur sure et unanimement appréciée : Le Port Vieux. Nous sommes une petite trentaine à adhérer à ce choix.

Nous partons du parking situé au sortir du tunnel : Aragnouet-Bielsa et empruntons l’ancestral sentier (le tunnel n’a été ouvert que dans les années 70) qui nous mène  au col. Nous évoluons primitivement en sous-bois, pouvons furtivement contempler la cascade à notre gauche, puis au bout d’une petite heure, après être sortis du bois, nous atteignons une cabane, le lieu habituel d’une pause. Le vallon est très large, nous apercevons  au loin le col à atteindre. 

Le groupe va se séparer entre les tenants entre ceux qui estiment que le col ne sera qu’un passage (sur le plan de la sémantique, ils ont raison) et ceux qui se moquant de cette sémantique basique pensent que ce Port Vieux leur confère un excellent but de randonnée. Il est convenu que tout le monde doit s’y retrouver pour manger. Chacun des 2 groupes évoluant à un rythme différent les premiers arrivés au col se dirigent à leur droite vers le pic de l’Aiguillette situé 150m au-dessus du col.

Durant toute ascension, nous n’avons traversé que quelques rares plaques de neige. Par contre, lorsque nous sommes au col, le contraste est saisissant avec le versant nord qui est magnifiquement enneigé sur toute sa totalité. Très beau à voir, plus délicat à descendre.

 Un petit plateau, situé sur le départ du pic de port Vieux, offrant un beau belvédère et une non moins bonne salle à manger était notre point de ralliement. Mais,  depuis que nous avons pris de l’altitude et surtout en arrivant au col, un vent violent nous balaie et déstabilise certains. Il ne faudrait pas être sur une crête étroite.

Voila pourquoi, malgré la beauté des lieux, le col est abandonné, nous descendons  et trouvons  un petit creux d’herbe un peu à l’abri. Ceux qui étaient partis à l’assaut du pic de l’Aiguillette ne profitent pas longtemps de leur conquête et viennent nous retrouver.

Un sympathique repas  s’en suit. La température peu propice aux siestes fait que nous ne nous attardons pas trop et redescendons.

Arrivés aux voitures une petite fête d’anniversaire nous attend.

Une très sympathique journée. Cet itinéraire du port vieux est vraiment agréable.

Bon choix, merci, Bernard.

S de l’A

Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)
Port Vieux (2378m) et pic de l’Aiguillette (2517m)

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Publié le 10 Mai 2022

 

   En ce Dimanche 08 Mai 2022 ce sont deux randonnées qui nous sont proposées au départ de l'Hospice de France dans la vallée du Lys.

   Jacques menant un groupe vers le Col de Barège c'est Monique qui mène le second vers le Campsaure. Nous sommes dix-neuf à démarrer de l'Hospice à 1379 m vers 9h 50. Prenant la piste Sud-Est qui s'élève à travers bois nous parvenons au bout d'une heure sur le plateau du Campsaure d'où nous pouvons apercevoir le Pic de Poilaner et celui du Campsaure encore partiellement enneigés.

   Doublant le premier nous mettons le cap sur le second et suivant le vallon du Roumingau nous atteignons , à midi, après une sévère montée, le Pas de Vilamos 2042 m. Une petite pause pour un regroupement et pour admirer la vue sur la vallée de Bossost et nous attaquons la crête en direction du Tuc de Campsaure 2141m atteint en un petit quart d'heure après un peu de marche sur névés.

    Pause repas au sommet mais pas de sieste car le vent est glacial et les quelques gouttes se transforment vite en grésil.

    Nous reprenons vers 13h 10 en suivant la crête frontière, passons le Pas d'Arro, 2108 m puis le Montagut 2149 m, redescendons vers le pas d' Arres 2115m , et remontons jusqu'au Pas de Pala Barrada pour redescendre par le Pas dera Trona à 2042 m au pied du Tuc d'Aubars.

    Obliquant plein Ouest nous avons en visuel le Coth de Baretja ou Col de Barege 1751m, que nous atteignons vers 14h 40 après une descente directe de près de 300m.

     Petite visite à la cabane et à la bergerie puis nous reprenons plein Sud le sentier rive gauche du vallon nous menant vers 15h25 près de la cabane de Campsaure à 1654 m.

     Le sentier des Chèvres nous mène ensuite plein Sud à travers les estives puis la forêt pour aboutir juste au dessus de l'Hospice de France atteint vers 16h 15 , non sans nous avoir offert une vue somptueuse sur la vallée de Vénasque gardée par le Pic de la Mine, le Sauvegarde et la Montagnette.

