Publié le 6 Février 2024

Le pic Saint-Vincent 1944 m

Nous avions une revanche à prendre, et nous avons attendu 7 ans pour l’assouvir.

Petit retour en arrière : au printemps 2017, Jean-Pierre nous conviait au pic St Vincent. Mais la météo ne nous était pas favorable et un vent très violent avait accompagné la seconde partie de notre ascension. Nous étions arrivés au sommet, ballottés par le vent, et tout de suite redescendus, ne profitant aucunement de la beauté du panorama.

Après 7 ans de réflexion, nous refaisons une tentative. La météo est idyllique, Eole se repose.

Ce ne sont pas moins de 25 randonneurs, toujours sous la direction de Jean-Pierre, qui quittent le Chiroulet à 9h et prennent la piste qui conduit au Courtaou de la Lit (1500 m) et ses jolies cabanes. Une pensée pour Georges Buisan à qui l’on doit cette belle restauration. Après une petite halte dans ce lieu familier, nous partons plein ouest vers la cabane de Bénaquès située 150 m au-dessus. Nous commençons à trouver quelques petites plaques de neige, mais vraiment peu de choses alors que nous évoluons vers 1600-1700 m.

Nous montons toujours vers l’ouest et apercevons bien à notre droite encore un peu loin et haut pour certains, le pic Saint-Vincent. Il paraît avoir un abord un peu rébarbatif, surtout avec sa face Est verticale. Mais il suffit de le contourner par l’ouest, on aboutit sur une large crête et, sur une pente modérée, on arrive au sommet. Nous y arrivons en ordre dispersé vers midi.

Le temps magnifiquement beau et clément nous permet d’apprécier un grandiose panorama, cela valait la peine d’y revenir !!

Nous prenons notre temps pour manger et profiter de l’environnement.

Vers 13h15, nous redescendons par le même itinéraire, quelques, tout petits névés agréables à descendre, et nous nous trouvons rapidement à la cabane de Bénaquès. Ensuite, par des itinéraires légèrement différents (parce qu’il y a d’autres petites cabanes à visiter) nous nous retrouvons aux cabanes de la Lit.

Nous avons choisi d’y fêter un anniversaire. Ce lieu s’y prête si bien. Rien ne nous presse, nous y séjournons une heure.

Nous quittons enfin, comme à regret, ces cabanes et descendons retrouver nos voitures.

Nous avons tout de même dénivelé 900 m, mais sur un terrain globalement facile.

Tu as eu grandement raison de nous y ramener.

Merci, Jean-Pierre

S de l’A


 

Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m

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Publié le 30 Janvier 2024

Les crêtes d’Aulon

Maryse nous enjoint de l’accompagner sur des lieux qui lui sont très familiers. Un petit massif orienté ouest-est sépare les vallées du Lavedan au nord et de la Neste au sud. Nous avons plusieurs fois foulé sa crête large et facile.

Le projet initial consistait à parcourir ce terrain en raquettes. Mais un petit détail manquait : l’absence de neige !! Nous nous en passerons et les raquettes seront privées de sortie !!!

Nous sommes 19 à retrouver Maryse à Soulan (1330 m), à 9h. Nous partons par le sentier des Nobis. Miserere !! Il nous prend à froid. Il est bien raide, pas le temps de chauffer ou souffler. Durant 200 m, sa déclivité ne se dément pas. Nous arrivons enfin à 1574 m sur le GR 10. La pente sera moins raide !!

Nous suivons un peu le GR 10 vers l’ouest, puis nous l’abandonnons pour monter dans de vastes herbages vers un petit sommet nommé « le Serre » à 2004 m. Nous y sommes vers 11h25. Non loin de là, nous trouvons une bonne plate forme qui nous sert de salle à manger.

Il fait beau, il souffle une brise d’autant plus légère que nous sommes assis. Placés en cet endroit, nous profitons d’un fabuleux panorama ! C’est toujours ainsi sur tous les sommets, mais nous sommes au seul endroit où l’on peut avoir une vision aussi précise de la face Sud de l’Arbizon. On ne voit pas les granges de Lurgues qui sont trop en contrebas, mais on devine bien, ensuite, tout l’itinéraire de son ascension : les rochers au niveau de la fontaine de Coulariot, la brèche d’Aurey et la montée finale.

Revenons à notre repas que nous terminons vers 12h30. C’est là que Maryse va se distinguer par rapport à nos précédentes randonnées sur ce même terrain. Nous sommes toujours redescendus en reprenant l’itinéraire de l’aller.

