randonnee en montagne

Publié le 20 Février 2024

Crêtes des Baronnies

Notre amie Jeanne « régionale de l’étape » nous propose de faire une sortie sur « ses terres ».

Les propositions de randonnées de Jeanne étant toujours intéressantes et souvent innovantes, nous ne sommes pas moins de 24 à répondre à son invitation.

Nous démarrons vers 9h de Bourg-de-Bigorre, le chef-lieu du canton de ces baronnies qui ont gardé leur caractère pastoral et authentique. Nous empruntons primitivement une série de routes goudronnées qui, nous faisant monter d’une centaine de mètres par un arc de cercle centré sur un lieu-dit « Mondirous », nous fait ensuite partir plein sud sur une petite crête en direction d’Esconnets. Une belle vue nous est déjà offerte sur ce passage en crête. Assez rapidement, nous apercevons Esconnets, il reste tout de même plus de 4 km pour y arriver. Qu’importe, le temps est très agréable, la troupe marche bien. Vers 11h30, nous sommes au pied de ce village. Une petite grimpette de 150 m nous y fait parvenir.

En ce lieu, Jeanne nous précise qu’à une centaine de mètres, une très agréable aire de pique-nique nous permettra d’y prendre notre repas. Mais il est loin d’être midi, 2h30 de marche, ce n’est rien !! Payons-nous un petit sommet. C’est ainsi que, nous dirigeant sud-ouest en passant par le col de la Pède, nous allons gravir le Castet 781m. Ce sera le point culminant de notre randonnée. Un grandiose point de vue récompensera ceux (mais pas tout le monde, il y a toujours hélas, des « tire-au flan ! » la nature humaine est ainsi faite.) qui y sont montés. Nous revenons par l’itinéraire de l’aller et un peu avant le col de la Pède, nous partons à droite, plein Est, sur un sentier qui nous fait descendre une cinquantaine de mètres pour nous les faire remonter, mais nous conduit directement sur cette aire de pique-nique que Jeanne nous avait habilement fait miroiter depuis tout à l’heure.

Il est 12h45 et c’est avec plaisir que nous ouvrons nos sacs pour en sortir la nourriture ainsi que les petites douceurs solides et liquides qui agrémentent et scellent gentiment la cohésion du groupe.

Après ce bon moment passé à table, Jeanne nous propose un itinéraire retour différent de celui de l’aller. Nous descendons vers l’est des sentiers qui nous conduisent à Fréchendets puis nous traversons un petit ruisseau nommé l’Esquéda. Ce joli ruisseau, tout petit, tout timide, affluent de l’Arros, a tout de même creusé une vallée de presque 200 m de profondeur dont nous devons remonter la rive droite pour aboutir sur une petite crête étroite orientée sud-nord, qui va nous ramener à Bourg-de-Bigorre.

Bien contents d’être arrivés ; nous avons parcouru 18 km et dénivelé, en cumulé, 700 m. Somptueuse randonnée.

Jeanne, étant consciente de l’effort qu’elle avait demandé à certains, s’était souciée par anticipation du point de chute que nous cherchons habituellement, des fois vainement, dans « quelques bistrots ». Elle nous a réservé des places dans un café du village.

C’est une attention qui fut très appréciée, tout le monde put commander des boissons chaudes ou fraîches suivant les goûts et déguster, entre autres, des crêpes apportées par une amie qui est coutumière du fait. Merci Monique !!

Jeanne, tu nous as donné l’occasion de faire une magnifique randonnée, un peu physique, ce qui ajoute à son charme, mais tellement agréable. Ta gestion de la « 3ème mi-temps », fut la cerise sur l’excellent gâteau.

Nous t’adressons un grand merci.

S de l’A


 

Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024
Les Baronnies par les crêtes 18/02/2024

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Publié le 12 Février 2024

Cabane de Camous 11/02/2024

Ce deuxième dimanche de février Thierry nous propose d'aller revoir les cabanes de Jézeau , un grand classique des randonnées à raquettes quand il y a de la neige. Elle était annoncée pour ce week-end, mais il fallait beaucoup d'optimisme ce matin pour se rendre au rendez-vous après une nuit de pluie. Pourtant, nous sommes treize à démarrer d'Ardengost à 1080 m vers 9h20.

L'accès au village étant interdit aux voitures « étrangères », nous les laissons en contrebas et accédons au sentier de la Lit par une rampe un peu raide. Nous progressons plein Est d'abord à plat puis rapidement la pente devient de plus en plus raide. Nous passons près de belles granges bien restaurées sur un joli chemin de calade. La neige tombe maintenant , la température a l'air de se rafraîchir un peu et le paysage blanchit de plus en plus.

