randonnee en montagne

Publié le 22 Novembre 2021

Je vais vous donner du sauvage a dû penser Alain lorsqu’il a décidé de nous conduire dans cette belle région calcaire située au sud de l’ensemble du massif du Mont Perdu. Une randonnée facile mais longue. Ce jugement s’avèrera exact sur la longueur.

Nous quittons le village de Revilla à 9h40 et empruntons un sentier qui est principalement orienté à l’ouest,  il nous fait légèrement monter jusqu’à 1370m. Nous évoluons en sous bois. Nous passons deux passerelles qui enjambent des rios à la profondeur appréciable. Nous passons par moments au pied de belles falaises calcaires offrant des cavités bien creusées,  presque des grottes, intéressants abris en cas d’intempérie. Après environ deux heures de marche, le sentier va nous offrir la seule petite difficulté de la matinée,  concrétisée par une  descente bien raide  dans la forêt. Mais : Le terrain est sec,  principalement terreux,  les feuilles mortes qui le jonchent ne dissimulent pas trop de pierres perfidement glissantes, de nombreux troncs de toutes sortes permettent de s’accrocher. Ainsi, tout le groupe passe ce passage un peu délicat  sans aucune glissade malencontreuse. Le sentier reprenant sa physionomie habituelle nous continuons notre marche et traversons le rio Yaga sur une passerelle.  Nous  atteignons  enfin une magnifique clairière où Alain (qui l’avait anticipé) nous invite à poser nos sacs et à nous restaurer. Il est presque 13h tout le monte apprécie cette injonction.

Nous sommes dans un très beau site, un agréable tapis herbeux nous procure d’opportuns sièges. Nous n’en profitons pas bien longtemps, le chemin du retour sera long.

Nous repartons à 13h30, un sentier horizontal nous conduit sur une piste qui va nous mener  jusqu’à Escuain que nous rallions vers 15h. Nous  sommes à vol d’oiseau  à un peu plus d’ 1 km des voitures, mais n’ayant pas d’ailes  et nos voitures n’étant pas encore connectées pour venir docilement à notre rencontre (la providence pour une infime minorité du groupe, palliera à cette évolution trop lente de la technique), nous devons les atteindre en suivant les accidents du terrain.

Cet accident de terrain se matérialise par une seconde traversée du  cañon du rio Yaga, concrétisé par  une nouvelle descente très raide de 200m, la traversée du rio à guet, l’appréciation  tout de même ce magnifique site au pied des falaises, et la remontée de ces 200m.

 Enfin vers 17h les voitures sont atteintes.

Il est déjà bien tard, notre café « Luis » habituel est fermé, nous rentrons sans trop nous attarder.

Une belle et sportive randonnée, merci Alain.

S de l’A

Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain
Boucle Revilla-Escuain

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 15 Novembre 2021

      Au calendrier Anik nous propose ce Dimanche de Novembre une boucle en Aragon à partir de Pineta le long des cascades de la Larri.

   Après la pluie sur le piémont c'est le ciel bleu que nous trouvons à Bielsa conformément aux prévisions mais arrivés à Pineta c'est un petit crachin qui nous accueille. Il en faut plus pour dégoûter les vingt  participants à la sortie et c'est bien équipés que tout le monde emprunte le sentier qui suit le Cinca vers le Nord Est à 1277m, vers 9h 25.

    Nous marchons à plat sur près d'un kilomètre  puis nous abordons la montée par un sentier très aménagé avec des marches de bois, de pierre ou de maçonnerie serpentant le long de la Larri affluent du Cinca. .  Le versant abrupt où coule le torrent donne l'occasion aux eaux impétueuses de magnifiques  cascades que nous pouvons admirer le long des 170 premiers  mètres de dénivelé .

    Nous parvenons ensuite vers 1500m sur la piste qui  relie Pineta au refuge de Larri.

La pente est alors agréablement plus douce et c'est sous les couleurs d'un magnifique arc-en-ciel que nous arrivons un peu plus haut au refuge de Larri vers 1600 m.