Elle nous fait partir vers l’ouest où nous trouvons un minuscule lac gelé, puis un peu plus loin, un autre lac un peu plus vaste, mais tout aussi gelé. Certains s’y hasardent un peu.

A une centaine de mètres, nous retrouvons le GR 10 et allons le suivre plein Est sur environ 5 km. C’est un très agréable sentier, primitivement en corniche sous « le Serre » il descend ensuite sur de vastes herbages vers le cap de Pède. Durant ce parcours, nous avons toujours la splendide vue sur l’Arbizon et le village d’Aulon. Un peu plus loin, nous apercevons les granges de Lurgues, ainsi tout l’itinéraire de la montée de ce mythique est sous nos yeux.

Une petite éminence : le soum de Pacou (1612 m), sera le but ultime de notre traversée.

Nous descendons vers les granges de Grascouéou, puis nous prenons la piste bien connue qui nous conduit jusqu’à la route du Pla d’Adet où, une voiture judicieusement bien placée portera les conducteurs dont les voitures se trouvent 1 km plus haut, à Soulan.

Un café à Arreau qui depuis plus d’un siècle porte le nom d’une capitale étrangère, nous accueille chaleureusement et nous permet de bien terminer cette journée.

Tu nous as proposé une bien belle randonnée. Nous pensions bien la connaître, mais avec toi, nous l’avons très agréablement redécouverte. Merci Maryse.

S de l’A

La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m

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Publié le 23 Janvier 2024

Le Mondoto 1959 m

Ce sommet ne nous est pas inconnu, nous l’avons gravi en septembre 2020. La beauté du panorama qu’il nous offre, l’à-pic vertigineux de sa face Est sur le Cañon d’Añisclo, tout ceci a été décrit, et notre seul désir était d’y retourner.

Ainsi, lorsque Francis a proposé cette sortie, nous sommes 18 pour être au rendez-vous. Il y a un bémol non négligeable à apporter à ce projet, ce sont les 2h30 de route pour y accéder. Le splendide Haut Aragon se gagne !! Partis à 7h45 de La Barthe de Neste, nous démarrons à 10h30 de Nerin, ou plutôt à côté de l’ermitage de Santa Maria à 1350 m.

Le sentier bien tracé, mais rocailleux nous conduit au col de la Balsa (1800 m). Il ne reste plus qu’à gravir 150 m de dénivelé sur un terrain un peu herbeux, un peu caillouteux et un tout petit peu recouvert de neige. Ne pas oublier que nous sommes fin janvier et qu’à cette altitude la neige devrait être plus abondante. Par contre la nuit a été froide, et il vaut mieux éviter les plaques de glace au sol.

Aux alentours de 13h, tout le monde est au sommet. Nous nous éloignons légèrement du bord vertigineux de sa face Est, nous trouvons des petits rochers émergeants de la mince pellicule de neige qui nous procurent de bons sièges dans ce restaurant d’altitude.

Un dernier coup d’œil sur le fabuleux panorama, vers 14h, nous repartons non sans avoir rendu visite à une toute petite cabane marquée sur une carte comme « cabana de Pietra »

Aux environs de 15h30, nous retrouvons nos voitures et prenons la route d’Escalona. L’itinéraire du retour nous permet d’admirer peu après Buerba le massif des Sestrales. Magnifique !!

Hélas, arrivés à Escalona, nous ne trouvons aucun café ouvert. Bien dépités, nous repartons vers Bielsa où, au centre-ville, un établissement ouvert et accueillant, nous permet de passer un bon moment.

Peu après 18h nous quittons l’Espagne. Il fait nuit, côté français, il faut faire attention à l’état de la route, légèrement verglacée par moments.

Chacun rentre sans encombre et il ne nous reste plus que le souvenir de cette magnifique randonnée et la belle journée qu’elle nous a permis de passer.

Grand merci à toi, Francis.

S de l’A

Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
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Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m

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Publié le 15 Janvier 2024

Plo del Naou 15 Janvier 2024

Dimanche dernier, nous avions reporté le Plo del Naou pour cause de grand froid, c'est donc aujourd'hui que Thierry nous y mène en remplacement de Marydany indisponible.

