Publié le 22 Juin 2020

Etymologiquement, Pène (comme Penia en espagnol) signifie crête rocheuse. On lui adjoint souvent un qualificatif comme cap des Pènes, ou Pène Blanque. Il découle de ceci que Pène Haute peut se traduire comme rocher haut ou rocher en hauteur.

Cette montagne somme toute modeste, 1461m,  jouit d’une bonne réputation de part la falaise qui borde sa face sud, de plus de 50m de hauteur, et qui fait le bonheur des amateurs d’escalade. Du col d’Estivère, un sentier conduit au pied de cette paroi et la varappe commence.

Il y a plusieurs décennies, une diagonale au milieu de cette falaise permettait de l’escalader sans trop de difficultés (aucun passage supérieur à II) et d’arriver ainsi au sommet. Cette ascension fut réalisée par des membres du club en 1988, guidés par Alain (qui nous fit faire bien d’autres prestigieuses randonnées pyrénéennes), nous lui adressons notre meilleur souvenir. Hélas cette diagonale a subit l’outrage du temps et de la végétation, elle n’est plus praticable.

Revenons au temps présent, Bernard nous propose d’emprunter un itinéraire ouvert récemment qui évite d’escalader la falaise.

Nous partons de Rebouc à 9h10 (du centre artisanal). Durant une dizaine de minutes nous longeons l’ancienne voie ferrée de la ligne Lannemezan-Arreau. Permettez une pensée nostalgique au sujet de ce petit train supprimé depuis 50 ans mais dont les rails sont toujours en place, semblant attendre (comme dans le château de la belle au bois dormant) que le passage d’un train vienne les réveiller.

Une fois de plus  je m’égare, heureusement Bernard ne s’est pas égaré. Après avoir quitté la vallée de la Neste au lieu dit, Cap de Tou, nous avons suivi un itinéraire balisé en rose qui nous a fait monter par des sentiers parfois un peu raides la face ouest de cette montagne, presque toujours en forêt. Nous avons atteint la crête (1173m) à 11h30, où y avons trouvé une étroite clairière sur du rocher. Elle nous nous a permis d’apprécier le paysage sur la vallée de la Neste, mais pas de laisser un groupe de 10 personnes y séjourner.

Quelques mètres plus loin, une autre clairière un peu plus vaste nous permit de nous installer pour   y  déguster notre repas. Elle est elle aussi au bord de la falaise mais un petit talus nous protège du vide. Nous sommes encore loin du sommet qui est à 1461m, un sentier pour l’atteindre est prévu mais actuellement la végétation interdit la progression sur la crête.

Le repas montagnard habituel pris, un examen du panorama qui nous est offert, avec le pic du Lustou au loin, admiré, à 13h nous entamons la descente. Au début le sentier étant humide et raide il faut faire un peu attention, mais ensuite la descente ne pose aucun problème.

Nous arrivons tranquillement vers 15h30 aux voitures. Il y a un anniversaire à fêter, la raideur annoncée de certaines parties du sentier nous avait dissuadés d’alourdir nos sacs. Ainsi quelques breuvages un peu gazeux restèrent sagement dans une glacière. Nous allâmes au bord de la Neste à Lortet où une magnifique table en schiste nous accueillit pour souhaiter un bon anniversaire à Annie.

Voila la conclusion d’un bien agréable dimanche. Merci Bernard.

Simon de l’Abreuvoir

Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute
Pène - Haute

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée

Repost0

Publié le 15 Juin 2020

Nous étions 17 à nous retrouver avec un  réel plaisir pour cette sortie facile et agréable, après 4 mois d’isolement pour certains. Même si  ce n’était pas le grand soleil, l’allégresse était dans tous les cœurs en attendant de voir si elle était aussi dans les jambes.

Josiane avait choisi un itinéraire facile et bien dégagé.

Quittant les voitures de la route forestière du Peyras (1150 m) à 9h50, nous suivons une piste qui nous conduit rapidement à la croix du Peyras. Ensuite un sentier bien marqué et balisé nous conduit sans problème au lac d’Aygue Rouye (1620m). Nous y sommes un peu avant midi. Afin de respecter les normes sanitaires en vigueur nous avons cheminé en 2 groupes. Les prairies dominant le lac sont très vastes, nous avons ainsi pu nous installer, suffisamment éloignés les uns de autres, assis sur des pelouses à l’herbe très douce.