    Anik avait prévu à partir de là une boucle vers la cascade du Cinca mais le temps très incertain et le vent fort lui font abandonner ce projet et c'est vers le Salto de la Larri que nous poursuivons en suivant le fil du torrent . Nous sommes sur une pelouse quasiment plate que nous foulons sur 1,7 km jusqu'à la cascade que nous atteignons vers 11h.

    Quelques minutes pour admirer cette spectaculaire chute d'eau et nous retournons vers l'autre bout du plateau dit «  Llanos de la Larri » rejoindre le refuge du même nom afin d'y faire notre halte-repas à l'abri d'un vent humide ayant tendance à se renforcer.

     Le temps de fêter un anniversaire et  de se restaurer nous reprenons la route vers 12h30 en suivant la piste qui nous éloigne rapidement du mauvais temps sévissant sur le plateau. La descente se fait presque au soleil ce qui nous permet de prendre le temps d'admirer l'imposante cascade du Larri accomplissant son éternel travail de sculpture des parois rocheuses puis le barranco sec du Montaspro et enfin le saut imposant du Cinca apothéose de cette « ronde des cascades » que nous offre cette randonnée.

     Le stationnement de la Prada de Pineta est atteint vers 13h 30 et c'est chez l'incontournable « Luis » que nous prenons le pot de l'amitié.

 

     Merci Anik pour cette très belle randonnée aux chatoyantes couleurs d'automne, menée de main de maître compte tenu des conditions climatiques et nous faisant parcourir près de 11 km pour 388m de dénivelé.

Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021
Cascades de la Larri    14 Novembre 2021

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 9 Novembre 2021

Ce n’est pas la première fois que Danielle nous propose des itinéraires de randonnée qui, tout en se trouvant dans des lieux bien connus, sont assez  innovants. C’est ainsi qu’elle nous invite à visiter dans la région du Courtaou d’Ordincède,  la cabane de Banios. Nous ne sommes pas moins de 25 à la suivre.

Environ 2 km avant Ste Marie de Campan, nous quittons la route et nous engageons à gauche, dans une  impasse où nous laissons nos voitures. Le petit sentier qui suit cette impasse nous fait traverser l’Adour sur le pont Manau 753m, tellement modeste qu’il n’est même pas nommé sur la carte IGN. Il est pourtant bien joli. Le sentier s’élève ensuite vers l’est en direction du Courtaou d’Ordincède. Sa pente est assez prononcée, nous nous élevons rapidement. La neige a fait son apparition sur les sommets et au fur et à mesure de notre progression nous pouvons les apprécier, magnifiquement blanchis. L’Arbizon,  le Montfaucon,  le Pic du Midi et les autres, ont pris leur manteau d’hiver. Nous passons au pied d’une belle falaise à notre gauche : le Pène de Mougnès et continuons vers le Courtaou que nous atteignons après 2 petites heures. Plusieurs cabanes occupent ce lieu, certaines sont encore en bon état mais d’autres non entretenues « subissent  des ans l’irréparable outrage ! »

La cabane de Banios n’est plus bien loin. Nous y sommes avant midi. Elle est déjà occupée par un petit groupe de randonneurs parmi lesquels nous retrouvons quelques connaissances. Nous sommes trop nombreux pour occuper ce site. A quelques dizaines de mètres nous remarquons une série de petits rochers en gradin, bien orientés au sud, à l’abri d’un petit vent frais. Ceci nous procure un appréciable coin repas. Un sympathique anniversaire à fêter en agrémente le charme.

Il existe un petit sommet au nord ouest,  200m au-dessus du niveau de la cabane et à environ 1 km, c’est le Haboura (1628m). Il n’est que 12h30 lorsque le repas se termine, une moitié des membres du groupe ayant « des fourmis dans les jambes » décide d’aller le reconnaitre. Ils sont récompensés de cet effort supplémentaire par le panorama qui leur est offert. La neige toute fraiche accentue la beauté des nombreux sommets qui s’offrent à leurs yeux.

Ceux qui n’ont pas jugé utile d’accomplir cet effort supplémentaire quittent progressivement leur confortable rocher et entament la descente.