Nous démarrons vers 9h du lac de Payolle à 1130 m. Nous sommes 17 à suivre la route qui contourne le lac. Certains chaussent les raquettes, d'autres non. A la limite Ouest, nous tournons à gauche vers la forêt du Différend. C'est ici que commence l'ascension proprement dite. La pente est raide et nous prenons rapidement du dénivelé, puis, après avoir traversé un chaos de sapins abattus par la dernière tempête nous sortons de la forêt pour trouver un beau soleil qui va nous accompagner jusqu'au sommet. Nous y sommes vers 11h45, nous sommes à 1752 m et avons gravi 622 m de dénivelé.

Le temps d'un peu de repos et d'admirer le somptueux panorama enneigé nous reprenons la marche à la recherche d'un endroit propice au pique-nique. Nous le trouvons sur le bord de la Crête de Bidour au moment ou le sentier aborde la forêt. Tassant un peu la neige chacun aménage son site.

Nous repartons vers 13h15, mais au lieu de suivre la piste habituelle à l'ombre, nous continuons sur le bord de la crête sur un sentier où la neige commence sérieusement à virer à la boue sous l'effet du réchauffement rapide de la température. Le parcours est ensoleillé, très agréable, bien que parsemé de petites bosses et de pitons rocheux nous obligeant à absorber un supplément d'un dénivelé déjà conséquent.

On achève enfin la montée pour basculer dans la forêt sur une pente très raide rendue glissante par la neige et après quelques zigzags nous rejoignons la piste classique aboutissant au Col d'Aspin.

Petite halte de regroupement et nous nous engageons sur la piste en contrebas de la cabane. Nous la suivons plein Ouest dans le bois de Cloutet et après quelques lacets, nous rallions le stationnement au bord du lac où nous retrouvons nos quatre amis de la rando alternative.

Merci Thierry d'avoir mené notre première sortie hivernale de l'année qui nous a fait parcourir 11,5 km pour un dénivelé de 700 m.

JP

Cabanes de la Hosse 1430 m

Alors que leurs camarades s’attaquaient vaillamment au Plo del Naou, une très modeste équipe au nombre de 4 individus, tout juste pour faire une équipe de belote ou de Monopoly, rallia elle aussi Payolle avec 1h de retard sur leurs camarades, et avec des ambitions plus modestes.

Nous trouvons opportunément une place de parking à coté de celles de nos amis. Nous ne nous munissons pas de nos raquettes, ayant eu des informations que la couche de neige ne sera jamais bien épaisse. Contournant le lac de Payolle par le nord et avec quelques hésitations, nous trouvons le sentier qui au départ est commun à notre but de randonnée et au départ du Plo Del Naou.

Ce joli sentier nord-sud traverse la forêt du Différend, il se hisse sur sa crête pendant environ 1 km. C’est le plus fort de la montée. A une intersection, vers la gauche, nous voyons maintes traces de raquettes, une petite pensée pour nos amis qui ont emprunté ce sentier pentu. Nous continuons plein sud, sur un faux plat montant et atteignons une importante clairière nommée le Clot des Artigous. Après ½ h de marche de nouveau dans la forêt, nous débouchons vers 1400 m sur le plateau des cabanes de la Hosse et la route de la Hourquette d’Ancizan.

Près de la cabane, occupée par plusieurs groupes de randonneurs, nous trouvons un rocher plat qui, une fois libéré de sa neige, nous sert de table et de sièges.

Il est midi, nous ouvrons nos sacs et entamons notre repas. En levant la tête nous voyons le sommet du Plo Del Naou situé 350 m au-dessus de nous.

Un pâlichot soleil par moment vient légèrement nous réchauffer. Nous ne nous attardons pas trop toutefois et bien avant 13h, nous quittons ce lieu. Nous prenons la route des granges de Camoudiet, puis après avoir traversé le ruisseau d’Artigou, nous prenons la piste qui le longeant rive gauche, nous ramène sur Payolle.

Payolle est un lieu touristique très familial, nous croisons au bord du lac beaucoup de familles et de petits enfants sur des luges. Nous croisons aussi beaucoup de chiens !!

Etant, arrivés vers 14h30 aux voitures, nous attendons nos camarades qui nous font la surprise de déboucher à l’opposé du lieu où nous les guettions. Un bon point pour leur chef, qui s’est ainsi révélé être un grand stratège militaire. « Toujours surprendre l’ennemi en le contournant !!! »

Heureux de nous retrouver, et après quelques tergiversations étant donné notre nombre (21) et la quantité de personnes dans les cafés de Payolle, c’est à Bagnères que nous trouvâmes (comme souvent) un accueillant bar qui nous permis de bien terminer cette journée.