Vers 1250 m, nous parvenons à la bifurcation avec le sentier menant au col des Sonères. Il est un peu plus de10h et la neige tombe toujours. Quelqu'un émet l'idée que les cabanes de Jézeau étant fermées le pique-nique sous la neige risque de ne pas être très agréable et qu'après le col des Sonères il y a la cabane de Camous qui elle est toujours ouverte. Motion adoptée et le cap est mis sur le col. Il se situe 400 m au-dessus, mais le sentier qui y conduit est ancestral, donc bien tracé par les anciens qui faisaient par là des échanges entre les vallées d'Ardengost et de Nistos. Le dénivelé est avalé en une heure sous un vent de plus en plus acerbe et la neige qui pique le visage.

Au col des Sonères à 1680 m, il est 11h15 et un panneau indique la cabane de Camous à 30 minutes, juste pour l'heure du déjeuner. Le sentier a disparu sous la neige, mais le lieu étant bien connu de presque tous, nous n'avons aucun mal à trouver la cabane toujours nichée au pied du Mountarrouy émergeant de temps en temps des vagues de brouillard neigeux.

Tel un troupeau de vaches regagnant  leur étable après le pacage, c'est presque en courant que le groupe dévale la pente qui mène à la cabane. Elle est petite, mais tous arrivent à s'asseoir et c'est dans la bonne humeur de rigueur que le repas est consommé, précédé d'un bienvenu et excellent vin chaud apporté par notre « chef » du jour.

Après quelques chansons et à court de vin, il est un peu plus de 13h quand le signal du départ est donné. Bonne surprise la neige a cessé de tomber, le vent a faibli et c'est sous un pâle soleil intermittent que nous remontons l'arête Nord du Plat de l'Estaque pour rejoindre le Col des Sonères. Nous suivons le sentier de la montée, avec mille précautions, car il est devenu boueux avec la neige fondante. Bien exposé au Sud le paysage a bien changé, car la neige disparaît rapidement sous l’action du redoux annoncé et déjà présent. Elle n'est plus qu'un souvenir quand nous atteignons Ardengost et les voitures vers 15h.

C'est ensuite le traditionnel pot de l'amitié avec pâtisseries pris dans le plus british des bistrots d'Arreau.

Comme cela arrive parfois le calendrier des sorties du Club de Montagne d'Anères n'a pas été respecté à la lettre mais, sachant nous adapter aux conditions météorologiques, nous avons effectué une superbe randonnée hivernale de près de 700 m de dénivelé pour un peu plus de 10 km.

Merci Thierry.

JP

 

 

 

 

Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous
Col des Sonères 1685 m - Cabane de Camous

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Publié le 6 Février 2024

Le pic Saint-Vincent 1944 m

Nous avions une revanche à prendre, et nous avons attendu 7 ans pour l’assouvir.

Petit retour en arrière : au printemps 2017, Jean-Pierre nous conviait au pic St Vincent. Mais la météo ne nous était pas favorable et un vent très violent avait accompagné la seconde partie de notre ascension. Nous étions arrivés au sommet, ballottés par le vent, et tout de suite redescendus, ne profitant aucunement de la beauté du panorama.

Après 7 ans de réflexion, nous refaisons une tentative. La météo est idyllique, Eole se repose.

Ce ne sont pas moins de 25 randonneurs, toujours sous la direction de Jean-Pierre, qui quittent le Chiroulet à 9h et prennent la piste qui conduit au Courtaou de la Lit (1500 m) et ses jolies cabanes. Une pensée pour Georges Buisan à qui l’on doit cette belle restauration. Après une petite halte dans ce lieu familier, nous partons plein ouest vers la cabane de Bénaquès située 150 m au-dessus. Nous commençons à trouver quelques petites plaques de neige, mais vraiment peu de choses alors que nous évoluons vers 1600-1700 m.

Nous montons toujours vers l’ouest et apercevons bien à notre droite encore un peu loin et haut pour certains, le pic Saint-Vincent. Il paraît avoir un abord un peu rébarbatif, surtout avec sa face Est verticale. Mais il suffit de le contourner par l’ouest, on aboutit sur une large crête et, sur une pente modérée, on arrive au sommet. Nous y arrivons en ordre dispersé vers midi.

Le temps magnifiquement beau et clément nous permet d’apprécier un grandiose panorama, cela valait la peine d’y revenir !!