Nous arrivons aux voitures vers 15h.

Nous partons à Campan et entrons dans un café où nous sommes très bien accueillis. Chacun y déguste la boisson de son choix et nous  passons un bon et reposant moment.

Tu avais un important groupe que tu as fort bien encadré. Tu nous as fait faire une bien belle randonnée.

Merci Danielle.

S de l’A

La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m
La cabane de Banios 1450m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 2 Novembre 2021

« Un premier contrefort des Pyrénées qui culmine à 1050m sépare les vallées de la Garonne et de la Barousse. Ce petit massif est orienté sud-ouest, nord- est. Le sommet d’Herbe Rouge occupe son extrémité sud-ouest tandis qu’à son extrémité nord-est nous trouvons le sommet de Gert 1018m. L’ensemble du massif porte le nom de montagne de Gert. Entre ces deux sommets extrêmes, la crête qui les sépare fait environ 2,5km et passe par le soum de Chay. Il est arrivé à un promeneur isolé ou à un groupe très silencieux de rencontrer un troupeau de cerfs. Magnifique rencontre. »

Voici ce que nous écrivions en 2017, année ou nous avions gravi ce petit sommet.

Monique a eu la bonne idée de nous y reconduire profitant d’une météo sereine. Nous sommes 10 à la suivre et,  après Troubat, prenons une petite route qui nous conduit vers le pied de la falaise bien connue des varappeurs.

Après une (très courte) hésitation,  nous dédaignons  la  voie d’escalade directe et suivons la piste qui fut créée pour desservir  d’anciennes carrières. Elle nous conduit non loin du sommet que nous rallions ensuite rapidement.

Toujours le petit repas amical, nous profitons d’une belle douceur automnale et le panorama sans être somptueux comme dans certaines sorties est tout de même bien agréable à contempler.

Le retour vers les voitures fut rapide. Nous avons largement le temps d’aller rendre visite au château de Bramevaque.

Inutile de narrer l’histoire sordide de cette comtesse de Comminges au XV ème siècle qui, mariée bien jeune à de sinistres brutes devînt démente. Elle fut internée durant 20 années  par son 3ème mari dans le donjon de ce château et mangeait un enfant par jour !!! Le pleur des mères était encore plus intense que le beuglement (appelé ici brame) des vaches !

Afin de nous remettre de cette terrifiante histoire, Monique nous accueillit chez elle pour nous offrir d’agréables boissons.

Nous te remercions, Monique, pour cette très agréable sortie et ton chaleureux accueil.

S de l’A

Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m
Le sommet d’ Herbe Rouge 1050m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 26 Octobre 2021

Monique nous propose d’aller prendre l’air et de l’altitude dans le Val d’ Aran au Montcorbison. Parmi les 17 randonneurs qui la suivent, certains ne le connaissent pas.

A l’entrée de Vielha nous prenons à notre droite une petite route qui nous monte en lacets au lac de Bassa d’Olès.

Nous entamons la randonnée vers 10h, suivons d’abord un joli sentier herbeux  et  souhaitons  une bonne journée à des chevaux qui broutent bien tranquillement à coté de leur grange. Nous apercevons le sommet du Montcorbison 600m au dessus de nous.  Assez rapidement, ce joli petit sentier devient de plus en plus raide. Ainsi, nous nous élevons rapidement et notre panorama s’élargit. Certains n’en profitent pas encore ayant « le nez sur le guidon », guidon représenté en l’occurrence par la marche un peu haute devant soi, à gravir.

Mais tout le monde monte vaillamment  et vers 11h 45 nous accédons au sommet. Nous avons à présent le temps d’apprécier le panorama : Vielha à nos pieds, la vallée de Salardu et le pic de Maubermé vers l’est.  Bien loin le Pic du Midi et l’Arbison, mais surtout au sud-ouest,  le massif de la Maladeta avec le pic des Tempêtes et bien sur l’Aneto. Voir l’Aneto sous cet angle n’est pas courant. Il a la caractéristique d’être bâti sur 5 crêtes qui lui servent de piliers. Nous voyons l’une d’elles dans notre alignement, sans aucune trace de neige. Je me demande si ce n’est pas la crête des déchaussés, nommée ainsi,  parce qu’elle a été franchie par 2 séminaristes au 19ème siècle qui,  n’ayant que des espadrilles aux pieds, ont gravi l’Aneto par cet itinéraire pour éviter la neige !