Ce petit circuit de Payolle vers les cabanes de la Hosse est bien sympathique. Avec ses 300 m de dénivelé il n’est pas bien fatigant 

S de l’A

Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
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Publié le 9 Janvier 2024

Hospitalité Auroise,

En ce premier dimanche de l’année 2024, comme il se doit, il fait froid, il y a des risques de chute de neige dès la moyenne altitude et une bise assez soutenue nous caresse le visage.

La randonnée initialement prévue : le Plo Del Naou risquait de rebuter un peu de monde.

Notre ami Francis du village d’Arreau, nous propose une journée de randonnée clé en main : nous allons commencer par faire un agréable circuit d’une douzaine de kms dans les environs d’Arreau, puis, argument essentiel, nous pourrons manger dans un gîte chauffé et très confortable. Il ne faut jamais oublier que : dans l’art de proposer une randonnée en montagne, « le difficile est de bien savoir (où ?) poser les fesses « (pour le repas de midi).

Rassurés par ce projet logistique parfaitement élaboré, nous sommes 18 ; nous démarrons vers 9h40 de l’ancienne gare SNCF d’Arreau. Pendant une soixantaine d’années, un joli petit train a circulé d’Arreau à Lannemezan. Il en reste de nombreux vestiges. C’est justement en longeant cette voie ferrée désaffectée que nous nous dirigeons vers le village de Fréchet-Aure. Ce petit village légèrement à l’écart de la route d’Espagne et des stations de ski a gardé le charme de tous ces villages de montagne, sa mairie pittoresque, sa petite église romane du moyen-âge dédiée à St Saturnin, ses maisons accrochées à la pente du terrain. C’est toujours un plaisir de les traverser.

Nous reprenons ensuite, la direction d’Arreau en passant par le chemin des écoliers. Un premier arrêt pour visiter la grotte de Peyrère. Elle est assez profonde, nous y pénétrons (presque) silencieusement pour ne pas réveiller une éventuelle famille d’ours qui y séjourneraient .

Puis, abandonnant le Gr 105 sur lequel nous étions depuis Fréchet-Aure, petite scission (ça rentre dans les gènes du club !!) : Certains bifurquent sur un sentier qui hisse en quelques lacets sur la Crête des Pierres et part Sud Est vers Jézeau. Il s’est élevé de 150 m, le tapis de neige est un peu plus conséquent qu’au niveau du Gr, mais rien de bien méchant. Une descente d’abord assez douce, puis vers la fin un peu plus raide et glissante conduit à Jézeau. Les autres continuent d’arpenter le Gr 105, passant par Pailhac, ils distinguent leurs camarades qui évoluent 150 m au-dessus, allant dans la même direction, et comme par hasard les 2 groupes se retrouvent à Jézeau.

Quelle que soit l’émotion des retrouvailles, il est 13h et il nous reste 30mn de marche soutenue pour rallier Arreau son gîte et sa nourriture. Nous prenons tout de même le temps de traverser la parcelle des jardins communaux d’Arreau ainsi que le poulailler lui aussi communal qui est encore en activité. C’est un bel héritage ancestral.

Nous voici au gîte vers 13h30, la réception que nous y a réservée Francis est au-delà de nos attentes, alors que nous connaissons déjà son grand sens de l’hospitalité. La chaleur de l’accueil est autant physique que morale . Sans entrer dans les détails, il faut croire que nous y fûmes très bien, car, lorsque nous quittâmes ce lieu, il faisait nuit .

Francis, nous te remercions doublement, d’abord pour l’agrément de la randonnée et surtout pour le mémorable moment que tu nous as fait ensuite passer.

Tu as eu tort, nous allons en redemander !!!

S de l’A

Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Publié le 18 Décembre 2023

La cabane de Peyrehitte 1947 m

Brrr, il ne faisait pas bien chaud en ce matin du 17 décembre (à la réflexion, c’est un peu normal, voire souhaitable en cette saison.), il faut un peu se secouer pour être au rendez-vous fixé par Monique à St Bertrand de Comminges. Nous sommes tout de même 13 à répondre : présent !