     Malgré un temps pas toujours agréable nous avons effectué une magnifique randonnée de 12,2 km pour près de 900m de dénivelé.

 

           MERCI MONIQUE

 

Modeste petit plan B

Comme indiqué plus haut, un groupe de 8 randonneurs se désolidarisa, à l’Hospice de France, du groupe principal et décida que le col de Barèges pouvait être atteint sans devoir passer par toute une série de crêtes ! Nous prenons le chemin des chèvres qui de l’hospice nous conduit à la cabane de Campsaure, il est très légèrement escarpé par moments, c’est sans doute pour cela qu’il mérite ce nom. Sauf que les biquettes sont capables d’évoluer sur des terrains bien plus délicats.

 Vers 11h nous sommes à la cabane et après une courte visite nous partons sur un sentier bien humide vers le col de Barèges que nous rallions vers midi. Certes le Tuc du plan de la serre juché 230m au-dessus de nous, nous invite à le visiter mais, après une courte réflexion, personne ne répond à sa sollicitation et nous entamons notre repas, bien protégés d’une petite brise assez fraiche par la cabane du col.

Nous la quittons vers 13h et repartons vers celle de Campsaure. Plusieurs itinéraires pour rallier l’hospice de France sont possibles, c’est le chemin de Louise qui est choisi. D’accord il est nettement plus long que le chemin des chèvres, mais il est très confortable et il traverse une belle forêt. Petit bémol, au niveau des sources des Dousses nous rejoignons l’ancienne route de l’Hospice de France et nous devons la remonter sur à peu près 700m pour y accéder, ce que nous faisons vers 15h15.

Il ne nous reste plus qu’à attendre nos compagnons que nous retrouvons un peu après 16h. Ils sont enchantés de leur randonnée. On les comprend, mais nous avons bien aimé la notre.

Merci Jacques

Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022
Tuc du Campsaure  08/05/2022

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Publié le 3 Mai 2022

Il a déjà été dit que c’est un grand classique, nous l’avons maintes fois visité avec ou sans raquettes.

Nous sommes 19 randonneurs pour suivre Richard au départ de Cazaux Dessus (1289m). Pour être plus précis, nous sommes très rapidement 20 car un petit compagnon à 4 pattes s’est  joint à nous et nous accompagnera durant toute la sortie.

La seule variante de cette randonnée se trouve dans l’itinéraire. Nous n’empruntons pas la route forestière de Balencous, mais, allons chercher un sentier qui nous conduit  sur la crête de Portet. Il nous suffit de la monter  pour arriver au Cap de Tuquet  1844m.

Cette petite éminence fut éventuellement envisagée comme  lieu d’arrivée à l’attention d e celleszéceux qui  désireraient peut-être ne pas monter plus haut ;  mais il n’est que 11h le sentier quoique un peu pentu par moments n’est pas difficile, tout le monde veut continuer.

Nous finissons donc de gravir les 250m restants  et, vers 11h30, nous nous réunissons au sommet du Soum de l’Aigle où nous attendait une compagne, régionale de l’étape, qui venait de Mont.

Dans notre groupe, certains membres estimaient que monter 790m n’était pas suffisant. Nous sommes sur un sommet qui fait partie d’une vaste crête et 1km au nord se trouve  le Pouy Louby. L’idée germa très vite dans leur esprit, les sacs à dos étant laissés à l’amicale surveillance des « sédentaires », ils s’élancèrent vers le Pouy Louby. Après  ¾ d’heures ils  furent de retour et nous pûmes partager notre repas du 1er jour du beau mois de mai avec l’anniversaire de Gérard  en prime.

La température ambiante n’étant pas réellement favorable à une longue sieste, un peu après 13h nous quittâmes ce sommet toujours suivi de notre aimable petit compagnon. Si, comme il a été dit, il existe plusieurs itinéraires pour accéder à ce pic, la réciproque ne me parait pas pertinente. Il faut revenir par le cap du Tuquet pour pouvoir bénéficier encore un peu du panorama qui s’offre à nous. « Avec un soupçon des réserve toutes fois » : Les nuages nous masquent quelques sommets, mais nous avons tout de même un régal devant les yeux.

Nous arrivons à Cazaux Dessus, après avoir dit un rapide au revoir au petit chien qui a cherché d’autres compagnons, nous fûmes invités par André  qui nous emmena sur une  jolie petite esplanade pour fêter son anniversaire, le deuxième de la journée.

Très belle journée. Ce pic de l’Aigle est une valeur sure.

Merci  Richard

S de l’A

Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m
Le Soum de l’Aigle 2078m

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