Sans avoir la prétention de les imiter, certains ont tout de même pensé que cette randonnée était un peu légère et ont voulu l’étoffer en rendant visite à un petit sommet proche du Montcorbison, nommé le tuc de Letassi. Effectivement leur aller retour dura ¾ d’heures en incluant le temps qu’ils ont mis pour admirer l’Aneto dont ils s’étaient approchés de 500m.

Le repas ensuite fut pris dans ce cadre enchanteur et vers 13h45 nous prîmes le chemin du retour par un itinéraire un peu différent,  légèrement moins pentu avec de bons rhododendrons qui bloquent  les pieds.

Arrivés au lac, nous eûmes tout loisir de l’admirer et d’en faire le tour. Son eau limpide offre de magnifiques reflets des arbres qui le bordent, elle permet de voir de belles truites qui se prélassent au soleil. Nous rencontrons un autochtone qui méditant sur la rive, (pensait-il à Lamartine ?) nous apprend que l’étymologie du Montcorbison provient du fait  que vue du lac, sa crête est courbe.

Nous reprenons ensuite nos voitures,  descendons les nombreux lacets qui nous mènent à Vielha  et nous arrêtons à Lès pour apprécier un bon rafraichissement.

Très agréable  randonnée, Monique, tu as choisi un bien bel endroit. Merci pour cette journée.

S de l’A

Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.
Le Montcorbison 2176m.

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 19 Octobre 2021

 

      Après un départ commun de l'Hospice de France à 1379 m vers 8h 25, arrivés au Pont de Penjat à 1441 m les groupes A et B se séparent,  le premier prenant à droite vers le Cirque de la Glère, le second filant tout droit vers la Vallée de Vénasque.

      Pour atteindre le Cirque de la Glère nous nous engageons, le groupe A, sur le Sentier de l'Impératrice. C'est un sentier très bien tracé qui contourne les Pics de Penjat et de Sajust, et qui chemine presque à plat à travers le bois de Sajust à tel point qu’après une heure et quart de marche  et 5 km nous n’avons gravi que 200 m.

      Nous sommes alors dans le magnifique Cirque de la Glère vers 1600m et  entamons une montée , presque une escalade Sud-Est dans le vallon de la Montagnette et atteignons vers 11h le Lac du Maille à 2200m . Une petite pause pour récupérer un peu de ces 600m non stop et repartons en contournant le lac par la gauche pour atteindre 130 m plus haut le Lac de la Montagnette magnifique avec ses trois petits îlots.

      Il nous reste moins de 100m pour atteindre le Col de La Montagnette vers l'Est à 2430m  ce que nous faisons en même temps que nos amis du groupe B après 1018m de dénivelé.

 

      Pause repas au col puis descente vers les somptueux Boums de Vénasque où deux groupes se reforment l'un poursuivant la descente l'autre désirant aller admirer l'Aneto par le port de Vénasque.

     Encore 180 m d'ascension  et le Port est atteint en 20 mn.

     De là la vue est fantastique sur le massif de la Maladeta avec son point culminant le pic d'Aneto à 3404 m légèrement saupoudré de neige fraîche.

     La descente, classique,  nous permet de voir l'avancée des travaux sur le refuge de Vénasque puis ce sont les interminables lacets du sentier qui nous permet de retrouver la troupe au complet au stationnement de l'Hospice.

 

Groupe B

Laissant nos amis filer sur le sentier de l’Impératrice nous entamons le sentier du refuge.

Nous arrivons au refuge de Vénasque vers 11h. Pour une fois nous délaissons l’itinéraire du port de Vénasque et nous dirigeons plein ouest en passant entre les 2 boums (lacs) vers le col de la Montagnette.