La neige a fait une belle apparition cette semaine sur les reliefs pyrénéens, Monique nous a fortement suggéré de nous munir de raquettes. Tout le monde n’a pas obéi à cette injonction. Il faut dire que chez certains, germait l’idée d’un plan B consistant à évoluer à une altitude inférieure à la partie enneigée. Le but de la randonnée fut finalisé avec la décision d’aller dans un premier temps à la cabane de Saunères. Tout le monde peut y arriver avec ou sans raquettes.

Nous quittons le si joli petit village d’Artigue (1200 m) à 9h45 et partons vers la cabane de Saunères située 475 m au-dessus de nous. La piste y menant, maintes fois foulée par le club, est excellente et facile. Mais, vers 1400 m, c'est-à-dire à la sortie du seul petit-bois que nous traversons, la neige fait son apparition. La couche n’est pas bien épaisse. Ça et là il faut éviter de mettre les pieds sur quelques plaques de glace ; rien de bien méchant, chacun progresse à son rythme. Entre 11h et 11h15, tout de monde est à la cabane.

Le plan B est enterré, il est décidé que nous allons tous tenter de rallier la cabane de Peyrehitte située au pied du Plan de Montmajou. 300 m à monter sans l’aide des raquettes, elles étaient toutes restées dans les voitures. Nous ignorons la piste qui y conduit pensant qu’elle est peut-être trop enneigée, et nous prenons l’itinéraire parallèle, mais un peu plus à flanc espérant que le vent aura un peu dissipé la neige par moments. Ce n’est pas toujours vrai, mais nous avançons, trouvant souvent des parties de sentier fait de neige tassée, suffisamment fermes. Par petits groupes, nous arrivons au pied du Montmajou, a proximité de la cabane de Peyrehitte. Les premiers arrivés ont judicieusement trouvé à la base de barres rocheuses, un endroit bien confortable et bien exposé pour manger. Le dernier groupe arrivant vers 13h15, il est temps d’y penser !!

Le soleil nous chauffe bien et nous jouissons du panorama maintes fois décrit sur tous les monts du Luchonnais, des vallées d’Aure et du Louron. Le massif de la Maladetta est bien en face de nous. Tous les ans on s’extasie devant tous ces sommets bien recouverts de cette neige immaculée.

Mais il ne faut pas oublier que la nuit tombe vite en cette saison et il ne faut pas trop s’attarder. Nous repartons vers 13h45. Sur la neige la descente est plus aisée, la cabane de Saunères est ralliée en moins d’une heure et vers 16h, nous sommes à Artigue.

Dernier bon moment de la journée, s’asseoir autour d’une table de café et déguster une boisson bien chaude (en hiver). Sortis de nos voitures stationnées sur les allées d’Etigny nous nous mettons en quête d’un établissement ouvert. Cette recherche s’avère d’abord très infructueuse, le seul café ouvert est plein et ne peut nous accueillir, tous les autres sont fermés. Nous trouvons enfin, grâce à la complaisance d’un habitant de Luchon qui nous a utilement renseignés, un café ouvert et fort accueillant sur une petite place à l’entrée nord des allées d’Etigny.

C’est en cet endroit que nous terminons cette belle journée. En revenant aux voitures nous apprécions les illuminations sur les allées et dans la pénombre, il fait presque nuit, je ne peux m’empêcher d’admirer comme toujours, les silhouettes magnifiques et menaçantes des pics de la Mine et du Sauvegarde, situées dans l’alignement parfait (ce n’est pas un hasard.) des allées.

D’accord, nous randonnons fréquemment dans cette région, mais c’est tellement beau que l’on ne s’en lasse jamais.

Un grand merci à toi, Monique.

S de l’A

D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
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Publié le 11 Décembre 2023

Cabane de l'Aoulhet 10/12/2023

Au calendrier ce dimanche, nous avions les Pics de Hourbilagous et de Génie Braque. C'est un secteur, au-dessus de Saint Pé de Bigorre où nous avions gravi le Pic de Miquéu en octobre 2020.

Nous démarrons vers 9h45 du Monastère du Désert de l'Immaculée à 410 m d'altitude. Au nombre de vingt, en suivant Thierry, nous prenons un chemin ancestral en direction de la cabane de l'Aoulhet. D'entrée, la pente est raide et notre marche est précautionneuse à cause des dalles de pierre rendues glissantes par les pluies de la nuit et les feuilles qui les recouvrent. Le sentier progresse d'abord dans une forêt d'essences variées. Peu à peu, avec l'altitude, nous évoluons dans une hêtraie de haute futaie, majestueuse, véritable joyau de cette forêt de Très Crouts, site candidat au classement au Patrimoine mondial de l'Unesco dans la catégorie « Forêts primaires et anciennes de Hêtres des Carpates et d'autres régions d'Europe ». Malheureusement, les fortes tempêtes de ces dernières années lui ont infligé de terribles outrages et nous devons composer avec de nombreux chablis. Contournant ou enjambant ces géants parfois très nombreux, sur un terrain très escarpé, nous parvenons par une combe sauvage et mystérieuse à la lisière sud du bois.