Nous prenons notre temps pour manger et profiter de l’environnement.

Vers 13h15, nous redescendons par le même itinéraire, quelques, tout petits névés agréables à descendre, et nous nous trouvons rapidement à la cabane de Bénaquès. Ensuite, par des itinéraires légèrement différents (parce qu’il y a d’autres petites cabanes à visiter) nous nous retrouvons aux cabanes de la Lit.

Nous avons choisi d’y fêter un anniversaire. Ce lieu s’y prête si bien. Rien ne nous presse, nous y séjournons une heure.

Nous quittons enfin, comme à regret, ces cabanes et descendons retrouver nos voitures.

Nous avons tout de même dénivelé 900 m, mais sur un terrain globalement facile.

Tu as eu grandement raison de nous y ramener.

Merci, Jean-Pierre

S de l’A


 

Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m
Le Pic Saint-Vincent 1944 m

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Publié le 30 Janvier 2024

Les crêtes d’Aulon

Maryse nous enjoint de l’accompagner sur des lieux qui lui sont très familiers. Un petit massif orienté ouest-est sépare les vallées du Lavedan au nord et de la Neste au sud. Nous avons plusieurs fois foulé sa crête large et facile.

Le projet initial consistait à parcourir ce terrain en raquettes. Mais un petit détail manquait : l’absence de neige !! Nous nous en passerons et les raquettes seront privées de sortie !!!

Nous sommes 19 à retrouver Maryse à Soulan (1330 m), à 9h. Nous partons par le sentier des Nobis. Miserere !! Il nous prend à froid. Il est bien raide, pas le temps de chauffer ou souffler. Durant 200 m, sa déclivité ne se dément pas. Nous arrivons enfin à 1574 m sur le GR 10. La pente sera moins raide !!

Nous suivons un peu le GR 10 vers l’ouest, puis nous l’abandonnons pour monter dans de vastes herbages vers un petit sommet nommé « le Serre » à 2004 m. Nous y sommes vers 11h25. Non loin de là, nous trouvons une bonne plate forme qui nous sert de salle à manger.

Il fait beau, il souffle une brise d’autant plus légère que nous sommes assis. Placés en cet endroit, nous profitons d’un fabuleux panorama ! C’est toujours ainsi sur tous les sommets, mais nous sommes au seul endroit où l’on peut avoir une vision aussi précise de la face Sud de l’Arbizon. On ne voit pas les granges de Lurgues qui sont trop en contrebas, mais on devine bien, ensuite, tout l’itinéraire de son ascension : les rochers au niveau de la fontaine de Coulariot, la brèche d’Aurey et la montée finale.

Revenons à notre repas que nous terminons vers 12h30. C’est là que Maryse va se distinguer par rapport à nos précédentes randonnées sur ce même terrain. Nous sommes toujours redescendus en reprenant l’itinéraire de l’aller.

Elle nous fait partir vers l’ouest où nous trouvons un minuscule lac gelé, puis un peu plus loin, un autre lac un peu plus vaste, mais tout aussi gelé. Certains s’y hasardent un peu.

A une centaine de mètres, nous retrouvons le GR 10 et allons le suivre plein Est sur environ 5 km. C’est un très agréable sentier, primitivement en corniche sous « le Serre » il descend ensuite sur de vastes herbages vers le cap de Pède. Durant ce parcours, nous avons toujours la splendide vue sur l’Arbizon et le village d’Aulon. Un peu plus loin, nous apercevons les granges de Lurgues, ainsi tout l’itinéraire de la montée de ce mythique est sous nos yeux.

Une petite éminence : le soum de Pacou (1612 m), sera le but ultime de notre traversée.

Nous descendons vers les granges de Grascouéou, puis nous prenons la piste bien connue qui nous conduit jusqu’à la route du Pla d’Adet où, une voiture judicieusement bien placée portera les conducteurs dont les voitures se trouvent 1 km plus haut, à Soulan.

Un café à Arreau qui depuis plus d’un siècle porte le nom d’une capitale étrangère, nous accueille chaleureusement et nous permet de bien terminer cette journée.

Tu nous as proposé une bien belle randonnée. Nous pensions bien la connaître, mais avec toi, nous l’avons très agréablement redécouverte. Merci Maryse.

S de l’A

La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m
La Serre d'Aulon 2004 m

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Publié le 23 Janvier 2024

Le Mondoto 1959 m

Ce sommet ne nous est pas inconnu, nous l’avons gravi en septembre 2020. La beauté du panorama qu’il nous offre, l’à-pic vertigineux de sa face Est sur le Cañon d’Añisclo, tout ceci a été décrit, et notre seul désir était d’y retourner.

