randonnee en montagne

Publié le 12 Août 2020

A la veille d’une date révolutionnaire, cette journée du 9 août se voulait un peu spéciale.

Après une première modification dans le calendrier de sortie, Jean-Pierre voulait nous conduire au pic Maubic, (un joli 3000). La météo avec ses menaces d’orage ne l’a pas entendu ainsi. Sagement  il annula ce projet. Un « groupe d’experts » se pencha avidement sur les cartes et concocta un plan B.

Très modestement il fut décidé d’aller dans la vallée du Lavedan vers la cabane d’Auloueilh et éventuellement le lac de Portarras (2187m).

Nous quittâmes les granges de Lurgues (1454m) à 9h.  Au bout d’une demi-heure de sentier, une intersection à notre droite nous indiquait l’itinéraire de l’Arbizon. Un peu de nostalgie de la part de ceux qui l’ont pratiqué jadis, qui l’aiment,  mais qui ne se sentent plus les jambes pour accéder au sommet (et le redescendre). Nous longeons  le torrent  et vers 10h30, arrivons à la cabane. Quelques vaches, un important troupeau de moutons qui descend des crêtes de Hosse, rendent cet endroit bien bucolique.  Un franc et chaud soleil nous a accompagnés jusque là. Notre groupe de 22 randonneurs va perdre sa belle et légendaire unité. Une première cassure s’opère entre ceux qui veulent rester à la cabane et ceux qui désirent aller au lac. Une idée avait même été émise de monter vers les crêtes de Hosse.

 Lors du cheminement vers le lac, le groupe continua sa dilution, plusieurs décidèrent soit parce qu’ils estimaient que ce lac était trop loin ou qu’ils avaient assez monté (sans avouer qu’ils étaient fatigués) de faire demi-tour.

Les plus courageux arrivèrent au lac (2187m). Ils ne furent pas très récompensés, car  ils ne trouvèrent qu’une zone marécageuse, vestige d’un lac asséché.   

Tout le monde redescendit à la cabane,  le groupe fut de nouveau au complet pour déguster notre repas dominical. Il était 12h30 et un invité,  pas si surprise que ça, vint nous visiter. Il commença par de gros roulements de tambour, et à 13h la pluie vînt nous déloger. Le temps de mettre nos capes ou anoraks  et nous filâmes vers les voitures. Après un petit répit à mi course la pluie avait redoublé d’intensité. Nous entrâmes dans les voitures assez mouillés et allâmes  nous sécher dans un accueillant café de Guchen.

Comme toujours, une bonne journée tout de même !

Merci  Jacques

S de l’A

La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..
La cabane d’Auloueilh, et au-delàs…..

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Publié le 4 Août 2020

Josiane est une inconditionnelle des lacs de montagne. Et, c’est bien normal, elle est à la recherche de petits lacs sauvages, un peu délaissés par le tourisme.

Elle propose à 17 camarades de l’accompagner sur un circuit très intéressant. Après Arrens et le barrage du Tech, nous nous enfonçons dans la vallée jusqu’à la centrale électrique du Miguélou, nous laissons les voitures à la maison du parc vers 8h45.

Après un court passage sur une route goudronnée, nous nous retrouvons à 1500m au pied d’une conduite forcée que nous allons remonter  sur environ  700m. Pour cela nous gravissons un sentier assez raide, des fois herbeux  mais aussi raviné et caillouteux.

