randonnee en montagne

Dén. 1200m.

Partis du village de ENS par beau temps , avec entrain un groupe de 9 marcheurs a grimpé les sentes du Pas de Laubère 2213m. , puis celles des lacs

A 10mn. De l’arrivée , un feu d’artifice de grêlons nous a accueilli , nous laissant apercevoir ces lacs si paisibles d’ordinaire

Le casse-croûte , sur le chemin du retour près du bidon bleu a été fort apprécié

La randonnée s’est terminée au son des Bandas à Sailhan (fête du moulin de la Mousquère)

Juste avant un superbe orage !!!!!!!

Bravo aux supers marcheurs

Merci Richard

Dén. 800m.

A 7h30 nous partîmes 8 et à16h30 nous revenions à 8.Miracle!

La montée fut courte mais raide entre Artigas et le Cloth des Aranes en

passant par le lac de Rius.

La présence de centaines de papillons (des Piérides de choux ) nous ont accompagnés tout au long de la journée

Belle vue sur le massif de la Maladeta et sur la Focanada.

Une bonne inspiration nous poussa à quitter le lieu du casse croûte à 13h ce qui

nous valu d'éviter l'orage avant l'arrivée aux voitures.

Seul regret : nous n'avons pu visiter les résurgences de la Garonne au

Goueil de Joueou sans risquer une belle douche!

Ce sera pour une prochaine fois.

Merci à tous de votre vaillance et de votre bonne compagnie.

Merci Pierre

Dén. 1000m.

10 vaillants pour attaquer les 3006m de l’Estaragne

Arrivés au sommet à 11h. Quel bonheur !!

Une petite sieste, même en prime avant d’attaquer la descente en boucle par le versant Campbielh

A midi , après avoir descendu le passage délicat ,repas et une 2ème bonne sieste dans la verdure avec en spectacle les grimpeurs de la crête des Alharisses

Le verre de l’amitié chez Tougne au bord du lac de Cap de Long

Mais quelle bonne journée

Merci Alain

Dén. 1000m.

Partis à 8 heures avec une sacrée équipe de 11 trublions , nous avons réalisé une belle bouclette de lac en lac

Le ciel bleu et le soleil ont agrémenté notre journée !!!

Journée qui s’est terminée autour d’un verre plein de buée !!!

Pour d’autres aventures .RDV la semaine prochaine

Ricard d’eau de la Fontaine

dénivelé 800m

Dimanche 17 Août à 6h départ à 9 de Lannemezan, à la grange d'Holle nous récupérons notre Président et ses trois drôles de dames.

8h30 nous nous frayons un chemin au milieu de la foule au départ du col des Tentes, heureusement nous abandonnons tout ce monde au col de Boucharo, direction la vire d'Escuzana, un vent bien piquant nous accueille.

Les 13 vaillants montagnards se lancent d'abord à l'assaut de la Forqueta et le soleil s'invite à la balade direction la vire et ses bouquets d'Edelweiss, nous trouvons également quelques brins de Génépi mais hélas pas en quantité suffisante pour préparer le divin breuvage...

Quelques pas d'escalade franchis allégrement, le sommet nous attend avec son magnifique panorama à 360° sur les sommets français et espagnols.

Magnifique journée sous le soleil et dans la bonne humeur habituelle.

Nous retrouvons la foule à Boucharo et regagnons le col des Tentes à 17h15, flapis mais enchantés par cette belle journée.

Merci Alain.

A 6h les 7 vaillants participants étaient au rendez vous et à 7h30 ils

attaquaient la montée vers le col d'Ourdissetou qui fut atteint sans

difficultés 3h plus tard.

La concertation fut brève et le choix vite fait au profit du pic

d'Ourdissetou et au détriment du pic de l'Espade et du lac dOurdissetou.

Une petite séance d’arête et de pierraille nous conduisit au sommet en une

heure , et 200 m. plus tard.

Très beau panorama sur la Punta Suelza,la Punta Fulza,le Batoua,ainsi

que les pics de Tramezaigues et de Lia.

Le casse croûte bien mérité et la sieste obligatoire récompensèrent des

1150 m de montée.

A bientôt!

Dén. 1350m

16 valeureux et valeureuses sont partis de bon matin à l’assaut du Pic de Sauvegarde sous un ciel voilé…..