Ainsi, lorsque Francis a proposé cette sortie, nous sommes 18 pour être au rendez-vous. Il y a un bémol non négligeable à apporter à ce projet, ce sont les 2h30 de route pour y accéder. Le splendide Haut Aragon se gagne !! Partis à 7h45 de La Barthe de Neste, nous démarrons à 10h30 de Nerin, ou plutôt à côté de l’ermitage de Santa Maria à 1350 m.

Le sentier bien tracé, mais rocailleux nous conduit au col de la Balsa (1800 m). Il ne reste plus qu’à gravir 150 m de dénivelé sur un terrain un peu herbeux, un peu caillouteux et un tout petit peu recouvert de neige. Ne pas oublier que nous sommes fin janvier et qu’à cette altitude la neige devrait être plus abondante. Par contre la nuit a été froide, et il vaut mieux éviter les plaques de glace au sol.

Aux alentours de 13h, tout le monde est au sommet. Nous nous éloignons légèrement du bord vertigineux de sa face Est, nous trouvons des petits rochers émergeants de la mince pellicule de neige qui nous procurent de bons sièges dans ce restaurant d’altitude.

Un dernier coup d’œil sur le fabuleux panorama, vers 14h, nous repartons non sans avoir rendu visite à une toute petite cabane marquée sur une carte comme « cabana de Pietra »

Aux environs de 15h30, nous retrouvons nos voitures et prenons la route d’Escalona. L’itinéraire du retour nous permet d’admirer peu après Buerba le massif des Sestrales. Magnifique !!

Hélas, arrivés à Escalona, nous ne trouvons aucun café ouvert. Bien dépités, nous repartons vers Bielsa où, au centre-ville, un établissement ouvert et accueillant, nous permet de passer un bon moment.

Peu après 18h nous quittons l’Espagne. Il fait nuit, côté français, il faut faire attention à l’état de la route, légèrement verglacée par moments.

Chacun rentre sans encombre et il ne nous reste plus que le souvenir de cette magnifique randonnée et la belle journée qu’elle nous a permis de passer.

Grand merci à toi, Francis.

S de l’A

Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
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Le Mondoto 1959 m
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Le Mondoto 1959 m
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Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m
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Le Mondoto 1959 m
Le Mondoto 1959 m

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Publié le 15 Janvier 2024

Plo del Naou 15 Janvier 2024

Dimanche dernier, nous avions reporté le Plo del Naou pour cause de grand froid, c'est donc aujourd'hui que Thierry nous y mène en remplacement de Marydany indisponible.

Nous démarrons vers 9h du lac de Payolle à 1130 m. Nous sommes 17 à suivre la route qui contourne le lac. Certains chaussent les raquettes, d'autres non. A la limite Ouest, nous tournons à gauche vers la forêt du Différend. C'est ici que commence l'ascension proprement dite. La pente est raide et nous prenons rapidement du dénivelé, puis, après avoir traversé un chaos de sapins abattus par la dernière tempête nous sortons de la forêt pour trouver un beau soleil qui va nous accompagner jusqu'au sommet. Nous y sommes vers 11h45, nous sommes à 1752 m et avons gravi 622 m de dénivelé.

Le temps d'un peu de repos et d'admirer le somptueux panorama enneigé nous reprenons la marche à la recherche d'un endroit propice au pique-nique. Nous le trouvons sur le bord de la Crête de Bidour au moment ou le sentier aborde la forêt. Tassant un peu la neige chacun aménage son site.

Nous repartons vers 13h15, mais au lieu de suivre la piste habituelle à l'ombre, nous continuons sur le bord de la crête sur un sentier où la neige commence sérieusement à virer à la boue sous l'effet du réchauffement rapide de la température. Le parcours est ensoleillé, très agréable, bien que parsemé de petites bosses et de pitons rocheux nous obligeant à absorber un supplément d'un dénivelé déjà conséquent.

On achève enfin la montée pour basculer dans la forêt sur une pente très raide rendue glissante par la neige et après quelques zigzags nous rejoignons la piste classique aboutissant au Col d'Aspin.

Petite halte de regroupement et nous nous engageons sur la piste en contrebas de la cabane. Nous la suivons plein Ouest dans le bois de Cloutet et après quelques lacets, nous rallions le stationnement au bord du lac où nous retrouvons nos quatre amis de la rando alternative.