Nous l’abandonnons provisoirement vers 1900m pour aller admirer le premier lac que Josiane nous a promis. Après avoir évolué dans un secteur granitique, donc bien pourvu en gros blocs à enjamber, nous arrivons au lac des Touest. Sa réputation de lac magnifique  n’est plus à faire, mais, j’ai oublié de signaler tout simplement,  que le beau temps n’était pas au rendez-vous. Nous sommes montés dans le brouillard (à la limite, mis à part les pierres humides et glissantes à éviter, ce n’est pas si mal de monter à la fraiche) et ce joli lac est bien voilé à nos yeux. Nous le quittons, reprenons notre ascension  et arrivons au sommet de la conduite forcée. Un splendide panorama devrait s’ouvrir à nous yeux, ce sera pour une autre fois. Nous longeons à présent  les vestiges d’une ancienne voie ferrée qui était en service lors de la construction du barrage du Miguélou. Au bout de 20 minutes, nous arrivons sur une pittoresque passerelle. Le second lac à visiter, le lac d’Assiéoubat, est tout près  nous avons prévu d’y prendre notre repas.  Pas question !  Le brouillard est toujours assez dense et froid. Nous nous dirigeons alors vers le refuge du Miguélou,  y arrivons à 13h et  trouvons à proximité  une accueillante petite plate forme mi herbeuse mi  rocheuse avec même un tout petit rayon de soleil.

Cela fait 4 heures que nous marchons nous apprécions ce repos réparateur.

A 14h15, notre cheftaine donne le signal du départ, le petit rayon de soleil qui nous avait accueillis   n’a  pas eu beaucoup de suite. Nous  descendons  par le sentier principal qui, du refuge du Miguélou nous conduira au Plaa d’Aste. Au départ nous longeons le barrage du lac qui est très particulier. Ne pouvant s’arc-bouter sur des flancs de vallée, il s’appuie sur des éperons en béton, beau boulot !!

Le sentier un peu pierreux au début est facile, beaucoup moins pentu que celui de ce matin. Le brouillard nous entoure toujours.

Vers 16h30 nous arrivons au Plaa d’Asté où les premiers arrivés de l’équipe y ont acheminé les voitures.

Un pot bien mérité à Arrens, les jambes de certains un peu fatiguées,  nous remercions Josiane d’avoir su nous conduire sur ces terrains sauvages, un peu ingrats,  sans perdre personne, le tout sous  une météo bien ingrate.

Bravo l’artiste !!

S de L’

Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou
Lacs des Touest-Assiedouat-Miguélou

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Publié le 27 Juillet 2020

Annick propose à ses 16 compagnons de retourner  en Espagne, dans un lieu légèrement sauvage et moins fréquenté que la vallée de la Pineta : La vallée du Tigoniero.

Nous parquons les voitures au niveau des bâtiments désaffectés qui abritaient  les bureaux de l’ancienne douane espagnole, et à 9 heures, prenons plein EST, le sentier qui va longer le Barranco de Trigoniero. Il est un peu raide au départ. Durant toute sa progression, il alternera entre des portions raides, moins raides, des faux plats et même quelques petites descentes. Il est parfois caillouteux, parfois très confortable, quelques rares rochers et même quelques racines agressives à éviter. Mais globalement il est bien sympathique et sauvage. A mi-chemin, à notre droite, nous voyons un nombre important d’arbres qui ont été déracinés et qui gisent tristement dans la vallée. (Vent, avalanches ?)

Passons vite ce paysage désolé et admirons plus tôt quelques jolies  cascades et une belle flore. Une passerelle sur le rio nous indique que nous ne sommes plus très loin d’un petit plateau que nous atteignons bientôt. L’horizon s’est dégagé, un panneau nous indique l’itinéraire du lac de Trigoniero, il est très beau mais se trouve  400m au-dessus de nous.

Nous nous contentons d’aller vers le refuge distant de 500m. Il a été entièrement restauré,  c’était nécessaire,  il était en piteux état, le pauvre ! Nous remontons encore un peu dans la vallée et trouvons, au bord du ruisseau,  un endroit très accueillant pour déguster notre pique-nique. Cela tombe bien, midi approche. Nous sommes vraiment bien au bord de l’eau. Le seul bémol à apporter réside dans le fait qu’Annick nous avait promis de nous présenter ses amis marmottes et isards. Personne n’est au rendez-vous. Il faut dire qu’en arrivant sur le plateau, nous avons croisé des chiens. (Rapport de cause à effet ?) Seul un troupeau de vaches paisibles, ruminant sous un chaud soleil,  nous regarda passer.