Nous ne sommes plus sur le même type de sentier. Celui-ci est vraiment montagnard avec pas mal d’éboulis et de rochers à gravir. Rien de bien méchant tout de même.

Vers midi, nous atteignons le col et y retrouvons nos camarades comme déjà cité plus haut.

Très peu d’entre nous connaissaient ce col. Malgré son accès moyennement aisé, il mérite une visite, tant le panorama qu’il offre est intéressant :

Après le lac de la Montagnette et le pic de Sacroux vu sous son bel angle, si l’on se tourne vers l’est, c’est encore plus beau : Le pic de la Mine, l’aiguille Morin et le bec de Corbeau sont 3 aiguilles bien impressionnantes. On voit le port de Vénasque on est totalement dans son axe.

 

Vers 13h15, nous entamons la descente. Comme déjà décrit, notre groupe se sépare de nouveau lorsque nous arrivons au refuge.

 Tout le monde ne se sent pas la capacité d’ajouter 200 m aux 1018 m de dénivelée déjà accomplis.

Nous nous retrouvons tous à l’Hospice de France vers 16h30. L’auberge étant fermée, nous allons nous abreuver à Luchon. Des allées d’Etigny, nous pouvons de nouveau apprécier le pic de la Mine et ses 2 aiguilles voisines, sans oublier le pic de Sauvegarde encore ensoleillé.

 

Tu as initié une magnifique randonnée, merci Bernard.

 

S de l’A

Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021
Col et Lac de la Montagnette 17/10/2021

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 12 Octobre 2021

La 3ème tentative fut la bonne !

Par 2 fois nous dûmes annuler cette sortie en raison du mauvais temps.  Cette fois-ci, la météo nous annonce un ciel sans nuages. C’est ainsi que, sous la conduite de Jean-Pierre nous ne sommes pas moins de 25 à nous retrouver à l’Hospice de France. Nous y sommes accueillis par 2 adorables petits ongulés qui nous ont souhaité la bienvenue, tout en nous précisant qu’ils aimaient bien le pain frais.

 Il va peut-être faire beau, mais ce n’est pas encore tout à fait le cas, il reste une couche de nuages au-dessus de nous et un petit vent frais nous indique que l’été est bien fini.

Le départ à 8h50 est assez rapide, nous doublons rapidement la cabane du Pesson et continuons  vers la cabane de la Frêche. Il faut dire que le sentier sur ce secteur de 2 km n’est pas bien pentu.  Ensuite il commence à s’élever plus sérieusement mais reste herbeux et très confortable. Plus loin, la vallée parait se fermer devant nous et nous sommes dans un mini-cirque. Le sentier serpente le long d’un torrent et escalade certains passages rocheux où il est des fois nécessaire de s’aider des mains, rien de bien méchant tout de même. Deux heures après notre départ, nous parvenons au 1er étang (2030m).  Encore quelques petits ressauts nous sommes au second étang, et encore une belle  montée un peu raide, nous arrivons au 3ème étang (environ 2180m).

A ce niveau, le groupe se scinde : certains estiment avoir bien rempli leur journée et posent leur sac. Mais, comme il n’est pas encore 11h30 les premiers arrivés décident de rallier le pas de l’Escalette 300m au-dessus de nous. Ils y arrivent aux environs de midi et peuvent ainsi  en se déplaçant un peu, admirer le massif de la Maladetta.

Après leur  retour à l’étang,  vers 12h30, nous nous retrouvons tous réunis pour savourer du repos notre repas et quelques anniversaires.

Le signal du départ est donné vers 14h, une descente un peu prudente au niveau des endroits rocheux et vers 16h nous retrouvons l’Hospice de France et ses petits ânes.

Après le pot de l’amitié dans cet agréable endroit, nous nous séparons en nous donnant rendez-vous pour dimanche prochain.

Belle balade, merci Jean-Pierre.