Merci Thierry d'avoir mené notre première sortie hivernale de l'année qui nous a fait parcourir 11,5 km pour un dénivelé de 700 m.

JP

Cabanes de la Hosse 1430 m

Alors que leurs camarades s’attaquaient vaillamment au Plo del Naou, une très modeste équipe au nombre de 4 individus, tout juste pour faire une équipe de belote ou de Monopoly, rallia elle aussi Payolle avec 1h de retard sur leurs camarades, et avec des ambitions plus modestes.

Nous trouvons opportunément une place de parking à coté de celles de nos amis. Nous ne nous munissons pas de nos raquettes, ayant eu des informations que la couche de neige ne sera jamais bien épaisse. Contournant le lac de Payolle par le nord et avec quelques hésitations, nous trouvons le sentier qui au départ est commun à notre but de randonnée et au départ du Plo Del Naou.

Ce joli sentier nord-sud traverse la forêt du Différend, il se hisse sur sa crête pendant environ 1 km. C’est le plus fort de la montée. A une intersection, vers la gauche, nous voyons maintes traces de raquettes, une petite pensée pour nos amis qui ont emprunté ce sentier pentu. Nous continuons plein sud, sur un faux plat montant et atteignons une importante clairière nommée le Clot des Artigous. Après ½ h de marche de nouveau dans la forêt, nous débouchons vers 1400 m sur le plateau des cabanes de la Hosse et la route de la Hourquette d’Ancizan.

Près de la cabane, occupée par plusieurs groupes de randonneurs, nous trouvons un rocher plat qui, une fois libéré de sa neige, nous sert de table et de sièges.

Il est midi, nous ouvrons nos sacs et entamons notre repas. En levant la tête nous voyons le sommet du Plo Del Naou situé 350 m au-dessus de nous.

Un pâlichot soleil par moment vient légèrement nous réchauffer. Nous ne nous attardons pas trop toutefois et bien avant 13h, nous quittons ce lieu. Nous prenons la route des granges de Camoudiet, puis après avoir traversé le ruisseau d’Artigou, nous prenons la piste qui le longeant rive gauche, nous ramène sur Payolle.

Payolle est un lieu touristique très familial, nous croisons au bord du lac beaucoup de familles et de petits enfants sur des luges. Nous croisons aussi beaucoup de chiens !!

Etant, arrivés vers 14h30 aux voitures, nous attendons nos camarades qui nous font la surprise de déboucher à l’opposé du lieu où nous les guettions. Un bon point pour leur chef, qui s’est ainsi révélé être un grand stratège militaire. « Toujours surprendre l’ennemi en le contournant !!! »

Heureux de nous retrouver, et après quelques tergiversations étant donné notre nombre (21) et la quantité de personnes dans les cafés de Payolle, c’est à Bagnères que nous trouvâmes (comme souvent) un accueillant bar qui nous permis de bien terminer cette journée.

Ce petit circuit de Payolle vers les cabanes de la Hosse est bien sympathique. Avec ses 300 m de dénivelé il n’est pas bien fatigant 

S de l’A

Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
Plo del Naou et Cabanes de la Hosse
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Publié le 9 Janvier 2024

Hospitalité Auroise,

En ce premier dimanche de l’année 2024, comme il se doit, il fait froid, il y a des risques de chute de neige dès la moyenne altitude et une bise assez soutenue nous caresse le visage.

La randonnée initialement prévue : le Plo Del Naou risquait de rebuter un peu de monde.

Notre ami Francis du village d’Arreau, nous propose une journée de randonnée clé en main : nous allons commencer par faire un agréable circuit d’une douzaine de kms dans les environs d’Arreau, puis, argument essentiel, nous pourrons manger dans un gîte chauffé et très confortable. Il ne faut jamais oublier que : dans l’art de proposer une randonnée en montagne, « le difficile est de bien savoir (où ?) poser les fesses « (pour le repas de midi).

Rassurés par ce projet logistique parfaitement élaboré, nous sommes 18 ; nous démarrons vers 9h40 de l’ancienne gare SNCF d’Arreau. Pendant une soixantaine d’années, un joli petit train a circulé d’Arreau à Lannemezan. Il en reste de nombreux vestiges. C’est justement en longeant cette voie ferrée désaffectée que nous nous dirigeons vers le village de Fréchet-Aure. Ce petit village légèrement à l’écart de la route d’Espagne et des stations de ski a gardé le charme de tous ces villages de montagne, sa mairie pittoresque, sa petite église romane du moyen-âge dédiée à St Saturnin, ses maisons accrochées à la pente du terrain. C’est toujours un plaisir de les traverser.