Etant arrivés dans ce sympathique vallon à  11h45, nous le quittons à 13h15, redescendons le barranco et atteignons en ordre dispersé nos voitures vers 15h.

Fidèles à nos habitudes, nous rendîmes visite à Luis et appréciâmes ses boissons rafraichissantes.

Plusieurs d’entre-nous ne connaissaient pas cette vallée sauvage,

 Merci Annick.

Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro
Refuge de Trigoniéro

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Publié le 7 Juillet 2020

Voici une belle classique que nous propose Richard, aller voir le refuge des Oulettes.

Nous partons du parking du pont d’Espagne (1450m) à 9h10 et, par le Gr 10 nous nous dirigeons vers le lac de Gaube. Le rythme est soutenu, nous l’atteignons au bout d’une heure. Nous le longeons par sa rive gauche, puis toujours en gardant le Gr nous remontons la vallée. Le sentier est très évident, mais très  caillouteux ; nous sommes dans une région granitique, et l’absence de végétation dense ne favorise pas un apport de terre suffisant pour le rendre  confortable.

Nous arrivons enfin  au pied du refuge  vers 12h30, 12h40.

Le panorama proposé par la face nord du massif du Vignemale, fait oublier les fatigues provoquées par ces 3h30 de marche. Qu’on en juge, nous admirons le Petit Vignemale que nous avons visité il y a 2 ans ; la Pointe Chaussenque, le Piton Carré, La Pique Longue (3219m, point culminant) et entre les deux,  le fameux et mythique couloir de Gaube. On comprend pourquoi ce site est tellement fréquenté.

Après 1 heure de restauration et de repos, nous reprenons le même sentier avec les mêmes cailloux et accomplissons les 8 km qui nous séparent du pont d’Espagne. Nous y arrivons vers 16h30.

A la Raillère, une terrasse bien accueillante nous permet de prendre le pot de l’amitié. Il nous reste deux heures route pour rallier nos pénates.

Une sortie un peu éprouvante pour certains, mais la contemplation de ce magnifique site se mérite.

Merci  Richard

Simon de l’Abreuvoir

Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m
Les Oulettes de Gaube 2151 m

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Publié le 15 Juin 2020

Nous étions 17 à nous retrouver avec un  réel plaisir pour cette sortie facile et agréable, après 4 mois d’isolement pour certains. Même si  ce n’était pas le grand soleil, l’allégresse était dans tous les cœurs en attendant de voir si elle était aussi dans les jambes.

Josiane avait choisi un itinéraire facile et bien dégagé.

Quittant les voitures de la route forestière du Peyras (1150 m) à 9h50, nous suivons une piste qui nous conduit rapidement à la croix du Peyras. Ensuite un sentier bien marqué et balisé nous conduit sans problème au lac d’Aygue Rouye (1620m). Nous y sommes un peu avant midi. Afin de respecter les normes sanitaires en vigueur nous avons cheminé en 2 groupes. Les prairies dominant le lac sont très vastes, nous avons ainsi pu nous installer, suffisamment éloignés les uns de autres, assis sur des pelouses à l’herbe très douce.

Nous dominions ce joli lac et sa petite île. Il était malheureusement inutile de lever la tête les sommets environnant se refusaient à notre vue, en particulier le Liset de Hount Blanque ne dénia presque jamais  se dévoiler.

Le spectacle était au niveau du lac, par le paysage bucolique qu’il nous offrait.