Fleurs , cascades , de beaux lacs (Boum !!) et quelques moutons ont agrémenté la montée vers ce sommet sympathique . Au loin , l’Aneto nous fît un clin d’œil…..

La descente fût rapide , mais un peu attristée par l’explosion en plein « vol » de la cheville de notre chef : loi des séries

Espérant qu’il sera vite sur pied pour nous guider vers d’autres aventures

Merci Jacques

Rassurez-vous Jacques va bien

Ricardo de la Fontaine

Départ à 6h30 de Lannemezan, nous passons le tunnel de Viella et bifurquons vers le village dénommé : Anéto, qui a donné son nom au point culminant des Pyrénées ,baptisé ainsi par Franqueville qui l’a gravi le premier vers 1840, (c’est lui qui le prétend parce que c’est le premier à l’avoir écrit).

De ce village, nous empruntons une piste de 10 km qui se termine par un étrange tunnel. Nous sommes alors au bord du lac de Llauset 2150m, il est 8 heures et l’ascension commence.

Certes, nous nous attendions à trouver quelques cailloux sur notre itinéraire, nous ne fûmes pas déçus. Après le lac de Llauset nous longeâmes 7 autres lacs puis après une bien rude montée finale avec beaucoup de zigs et de zags, nous arrivâmes au sommet bien mérité. Il nous a tout de même fallu 4 bonnes heures pour parvenir à cette terre promise.

L’Anéto par sa face sud, les Posets, tout est magnifique.

Après un frugal et rapide repas, une descente laborieuse s’amorce, heureusement la pensée de déguster des tapas à Bossots nous donnait du cœur à l’ouvrage.

A 18h nous retrouvons nos voitures, épuisés mais ravis, fallait-il que l’on s’aime et que l’on aime………les Pyrénées.

Merci Alain.

Les tapas tant espérées furent au rendez-vous.

Simon de l’Abreuvoir.

Monsieur le président, je vous fais une lettre que vous auriez peut-être lue si vous en aviez eu le temps, et surtout, si vous aviez eu internet.

En guise de papiers militaires nous reçûmes une invitation pour aller admirer les magnifiques lacs Noir et Blanc. Ils se situent bien au-dessus du lac d’Estaing.

Onze randonneurs partent de Lannemezan à 6h30 et arrivent au lac d’Estaing à 8h.

Nous avions 1200m de dénivelée à gravir. Un troupeau de vaches qui manifestait (ne nous demandez pas pourquoi) nous barrait le chemin, et pour éviter toute provocation, nous dûmes le contourner.

Après le lac du Plaa de Prat, (atteint en 2h) le sentier longe un torrent fougueux qui nous fait admirer ses magnifiques cascades bondissantes, on en oublie la raideur de ce passage.

Les orages annoncés ont très gentiment pris du retard, laissant la place à un généreux soleil surtout le matin.

Nous arrivons d’abord au lac noir, puis au lac blanc (pas tant que ça) redescendons manger au lac noir en compagnie de quelques patous qui ont provisoirement délaissé leur troupeau afin de nous souhaiter la bienvenue, et obligeamment, nous débarrasser du supplément de nourriture que nous avions apportée. Nous rencontrons aussi leur patron en la personne d’un charmant berger.

Le retour s’effectue sans problème, avec une météo toujours aussi bienveillante.

En résumé : excellente randonnée, ambiance toujours au beau fixe ;

Merci Josiane.

La vaillante petite troupe, désirant rééditer les exploits légendaires qu’elle accomplissait dans les années 90, voulant en quelque sorte aller « à la recherche du temps perdu », pensa tout naturellement gravir le mont du même nom.

Las, Marcel Proust nous avait jeté un sort, ce mont était totalement perdu dans le brouillard.

Pourtant, nous partîmes la veille, couchâmes au refuge Gorriz auquel nous avions accédé en remontant le magnifique cañon d’Ordesa.

Quittant le refuge à 7h, nous étions à l’étang Glacé à 10h, mais aussi dans le brouillard, et nous ne vîmes pas plus cet étang que le sommet du mont Perdu.

Dépitée, la vaillante petite troupe fit demi-tour et retraversa quelques névés assez pentus (il y en a encore à cette saison) qu’elle avait déjà foulés à l’aller.

1800m de dénivelée ont tout de même été gravis, l’honneur est sauf.

Simon de l’Abreuvoir