Nous reprenons ensuite, la direction d’Arreau en passant par le chemin des écoliers. Un premier arrêt pour visiter la grotte de Peyrère. Elle est assez profonde, nous y pénétrons (presque) silencieusement pour ne pas réveiller une éventuelle famille d’ours qui y séjourneraient .

Puis, abandonnant le Gr 105 sur lequel nous étions depuis Fréchet-Aure, petite scission (ça rentre dans les gènes du club !!) : Certains bifurquent sur un sentier qui hisse en quelques lacets sur la Crête des Pierres et part Sud Est vers Jézeau. Il s’est élevé de 150 m, le tapis de neige est un peu plus conséquent qu’au niveau du Gr, mais rien de bien méchant. Une descente d’abord assez douce, puis vers la fin un peu plus raide et glissante conduit à Jézeau. Les autres continuent d’arpenter le Gr 105, passant par Pailhac, ils distinguent leurs camarades qui évoluent 150 m au-dessus, allant dans la même direction, et comme par hasard les 2 groupes se retrouvent à Jézeau.

Quelle que soit l’émotion des retrouvailles, il est 13h et il nous reste 30mn de marche soutenue pour rallier Arreau son gîte et sa nourriture. Nous prenons tout de même le temps de traverser la parcelle des jardins communaux d’Arreau ainsi que le poulailler lui aussi communal qui est encore en activité. C’est un bel héritage ancestral.

Nous voici au gîte vers 13h30, la réception que nous y a réservée Francis est au-delà de nos attentes, alors que nous connaissons déjà son grand sens de l’hospitalité. La chaleur de l’accueil est autant physique que morale . Sans entrer dans les détails, il faut croire que nous y fûmes très bien, car, lorsque nous quittâmes ce lieu, il faisait nuit .

Francis, nous te remercions doublement, d’abord pour l’agrément de la randonnée et surtout pour le mémorable moment que tu nous as fait ensuite passer.

Tu as eu tort, nous allons en redemander !!!

S de l’A

Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Circuit: Arreau*Fréchet-Aure*Jézeau*Arreau
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Publié le 18 Décembre 2023

La cabane de Peyrehitte 1947 m

Brrr, il ne faisait pas bien chaud en ce matin du 17 décembre (à la réflexion, c’est un peu normal, voire souhaitable en cette saison.), il faut un peu se secouer pour être au rendez-vous fixé par Monique à St Bertrand de Comminges. Nous sommes tout de même 13 à répondre : présent !

La neige a fait une belle apparition cette semaine sur les reliefs pyrénéens, Monique nous a fortement suggéré de nous munir de raquettes. Tout le monde n’a pas obéi à cette injonction. Il faut dire que chez certains, germait l’idée d’un plan B consistant à évoluer à une altitude inférieure à la partie enneigée. Le but de la randonnée fut finalisé avec la décision d’aller dans un premier temps à la cabane de Saunères. Tout le monde peut y arriver avec ou sans raquettes.

Nous quittons le si joli petit village d’Artigue (1200 m) à 9h45 et partons vers la cabane de Saunères située 475 m au-dessus de nous. La piste y menant, maintes fois foulée par le club, est excellente et facile. Mais, vers 1400 m, c'est-à-dire à la sortie du seul petit-bois que nous traversons, la neige fait son apparition. La couche n’est pas bien épaisse. Ça et là il faut éviter de mettre les pieds sur quelques plaques de glace ; rien de bien méchant, chacun progresse à son rythme. Entre 11h et 11h15, tout de monde est à la cabane.

Le plan B est enterré, il est décidé que nous allons tous tenter de rallier la cabane de Peyrehitte située au pied du Plan de Montmajou. 300 m à monter sans l’aide des raquettes, elles étaient toutes restées dans les voitures. Nous ignorons la piste qui y conduit pensant qu’elle est peut-être trop enneigée, et nous prenons l’itinéraire parallèle, mais un peu plus à flanc espérant que le vent aura un peu dissipé la neige par moments. Ce n’est pas toujours vrai, mais nous avançons, trouvant souvent des parties de sentier fait de neige tassée, suffisamment fermes. Par petits groupes, nous arrivons au pied du Montmajou, a proximité de la cabane de Peyrehitte. Les premiers arrivés ont judicieusement trouvé à la base de barres rocheuses, un endroit bien confortable et bien exposé pour manger. Le dernier groupe arrivant vers 13h15, il est temps d’y penser !!