 Il fut en plus agrémenté par l’arrivée d’un important troupeau de moutons descendant un sentier venant de l’est. Ces sympathiques ovins cheminant bien les uns derrière les autres sur plusieurs dizaines de mètres formaient un très joli ruban qui ondulait au grès de la pente. Afin de bien gérer  son unité, le berger marchait en tête et la bergère aidée par son chien, clôturait la marche.  Hélas, à l’approche du lac cet ensemble si bien ordonné vola en éclat. Si les moutons de  tête continuèrent à suivre leur berger sans se soucier des touristes qui mangeaient  près du lac, vers la fin du troupeau, certaines « brebis galeuses » qui n’étaient justement pas des brebis mais des chèvres capricieuses, rompirent ce bel ordonnancement et allèrent s’égailler auprès des touristes pour aller leur quémander quelques friandises. La bergère tenta vainement de ramener ces « brebis » égarée, elle comptait sur son chien pour accomplir cette tache, mais celui-ci, soit qu’il estima qu’il était 13h passées et que son travail était terminé ou qu’il fit jouer son droit de retrait ou tout autre raison, ne dénia  aider sa patronne. Ainsi quelques petites biquettes restèrent au milieu des randonneurs, à la grande joie des enfants.

Nous quittâmes ces lieux ravissants non sans avoir visité la petite cabane du lac et photographié une salamandre blottie sous une pierre plate.

Un retour rapide nous fit atteindre les voitures vers 15h. Etant trop nombreux pour aller déguster le pot de l’amitié, nous nous séparâmes en nous disant à très bientôt.

Très belle et sympathique sortie.

 Merci Josiane

Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m

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Publié le 16 Mars 2020

Nous étions 20, parmi nous, notre chef : Bernard, nous avait proposé de parcourir le circuit, Douly, Mont Aspet.

A Saint Laurent, notre lieu de rendez-vous, nous avions un ciel couvert, mais la météo était bonne nous allions trouver le beau temps. Après Nistos,  sur la route qui conduit à la station de ski de Cap Nestès nous montons dans le brouillard, mais lorsque nous arrivons à la cabane des Artigous vers 1350m, notre point de départ, nous nous trouvons au-dessus des nuages.

C’est ainsi que, tout confiants, bien chaussés et en laissant les raquettes dans les voitures, nous partons vers le pic de Douly. Une large piste,  un sentier, à la fin une prairie un peu pentue nous conduisent au sommet (1630m). Durant ce parcours en se retournant on voyait parfaitement le mont Aspet, notre future ascension. C’est la dernière fois que nous le vîmes .

Les nuages que nous avions laissés au niveau des Artigous nous ont suivis. Dès que nous quittâmes le sommet du Douly, nous fûmes dans le brouillard. C’est en tâtonnant, en descendant un peu trop à l’Est dans un premier temps, puis en rectifiant le tir que nous nous dirigeâmes vers la cabane de la Prade 1629m. Nous avons contourné le pic de Belloc par le nord, sans même le voir.

Il est presque midi lorsque nous sommes à la cabane. Monter au mont Aspet dans ces conditions n’enchante personne. Nous dégustons donc notre repas dans ce lieu, le dos contre les murs de la cabane et devant nous, un mur de brouillard.

Ironie de l’histoire, lorsque nous sommes presque prêts à repartir, le ciel se dégage et nous revoyons le mont Aspet qui semble nous attendre. Cependant,  après manger, personne ne souhaite effectuer cette raide grimpette de 230m. De plus le brouillard revient, mais une piste sure nous ramène à nos voitures (que nous apercevons au tout dernier moment).

Vers 15 h nous nous retrouvons à Saint Laurent, en nous promettant de refaire ce circuit qui par beau temps est très agréable.

Merci à toi, Bernard de nous avoir conduits au pic de Douly et de nous avoir ramenés à bon port.

Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard

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Publié le 2 Mars 2020

La Montagne du Pin est une nouvelle fois au programme du Club ce Dimanche 1er Mars  mais on peut compter sur Richard pour nous y mener par un chemin inconnu de tous.

 Avec le beau temps nous sommes treize à prendre la direction de Bareilles puis par la route forestière du Bois de Tragnes nous parvenons au départ d'une piste à la côte 1536 m où nous laissons les voitures vers 9 h15.

 La pente est d'entrée très raide et nous atteignons après cent mètres le chemin de la Serre vers 1650m .