S de l’A

Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche
Les étangs de la Frêche

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 30 Septembre 2021

18 randonneurs suivent Jean-Pierre  pour aller randonner au pic de la Bernatoire qui est l’extrême fin de la crête sud-ouest du massif du Vignemale. Partis à 7h de Lannemezan, après avoir laissé nos voitures au parking de la Stèle (1734m), 1,5km avant le barrage d’Ossoue,  nous sommes prêts à partir, sac sur le dos à 9h15.

Au départ, un petit coup d’œil à notre droite nous fait apercevoir de façon très fugace le refuge de Baysselance qui nous laisse de bons souvenirs. Et puis encore au-dessus,  le glacier d’Ossoue et la Pique Longue (du Vignemale) qui malheureusement a accroché un nuage et se cache un peu derrière.

Un sentier sud-est  nous conduit à la cabane de Lourdes, nous y sommes vers 10h. Nous nous engageons ensuite dans la large et tranquille vallée de la Canau en remontant le ruisseau de Lourdes. Très vite, un petit cri aigu et familier nous signale la présence de nombreuses marmottes qui, ayant vu passer tout au long de l’été, pas mal de randonneurs, sont assez familières et se laissent obligeamment  photographier. Nous foulons un sentier herbeux qui pendant 2km s’élève très doucement. Ensuite la pente devient plus franche, sans tomber dans de grands excès, et nous aboutissons au col de la Bernatoire (2336m) vers 11h45.

A ce niveau, certains membres du groupe jugent qu’ils en ont fait assez, les autres pas encore rassasiés, décident d’aller au pic juché 180m au dessus. Il est certain que le panorama qui leur est offert mérite cet effort supplémentaire. Quant-aux autres, ils ne sont pas restés inactifs et ont trouvé une salle à manger juste sur le versant sud du col. Elle se compose de gradins dans cette roche schisteuse offrant sièges et dossiers.

Nous dominons le lac de 60m et pouvons ainsi l’apprécier. Une cuvette parfaite. Aucun torrent ne s’y jette et aucun déversoir visible. Son diamètre est d’environ de 170m. Une magnifique curiosité.

Après le retour des adeptes du sommet, et le repas dégusté, vers 13h30 nous repassons le col et redescendons. Un dernier au-revoir aux marmottes qui bientôt vont préparer leur hibernation. Nous atteignons la cabane de Lourdes et  restons sur le Gr 10 qui nous conduit au barrage d’Ossoue.

1.5 km de piste plus bas, nous  retrouvons  nos voitures.

Le pot de l’amitié à Gèdre où nous sommes toujours bien accueillis clôture cette journée.

C’est toujours un plaisir de retourner  dans cette magnifique région d’Ossoue malgré l’éloignement.

Tu as eu pleinement raison de nous y ramener.

Merci  Jean-Pierre

S de l’A

Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m
Le pic de la Bernatoire  2516m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 21 Septembre 2021

On peut toujours compter sur Alain pour découvrir des sites inédits et intéressant principalement dans l’Aragon.

Partis à 7h30 de La Barthe sous un ciel bien incertain, pénétrant sous le tunnel  de Bielsa avec une magnifique température de 3°C, lorsque nous le quittons,  nous trouvons un ciel bleu que nous garderons toute la journée. L’option météorologique étant levée, nous nous laissons glisser jusqu’à la Fortunada et prenons la direction du joli petit village de Badain, tout proche.

Nous partons sud-est  et ne serons jamais très loin du rio Garona (rien à voir avec notre bébé Garonne du val d’Aran) que nous remontons par sa rive droite. Après 1 h de marche, nous traversons une passerelle qui nous fait changer de rive. Nous délaissons le circuit du retour pour nous enfoncer dans une gorge boisée et étroite dans le but de découvrir une résurgence certainement sauvage et intéressante. Mais après ¾ d’heures de marche, l’avant-garde du groupe est bloquée par une traversée à guet que l’abondance du débit d’eau du torrent ne recommande pas. Notre chef, dans sa grande sagesse estimant que ce n’est pas l’heure des baignades, nous fait faire demi-tour. Nul n’ayant envie de se tremper dans ces eaux tumultueuses, nous lui obéissons volontiers. Nous revenons à la passerelle et reprenons le circuit interrompu. Après une jolie petite montée  de près de 150m nous  émergeons sur une  large piste qui nous ramènera à Badain.