Le soleil nous chauffe bien et nous jouissons du panorama maintes fois décrit sur tous les monts du Luchonnais, des vallées d’Aure et du Louron. Le massif de la Maladetta est bien en face de nous. Tous les ans on s’extasie devant tous ces sommets bien recouverts de cette neige immaculée.

Mais il ne faut pas oublier que la nuit tombe vite en cette saison et il ne faut pas trop s’attarder. Nous repartons vers 13h45. Sur la neige la descente est plus aisée, la cabane de Saunères est ralliée en moins d’une heure et vers 16h, nous sommes à Artigue.

Dernier bon moment de la journée, s’asseoir autour d’une table de café et déguster une boisson bien chaude (en hiver). Sortis de nos voitures stationnées sur les allées d’Etigny nous nous mettons en quête d’un établissement ouvert. Cette recherche s’avère d’abord très infructueuse, le seul café ouvert est plein et ne peut nous accueillir, tous les autres sont fermés. Nous trouvons enfin, grâce à la complaisance d’un habitant de Luchon qui nous a utilement renseignés, un café ouvert et fort accueillant sur une petite place à l’entrée nord des allées d’Etigny.

C’est en cet endroit que nous terminons cette belle journée. En revenant aux voitures nous apprécions les illuminations sur les allées et dans la pénombre, il fait presque nuit, je ne peux m’empêcher d’admirer comme toujours, les silhouettes magnifiques et menaçantes des pics de la Mine et du Sauvegarde, situées dans l’alignement parfait (ce n’est pas un hasard.) des allées.

D’accord, nous randonnons fréquemment dans cette région, mais c’est tellement beau que l’on ne s’en lasse jamais.

Un grand merci à toi, Monique.

S de l’A

D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
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D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
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D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
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D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
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D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
D'Artigue à la cabane de Peyrehitte
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Publié le 11 Décembre 2023

Cabane de l'Aoulhet 10/12/2023

Au calendrier ce dimanche, nous avions les Pics de Hourbilagous et de Génie Braque. C'est un secteur, au-dessus de Saint Pé de Bigorre où nous avions gravi le Pic de Miquéu en octobre 2020.

Nous démarrons vers 9h45 du Monastère du Désert de l'Immaculée à 410 m d'altitude. Au nombre de vingt, en suivant Thierry, nous prenons un chemin ancestral en direction de la cabane de l'Aoulhet. D'entrée, la pente est raide et notre marche est précautionneuse à cause des dalles de pierre rendues glissantes par les pluies de la nuit et les feuilles qui les recouvrent. Le sentier progresse d'abord dans une forêt d'essences variées. Peu à peu, avec l'altitude, nous évoluons dans une hêtraie de haute futaie, majestueuse, véritable joyau de cette forêt de Très Crouts, site candidat au classement au Patrimoine mondial de l'Unesco dans la catégorie « Forêts primaires et anciennes de Hêtres des Carpates et d'autres régions d'Europe ». Malheureusement, les fortes tempêtes de ces dernières années lui ont infligé de terribles outrages et nous devons composer avec de nombreux chablis. Contournant ou enjambant ces géants parfois très nombreux, sur un terrain très escarpé, nous parvenons par une combe sauvage et mystérieuse à la lisière sud du bois.

Passant par une « porte » formée par deux amas rocheux, nous débouchons sur une prairie d'estive parsemée de buissons de houx, et suivant le balisage jaune, nous parvenons après quelques centaines de mètres à la Cabane de l'Aoulhet située à 1165 m.

C'est une belle cabane d'aspect récent, car restaurée en 2017 équipée d'une vaste salle avec poêle à bois au rez-de-chaussée et d'une mezzanine comptant six couchages. La partie Ouest du bâtiment est réservée à l'activité pastorale.

Il est midi et demi quand tout le groupe s'y reforme. Le maigre soleil du matin a disparu sous une épaisse couverture nuageuse. On devine la bruine sur les Soums d'Aserole et du Montné voisins et il est sagement décidé de renoncer à poursuivre la montée vers les sommets prévus. Nous gagnons l'orée de la forêt adjacente où nous procédons à l'activité incontournable de la journée, le repas, à l'abri relatif de magnifiques hêtres.