Passant par une « porte » formée par deux amas rocheux, nous débouchons sur une prairie d'estive parsemée de buissons de houx, et suivant le balisage jaune, nous parvenons après quelques centaines de mètres à la Cabane de l'Aoulhet située à 1165 m.

C'est une belle cabane d'aspect récent, car restaurée en 2017 équipée d'une vaste salle avec poêle à bois au rez-de-chaussée et d'une mezzanine comptant six couchages. La partie Ouest du bâtiment est réservée à l'activité pastorale.

Il est midi et demi quand tout le groupe s'y reforme. Le maigre soleil du matin a disparu sous une épaisse couverture nuageuse. On devine la bruine sur les Soums d'Aserole et du Montné voisins et il est sagement décidé de renoncer à poursuivre la montée vers les sommets prévus. Nous gagnons l'orée de la forêt adjacente où nous procédons à l'activité incontournable de la journée, le repas, à l'abri relatif de magnifiques hêtres.

Poussés par la bruine qui commence à nous mouiller, nous entamons la descente vers 13h15 par un sentier un peu plus à l'Est de celui de la montée. Nous retrouvons la majestueuse hêtraie parsemée d'amas rocheux couverts de mousse donnant un aspect fantomatique aux lieux. Suivant un sentier toujours balisé de jaune nous croisons ça et là les vestiges d'anciens fours métalliques, témoins rongés par la rouille d'une activité importante passée de fabrication de charbon de bois.

Un peu plus loin, nous retrouvons le chemin emprunté à l'aller et ses dalles de pierres humides polies par le passage séculaire des troupeaux et de l'activité forestière. Malgré mille précautions, nous n'évitons pas quelques glissades heureusement sans blessure si ce n'est d'amour-propre, et nous rejoignons le monastère et le stationnement vers 15h15.

Nous parachevons cette belle sortie dans un café lourdais pour l'indispensable pot de l'amitié bien pourvu de confiseries et de pâtisseries maison.

Merci Thierry pour cette belle randonnée en forêt qui, sur la carte, nous a fait parcourir un peu plus de 7 km pour un dénivelé cumulé de 800 m.

JP

Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
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Cabane de l'Aoulhet
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Cabane de l'Aoulhet

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Publié le 5 Décembre 2023

La Senda de Silván depuis Tella 03/12/2023

Depuis longtemps, Alain nous enchante en nous proposant des randonnées magnifiques en Aragon. Celle de ce premier dimanche de décembre 2023 n'échappe pas à la tradition par son originalité et la beauté de son parcours.

La météo annonçait du beau temps froid, elle ne s'était pas trompée. Il fait -5°C au tunnel de Bielsa avec les cascades figées par la glace, -1°C quand nous arrivons à Tella à 1330 m vers 10h. Il fait soleil, mais les zones à l'ombre sont encore gelées et givrées.

Nous sommes 25 à démarrer du village vers 10h30. Après un petit faux-départ dû à une fausse piste, Alain retrouve la bonne, bien balisée en rouge, qui descend d'entrée vers le Sud-Est. C'est un chemin carrossable que nous suivons sur quelques centaines de mètres puis que nous quittons pour « plonger » sur la gauche dans le Barranco de Santandreu. Suivant un joli sentier aménagé autrefois pour le pastoralisme et l'exploitation du bois nous traversons la forêt de la Loma puis du Rincón de Sin .

Descendant toujours, ce sentier longe ensuite le pied de plusieurs falaises, passant sous des encorbellements de roches aux multiples couleurs ou traversant des rus créant des passages quelquefois délicats mais heureusement bien équipés de câbles ou de cordes.

Vers 980 m, nous croisons la grotte de la Tosca en changeant de direction au niveau du Paso de las Devotas surplombant le rio Cinca bordé par la route qui va se faufiler sous le « Tunel de la Devotas » souvent emprunté. La pente, qui s'est déjà inversée depuis quelques centaines de mètres devient franchement raide. Nous longeons encore des corniches, les Faixas, le domaine de «  Silván de la Peña », géant ou homme des bois qui selon la légende populaire terrorisait les habitants de Tella et de ses hameaux. Indiquée par un panneau, sa tanière présente encore des pieux de bois fichés dans la roche lui servant à accéder à l'entrée de sa grotte.