  En suivant la Crête de la Serre où nous jouissons d'un superbe panorama à droite sur les sommets de la vallée d'Aure et à gauche sur les Serres de Montaut et du Pin, nous sommes au pied de la Montagne du Pin vers 10h 10.

 L’ascension par cette arête est moins pénible que par les granges de Jézeau que nous apercevons à notre gauche.

 Nous suivons une belle corniche de neige et, aiguillonnés par un grain venant de l'Ouest, nous touchons le sommet  à 11 heures.

  L'idée initiale de Richard était de poursuivre la randonnée vers la Montagne d'Areng toute proche ce qui aurait été très envisageable compte tenu de l'heure mais le grain qui nous rejoint alors se transformant en véritable tempête de vent glacial et de neige la descente est immédiatement entamée.

  Le vent se calmant au gré de la perte de dénivelé c'est avec le soleil que le pied de la Montagne est atteint à une heure raisonnable pour prendre le casse-croûte.

  Pas de sieste après le repas car les organismes sont encore marqués par le froid du sommet et les voitures sont rejointes vers 13 heures par le même chemin qu'à la montée.

 

  Une très jolie randonnée de 6,5 km pour 500m de dénivelé.

 

   Encore une fois merci Richard. !

Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m

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Publié le 25 Février 2020

Lorsque Maithé a proposé cette randonnée, au mois d’octobre précédent, elle pensait que nous chausserions les raquettes assez rapidement après le départ du joli petit village d’Artigue (1222m). Mais les raquettes sont au chômage longue durée, elles n’ont même pas eu droit à une balade en voiture au cas où…

Donc sans elles, nous quittons Artigues à 9h, et nous  dirigeons vers la cabane de Saunères atteinte vers 10h20. Après une petite halte nous nous allons vers la cabane de Peyrehitte. Depuis Saunères,  2 itinéraires sont possibles : soit, monter en crête, itinéraire élégant, soit emprunter une piste qui monte plus régulièrement que le chemin de crête et arrive au même endroit vers la cabane de Peyrehitte. Presque tout le monde choisit le bel itinéraire, une faible minorité prend la piste, éternel débat entre l’efficacité et le panache !!

Nous nous retrouvons à 11h30 au pied du Montmajou, il nous reste à gravir les 140m qui nous séparent du sommet. La  montée est  assez raide, sans sentier, chacun choisit un itinéraire à sa convenance ;  à midi tout le monde est au sommet. Il est  très vaste et plat, ce qui explique son appellation.

Quelques plaques de neige nous rappellent que nous sommes en février et permettent de rafraîchir quelques boissons qui  célèbreront un anniversaire.

Une fois les bouteilles au frais, nous contemplons un panorama grandiose allant du pic de Maubermé  jusqu’au pic du Midi. La neige présente au delà de 2000m donne  à ce tableau  une touche merveilleuse.

Le repas terminé et l’anniversaire souhaité,  à 13h30, nous prenons le chemin du retour et retrouvons Artigue à 15h30.

C’est le café de Montréjeau qui nous accueille pour prendre le pot de l’amitié.

 Nous parcourons toujours cette région avec un grand plaisir, merci à vous,  Maithé et Raymond.

Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m

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Publié le 17 Février 2020

 

 

Ce Dimanche de mi-Février Richard nous propose une sortie dans « son jardin » du Louron.

La neige est désespérément absente de la moyenne montagne et les raquettes resteront à la maison ce qui arrange plutôt beaucoup de randonneurs.

 Nous sommes treize à l'accompagner au départ, à neuf heures, de Cazaux-Dessus à l'assaut du Sommet de l'Aigle . Le club connaît bien ce sommet mais c'est à chaque fois différent grâce à Richard qui nous propose une variante (étonnant non?) en partant plein Sud de Cazaux par la piste habituelle de la crête de Portet mais en la quittant dès le premier virage pour nous engager à droite dans une montée très raide dans la forêt.

  Après quelques minutes de peine nous débouchons sur la crête parallèle à celle de Portet mais plus au Sud, et nous jouissons déjà là d'une vue somptueuse sur la vallée du Louron au timide soleil du matin.