Poussés par la bruine qui commence à nous mouiller, nous entamons la descente vers 13h15 par un sentier un peu plus à l'Est de celui de la montée. Nous retrouvons la majestueuse hêtraie parsemée d'amas rocheux couverts de mousse donnant un aspect fantomatique aux lieux. Suivant un sentier toujours balisé de jaune nous croisons ça et là les vestiges d'anciens fours métalliques, témoins rongés par la rouille d'une activité importante passée de fabrication de charbon de bois.

Un peu plus loin, nous retrouvons le chemin emprunté à l'aller et ses dalles de pierres humides polies par le passage séculaire des troupeaux et de l'activité forestière. Malgré mille précautions, nous n'évitons pas quelques glissades heureusement sans blessure si ce n'est d'amour-propre, et nous rejoignons le monastère et le stationnement vers 15h15.

Nous parachevons cette belle sortie dans un café lourdais pour l'indispensable pot de l'amitié bien pourvu de confiseries et de pâtisseries maison.

Merci Thierry pour cette belle randonnée en forêt qui, sur la carte, nous a fait parcourir un peu plus de 7 km pour un dénivelé cumulé de 800 m.

JP

Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
Cabane de l'Aoulhet
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Publié le 5 Décembre 2023

La Senda de Silván depuis Tella 03/12/2023

Depuis longtemps, Alain nous enchante en nous proposant des randonnées magnifiques en Aragon. Celle de ce premier dimanche de décembre 2023 n'échappe pas à la tradition par son originalité et la beauté de son parcours.

La météo annonçait du beau temps froid, elle ne s'était pas trompée. Il fait -5°C au tunnel de Bielsa avec les cascades figées par la glace, -1°C quand nous arrivons à Tella à 1330 m vers 10h. Il fait soleil, mais les zones à l'ombre sont encore gelées et givrées.

Nous sommes 25 à démarrer du village vers 10h30. Après un petit faux-départ dû à une fausse piste, Alain retrouve la bonne, bien balisée en rouge, qui descend d'entrée vers le Sud-Est. C'est un chemin carrossable que nous suivons sur quelques centaines de mètres puis que nous quittons pour « plonger » sur la gauche dans le Barranco de Santandreu. Suivant un joli sentier aménagé autrefois pour le pastoralisme et l'exploitation du bois nous traversons la forêt de la Loma puis du Rincón de Sin .

Descendant toujours, ce sentier longe ensuite le pied de plusieurs falaises, passant sous des encorbellements de roches aux multiples couleurs ou traversant des rus créant des passages quelquefois délicats mais heureusement bien équipés de câbles ou de cordes.

Vers 980 m, nous croisons la grotte de la Tosca en changeant de direction au niveau du Paso de las Devotas surplombant le rio Cinca bordé par la route qui va se faufiler sous le « Tunel de la Devotas » souvent emprunté. La pente, qui s'est déjà inversée depuis quelques centaines de mètres devient franchement raide. Nous longeons encore des corniches, les Faixas, le domaine de «  Silván de la Peña », géant ou homme des bois qui selon la légende populaire terrorisait les habitants de Tella et de ses hameaux. Indiquée par un panneau, sa tanière présente encore des pieux de bois fichés dans la roche lui servant à accéder à l'entrée de sa grotte.

N'ayant pas rencontré l'Ogre ou le Yéti local, nous poursuivons l'ascension et après l'escalade du Paso de Silván, un grand ressaut bien équipé façon via ferrata nous parvenons enfin au sommet bien agréablement ensoleillé au lieu-dit Pinar de las Devotas (et il y en aura...)

Il est 13h et chacun, se cherche pour le repas un endroit confortable entre les touffes « d'erízones »  (Echinospartum horridum ou genêt hérissé), et si possible à l'abri d'un vent bien frais près des buissons de buis.

Le panorama est somptueux. Au Nord, le Movison Gran et la Punta Llerga, à l'Est la Peña Montañesa surplombant la plaine d'Ainsa, au Sud le Tozal de Guara et plus près le Castello Mayor, à l’Ouest le Massif du Mont Perdu bien enneigé.

Vers 14 h, nous reprenons la progression sur une piste qui, suivant la crête sommitale, nous mène peu avant 15h au pied du village de Tella que nous traversons par ses ruelles en pente très pittoresques.

La Posada nous accueille pour un pot bien pourvu en pâtisseries avant le retour à la maison.

Selon le panneau-topo de Tella, le circuit fait 4,9 km pour 430 m de D+, mon GPS un peu fantaisiste donnant 9,7 km.

Encore merci Alain pour cette magnifique randonnée.

JP

La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
La Senda de Silvàn depuis Tella
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La Senda de Silvàn depuis Tella
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