N'ayant pas rencontré l'Ogre ou le Yéti local, nous poursuivons l'ascension et après l'escalade du Paso de Silván, un grand ressaut bien équipé façon via ferrata nous parvenons enfin au sommet bien agréablement ensoleillé au lieu-dit Pinar de las Devotas (et il y en aura...)

Il est 13h et chacun, se cherche pour le repas un endroit confortable entre les touffes « d'erízones »  (Echinospartum horridum ou genêt hérissé), et si possible à l'abri d'un vent bien frais près des buissons de buis.

Le panorama est somptueux. Au Nord, le Movison Gran et la Punta Llerga, à l'Est la Peña Montañesa surplombant la plaine d'Ainsa, au Sud le Tozal de Guara et plus près le Castello Mayor, à l’Ouest le Massif du Mont Perdu bien enneigé.

Vers 14 h, nous reprenons la progression sur une piste qui, suivant la crête sommitale, nous mène peu avant 15h au pied du village de Tella que nous traversons par ses ruelles en pente très pittoresques.

La Posada nous accueille pour un pot bien pourvu en pâtisseries avant le retour à la maison.

Selon le panneau-topo de Tella, le circuit fait 4,9 km pour 430 m de D+, mon GPS un peu fantaisiste donnant 9,7 km.

Encore merci Alain pour cette magnifique randonnée.

JP

La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
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La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
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La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
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Publié le 29 Novembre 2023

Circuit des deux Ourses

Un peu de géographie, attention, c’est sérieux !!! L’Ourse est une rivière qui se jette dans la Garonne à Loures-Barousse. Elle résulte du confluent à Mauléon-Barousse, de l’Ourse de Ferrère provenant de tous les petits torrents situés au sud, et de l’Ourse de Sost, alimentée elle aussi par tous les torrents de sa profonde vallée. Voilà le cours de géographie est terminé, le cours d’histoire viendra.

Marydany, nous propose de visiter ces 2 vallées. Nous sommes 20 à nous rassembler à Mauléon-Barousse et prenons la piste, rive gauche de l’Ourse de Sost. Nous arrivons à Esbareich, un très joli petit village accroché à flanc de vallée. Nous le quittons, quittant ainsi l’Ourse de Sost. Nous avançons NO sur un sentier bien pentu et nous nous dirigeons vers Ferrère pour pénétrer dans la 2ème vallée.

Arrivés à Ferrère, une seconde grimpette nous fait cheminer en forêt sur un étroit sentier en corniche, plein est ; il est si petit qu’il ne figure pas totalement sur la carte IGN ! Il aboutit, à l’orée de la forêt, à une piste qui nous conduit rapidement à Ourde, autre petit village baroussais.

Une belle pelouse non loin de l’église, nous procure une salle à manger très convenable. Nous avions quitté Mauléon à 9h40, il est midi passé, cette petite balade nous a mis en appétit. Autre avantage de cet endroit, cette surface herbeuse est bien exposée au soleil. Eh oui, nous avons bénéficié depuis ce matin d’un temps très ensoleillé, mais assez froid.

Nous avons en face de nous le pic du Gar et la falaise du pic Saillant. Le peu de neige qui s’y était accumulée disparaît déjà. Souhaitons qu’il en retombe.

Un peu après 13h, nous repartons, bien que nous soyons près de Mauléon, la randonnée n’est pas terminée !! Une piste nous conduit rapidement sur la route reliant Mauléon à Ferrère. Dès que nous y sommes, nous prenons le chemin du gouffre de Saoule qui est en fait une jolie petite cascade qui passe sous une arche naturelle. Ce lieu est très prisé par les touristes.

Retrouvant ensuite la route nous délaissons encore Mauléon et filons 2 km plus loin vers le château de Bramevaque. bâti au 12 et 13ème siècle, il est chargé de légende grâce ou à cause de la malheureuse Marguerite, comtesse de Comminges. Mal mariée par 2 fois, avec des époux brutaux, la providence veilla sur elle, elle fut rapidement veuve, mais ne réussit pas mieux son 3ème mariage. Le jeune époux qu’elle avait choisi, après quelques années de bonheur conjugal, devint lui aussi méchant (pourquoi ?). Il l’enferma dans le donjon. Ceci la rendit folle. Elle réclama pour manger, un nourrisson par jour. On lui apporta un jour un tout petit veau en substitution, elle le dévora de la même façon. La vache, sa mère, privée de son veau, se mit à meugler fortement et longuement.