C’est l’heure du repas que nous prenons  sur un endroit accueillant au bord de cette piste, nous ne sommes pas gênés  par la circulation.

Ensuite, nous  la suivrons sur environ 4 km. C’est sur ce tronçon que nous jouirons du plus beau panorama de la sortie : Avec le Castillo Major omniprésent et au loin, le Mont Perdu et tous les grands sommets de l’Aragon.

 Un joli sentier  herbeux à Changardés nous permet de quitter la piste et nous ramène directement à Badin. Nous n’aurons pas beaucoup dénivelé 3 ou 400m tout au plus, mais aurons parcouru 15km.

Tradition oblige, c’est chez Louis que nous prenons le pot de l’amitié.

Belle découverte, Alain. Un grand merci.

S de l’A

Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain
Balade à Badain

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 14 Septembre 2021

Nous n’avons pas très souvent visité ce cirque coincé entre ses 2 grands frères qui sur le plan de la notoriété lui font beaucoup d’ombre.

Pourtant il mérite les presque 2 heures de voiture nécessaires pour l’atteindre depuis Lannemezan. Jadis, du lac des Gloriettes, nous sommes allés à la borne de Tuquerouille et sommes même montés à la brèche, où le plus beau panorama des Pyrénées (certes ce jugement n’engage que moi) récompense des efforts accomplis pour y parvenir.

Ce n’est pas sous cet angle que Danièle veut nous faire redécouvrir ce cirque. Elle nous fait partir, (nous sommes 23 à la suivre)  de la cabane de Groutte qui se trouve à 1800m sur la route anciennement à péage qui conduit au cirque de Troumouse.

A 9h30, nous quittons cette cabane et cheminons sur un large sentier orienté O.S.Ouest  peu pentu qui nous mène après 2,5 km au dessus du lac des Gloriettes. Nous  descendons 300m pour atteindre  le gave d’Estaubé en amont du lac et pénétrons  dans le cirque. Nous marchons plein sud sur un confortable sentier et, après 2 km arrivons à la cabane d’Esataubé. Quelques marmottes ont signalé notre incursion près de leur domaine, cela fait plaisir, nous n’en avons pas entendu beaucoup durant cette saison.

Cette cabane sera le lieu de notre repas mais auparavant, nous poussons un peu plus notre progression vers le centre du cirque. Nous  sommes  à une modeste altitude (1800m) mais nous jouissons d’un fabuleux panorama :  Du Piméné à notre droite jusqu’au pic d’Estaubé à notre gauche en passant par la familière hourquette d’Alans plusieurs  fois visitée, le Grand Astazou, le pic et surtout la brèche de Tuquerouille déjà citée.

Après une telle contemplation, nous revenons à la cabane.

Un anniversaire à célébrer entouré de tous ces sommets est une tradition bien agréable. Bon anniversaire Alain !

Les meilleures choses ayant une fin, vers 13h45, nous revenons vers le lac. Il nous reste ensuite à remonter les 300m que nous avons descendus ce matin, c’est en fait la principale ascension de la journée.  En plein soleil, l’après midi, cela demande un petit effort. La récompense ensuite,  est qu’il ne nous reste plus qu’à nous laisser porter par le large sentier  et profiter de la vue offerte par  les sommets  bordant la partie Est du cirque de Troumouse, du pic de Gerbat  jusqu’au pic de la Munia. Nous ane d’Aguila, la tour de Lieusaube.

Vers voyons une partie de  l’itinéraire de notre randonnée de dimanche dernier, la montée vers la cab

 16h nous sommes de retour à la cabane de Groutte, et un agréable pot de l’amitié, bien rafraichissant, vient clôturer cette journée.

Tu as fait découvrir à beaucoup d’entre nous un bel itinéraire. Nous avons passé une belle journée.

Grand merci, Danièle.

S de l’A

Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé
Cirque d'Estaubé

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0