La neige n’étant pas au rendez-vous, 15 randonneurs vont rendre, sous la direction d’Annick, une petite visite au Monné de Bagnères.

Partant non loin de l’établissement thermal, nous montons 200m sur un sentier en lacets vers les allées dramatiques. Il ne faut pas se méprendre sur l’origine de ce nom inquiétant ; inutile de s’imaginer que des randonneurs ou bergères y étaient dévorés par des loups ou des ours. Tout simplement, en ces lieux, étaient données des pièces de théâtre d’où cette référence à la dramaturgie.

Ensuite nous suivons un beau sentier en sous-bois, nous arrivons à un petit col et nous dirigeons vers le petit Monné qui se trouvant totalement dégagé de la forêt, constitue un remarquable belvédère sur Bagnères et la vallée de Campan.

C’est l’anniversaire d’Annick, nous le fêtons comme il se doit. Nous admirons aussi le panorama. Ce modeste sommet, placé juste au sud de Bagnères nous offre une vue très étendue sur la plaine.

Nous redescendons tranquillement, c’est ainsi que nous terminons notre dernière randonnée de l’année 2015. Elle a été riche en évènements de tous genres : sorties grandioses, beau séjour touristique, une mémorable montée vers un refuge sous l’orage, quelques « coups de pompe » etc mais toujours dans une ambiance de franche camaraderie, d’entre-aide si nécessaire et de bonne humeur.

Merci à Annick ainsi qu’à tous les accompagnateurs tout au long de l’année. Et joyeux Noël à tous.

Simon de l’Abreuvoir

Dén.680m.

9 randonneurs sont partis de Saint-Aventin pour une belle randonnée pédestre et culturelle

Après que Monique nous ait conté la légende de St-Valentin et expliqué l’architecture de l’église

éponyme, le sentier nous a mené sur les crêtes à la découverte de « cromlechs » et du « Cailhaou dets pourries » (ou pierre à cupules).Plus haut, la cabane de Courrau (but de notre ascension) a servi de lieu de pique-nique

La descente nous a permis de visiter Benqué et son église du xiv ème siècle possédant de belles peintures

Au retour, certains et certaines mirent leurs chaussures dans la trace incrustée dans la pierre par St-Aventin, dans l’espoir de se marier dans l’année

En revenant sur terre,nous avons regagnés nos pénates,heureux d’avoir passé une belle journée

Merci Monique

Ricardo de la Fuente

Sous ce soleil magnifique nous n’allons pas gravir un sommet prestigieux ni battre un record de dénivelée, mais, sous la conduite de Monique, nous allons visiter cette belle vallée de Barousse et faire un circuit de 20 km.

Commençons par le château fort de Bramevaque, visitons son donjon en parfait état avec de très belles salles et bien entendu sa légende : une dame y aurait été enfermée 30 ans derrière ses murailles. Brr !!!! Cependant, l’importance de ce château permet d’imaginer le dynamisme de cette vallée au moyen âge. Un agréable sentier parallèle à la route, nous conduit à Mauléon Barousse qui possède aussi un château (les comtes de Comminges ne manquaient pas de résidence !). Nous montons sur Esbareich que nous traversons pour gravir le seul sommet de la journée qui est le mont Castéra 865m. Ce sommet nous offre une vue aérienne sur Esbareich et un beau panorama sur des monts voisins : Mont Aspet, Pic d’Areng, Hourmigué. C’est l’heure du repas et nous avons le lieu idéal pour satisfaire notre faim.

Nous redescendons ensuite sur Esbareich, Sost et remontons à la croix de Crouzet (départ du Hourmigué), nouvelle descente vers Esbareich (décidément) par la route, nous traversons la D22 et une rivière qui se nomme l’Ourse ; le tablier du pont que nous empruntons possède une très belle architecture, identique à celle du Viaduc de Mail Trincat où nous étions dimanche dernier.

Nous ne pouvons pas retraverser Esbareich sans nous arrêter chez Monique (notre cheftaine) où comme par hasard, une somptueuse collation nous attend.

En reprenant ensuite l’itinéraire du départ vers Mauléon et Bramevaque nous retrouvons nos voitures, il est 16h30.

Tu aurais beaucoup aimé ce circuit Paul. Nous te dédions cette sortie.

Merci Monique