  Nous suivons alors plein Est la crête jusqu'à rejoindre la piste de la Crête de Portet et gardons le cap à l'Est jusqu'au Sommet de l'Aigle à 2078m que nous atteignons vingt minutes avant midi et où nous retrouvons notre amie de Mont partie de chez elle.

   En ayant encore sous la semelle la moitié de l'effectif suit Richard jusqu'au Pouy Louby voisin à 2091 m avant de reformer le groupe pour le repas ajoutant 120 m de dénivelé et trois quarts d'heure de marche au total de la rando compte tenu de la remontée au sommet de l'Aigle.

   Un peu plus bas que le sommet, à l'abri relatif d'un vent violent, nous fêtons deux anniversaires et prenons un casse-croûte rapide compte tenu du froid causé par le vent.

   La descente reste classique jusqu'au Cap de Peyrehicade mais le « mordu de variantes » nous propose  d'accompagner notre amie jusqu'à Mont ce que nous faisons en descendant dans la Coume Longue au pied Sud du Cap du Tuquet, pour atteindre en traversée le col de Collantigue à 1615m,  au Sud du Cap de Bosc Grand.

   De là nous suivons la très jolie crête  passant par Pène d'Aube 1631m pour descendre jusqu'à Mont.

   Notre amie « abandonnée » nous suivons le très pittoresque chemin ancestral passant par la charmante église de Saint Calixte  pour rejoindre à 17h 15 les voitures à Cazaux Dessus.

 

  Merci Richard pour cette très jolie randonnée « surprise » de 13,300 km et 1036m de dénivelé et un peu plus de 14km pour 1156 m pour les plus courageux.

Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m

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Publié le 10 Février 2020

Toujours pas de neige en moyenne montagne, raquettes au chômage (situation qui ne déplait pas à tout de monde), Bernard décide de nous conduire sur les hauteurs de la vallée de Campan, vers le Courtaou de Teilhet.

Nous quittons Campan vers 9 h, puis après avoir traversé l’Adour, nous prenons un sentier nord-est,  assez raide mais confortable. Vers 10 h, nous partons plein Est et cheminons un long moment en forêt. Nous la quittons au niveau du Courtaou du Teilhet (1218m). Au loin nous apercevons le Casque du Lhéris maintes fois gravi. Il n’est que 11h, le chef décide de poursuivre notre progression  vers le Casque. Ce vallon dans lequel nous sommes est très agréable. Nous allons jusqu’au Pla  d’Espet , musardons, échangeons avec d’autres groupes de randonneurs ; nous ne sommes pas les seuls à fréquenter cette région.

Ensuite, retour vers le Courtaou où nous avions décidé de manger, mais, à tout prendre, Bernard pense qu’il serait préférable d’aller jusqu’au sommet du Teilhet, à seulement 70m au-dessus. Il est suivi par toute la troupe qui peut ainsi contempler à loisir un magnifique paysage. Un petit vent assez frais ne nous incite pas à prendre notre repas en ce lieu, nous redescendons au Courtaou, où, bien à l’abri, sur le lieu d’une ancienne cabane, nous dégustons enfin notre repas. Auparavant nous sommes allés voir un large puits bien muré mais sans margelle, (attention en cas de brouillard) appelé « la glacière ». Ce patronyme désigne son ancienne fonction.

A 13h30, après une visite à la cabane du Courtaou, nous redescendons par un sentier très bien tracé mais  pierreux dans la Coume d’Articaou. A l’altitude 835m, un sentier dans l’axe de la vallée nous ramène à Campan. Quelques arbres abattus par la tempête récente ajoutent un petit piment à notre progression. Nous retrouvons Campan vers 15h et un sympathique bar nous invite à y boire le pot de l’amitié agrémenté de quelques gâteaux.

Tu nous as conduits dans un superbe endroit, pour certains ce fût une découverte.

Très bonne idée  et un grand merci,  Bernard

Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.

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