Cet « incident » fixa le nom du château : Brame vaque . Cours d’histoire terminé 

Retour à Mauléon avec ses quelques, très anciennes maisons, style début renaissance et son château.

Deux anniversaires sont à fêter : La place du parking, une table de camping judicieusement installée et la fin de cet après-midi encore un peu ensoleillée, procurèrent un cadre idéal pour terminer cette bien belle journée.

Merci, Marydany pour cette très agréable randonnée.

S de l’A

Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
Circuit des 2 Ourses
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Publié le 21 Novembre 2023

Le pic de Cuneille 2628 m

Pour cette très ensoleillée journée du 19 novembre, Jean-Pierre, profitant de l’absence temporaire (il faut le souhaiter !) de neige en moyenne altitude, nous invite à aller faire un tour au pic de Cuneille. Il faut croire que son idée est bien partagée, car nous sommes 28 à le suivre.

Nous démarrons de la cabane de Saux (1740 m), située à gauche de la route menant au tunnel de Bielsa, vers 9h15. La première « petite épreuve » consiste à traverser la Neste de Saux à gué. Le débit n’est pas trop important, quelques grosses pierres sont judicieusement placées pour arriver à ne pas trop se mouiller les chaussures.

Ensuite, un sentier bien marqué conduit au lac de Catchet (2225 m). Certes, c’est un excellent sentier, mais c’est vraiment un sentier de montagne, il est raide et par moments assez rocailleux. Il s’oriente d’abord nord-est, traverse un petit bois. A la sortie, il passera devant une jolie petite cascade et obliquera progressivement au sud en longeant le ruisseau de Catchet pour aboutir au lac. Nous y arrivons en ordre assez dispersé vers 10h30.

Certains d’entre nous, avaient déjà programmé qu’ils n’iraient guère plus loin. Deux groupes se forment. Les plus décidés et vaillants partent à l’assaut des 400 m restants pour arriver au pic.

Un sentier assez marqué mène au pilier nord-est du pic de Cuneille, ensuite il reste moins de 100 m à gravir pour arriver au sommet. Ceci est fait à midi. Une ascension de 900 m pour découvrir un fabuleux panorama : bien sûr, la muraille de Baroude, le pic de Campbielh, le pic Long, etc...etc.

Midi, veut dire que l’heure du repas approche. Il a été décidé que nous mangerions tous ensemble. Il s’agit donc de rejoindre le groupe qui est resté vers le lac, mais qui s’est tout de même élevé d’une cinquantaine de mètres. La descente se fait en ordre bien dispersé. Le terrain est raide mais facile. Certains, vont descendre pratiquement en ligne droite, d’autres descendront plus prudemment.

Vers 12h30, tout le monde est réuni, et le repas peut commencer. Il avait déjà été anticipé par le groupe resté plus bas!! Eh oui !! Pour leur défense, ils déclarèrent qu’ils avaient fort faim !!

Nous sommes très bien en ce lieu, la vue moins grandiose qu’au sommet est tout de même encore bien belle. Nous en profitons encore 1h.

Vers 13h30, nous entamons la descente. Ce sentier raide et rocailleux par moments, doit être négocié avec prudence suivant les aptitudes de chacun à dévaler. Tout le monde se retrouve sans encombre toujours en ordre dispersé, sur la rive droite de la Neste de Saux, vers 15h. Le 2ème passage à gué se fait lui aussi sans bain de pieds forcé au grand dam des photographes .

Nous avons le temps de bien choisir notre bar pour bien clôturer cette journée. Mais, ayant eu l’imprudence de dédaigner St Lary, nous ne trouvâmes plus aucun établissement ouvert sur notre route du retour. Sur la place de Sarrancolin, nous pûmes déguster quelques très bons gâteaux confectionnés par les amis ou leur épouse et boire, derrière les voitures, une bonne rasade de jus de pomme que Jean-Pierre garde toujours en réserve.

Très belle randonnée, Jean-Pierre, un grand merci.

S de l’A

Pic de Cuneille 2628 m
Pic de Cuneille 2628 m
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