Nous dominions ce joli lac et sa petite île. Il était malheureusement inutile de lever la tête les sommets environnant se refusaient à notre vue, en particulier le Liset de Hount Blanque ne dénia presque jamais  se dévoiler.

Le spectacle était au niveau du lac, par le paysage bucolique qu’il nous offrait.

 Il fut en plus agrémenté par l’arrivée d’un important troupeau de moutons descendant un sentier venant de l’est. Ces sympathiques ovins cheminant bien les uns derrière les autres sur plusieurs dizaines de mètres formaient un très joli ruban qui ondulait au grès de la pente. Afin de bien gérer  son unité, le berger marchait en tête et la bergère aidée par son chien, clôturait la marche.  Hélas, à l’approche du lac cet ensemble si bien ordonné vola en éclat. Si les moutons de  tête continuèrent à suivre leur berger sans se soucier des touristes qui mangeaient  près du lac, vers la fin du troupeau, certaines « brebis galeuses » qui n’étaient justement pas des brebis mais des chèvres capricieuses, rompirent ce bel ordonnancement et allèrent s’égailler auprès des touristes pour aller leur quémander quelques friandises. La bergère tenta vainement de ramener ces « brebis » égarée, elle comptait sur son chien pour accomplir cette tache, mais celui-ci, soit qu’il estima qu’il était 13h passées et que son travail était terminé ou qu’il fit jouer son droit de retrait ou tout autre raison, ne dénia  aider sa patronne. Ainsi quelques petites biquettes restèrent au milieu des randonneurs, à la grande joie des enfants.

Nous quittâmes ces lieux ravissants non sans avoir visité la petite cabane du lac et photographié une salamandre blottie sous une pierre plate.

Un retour rapide nous fit atteindre les voitures vers 15h. Etant trop nombreux pour aller déguster le pot de l’amitié, nous nous séparâmes en nous disant à très bientôt.

Très belle et sympathique sortie.

 Merci Josiane

Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m
Le lac d’Aygue Rouye 1620m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée, #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 13 Juin 2020


"En ce 11 juin ,7 marcheurs se sont retrouvés pour flâner sur les sentiers des "Petites Pyrénées" . Relief modeste, mais paysages bucoliques et préservés , propices aux observations .

Le chemin des Crêtes , à Lafitte - Toupière , démarre près d'un  charmant lavoir,  puis suit les bords d'une rivière aux vasques   ou se forme le tuf  .
Le long de prairies fleuries , nous trouvons pulmonaires , orchis pyramidal , lis martagon, et bien d'autres plantes ...Les crêtes calcaires , au climat plus sec et ensoleillé abritent un vrai jardin ,très coloré par des parterres de  Germandrée des pyrénées , oeillets de Montpellier, hélianthèmes ,et la curieuse  Leuzée conifère , dont la fleur ressemble a une pomme de pin surmontée d'un toupet rose
Quelques orchidées plus loin , nous retrouvons le lavoir,et entamons le pique-nique convivial, autour de 2 tables, histoire de respecter  certaines mesures sanitaires , mais sans oublier de trinquer tous ensemble .

La 2eme ballade part de l'abbaye de Bonnefond , fondée en 1136 par des cisterciens.  Belle allure     des bâtiments  ocres , hélas  encore fermés ce jour. Malgré cela ,,la Porterie, la grange de Peyrere dédiée aux travaux agricoles, l'église de Proupiary et tous les chemins bordés de murettes ont jalonnés  le chemin de Nankin, ainsi nommé grâce à un calcaire très coloré des environs  et dont les carrières ont été exploitées pour les besoins locaux de constructions . Ce même calcaire se trouve aussi en Chine à Nankin ...
Une autre bonne surprise fut la rencontre avec l'orchis Bouc  ,grande orchidée au long labelle entortillé , et qui fut photographiée sous toutes les coutures.

Deux petites randos pour faire marcher la tête et les jambes , avec des randonneurs heureux de partager ce patrimoine  naturel et architectural "  

Merci Monique

Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary
Les crêtes de Lafitte    Chemin de Nauquin à Proupiary

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée

Repost0

Publié le 16 Mars 2020

Nous étions 20, parmi nous, notre chef : Bernard, nous avait proposé de parcourir le circuit, Douly, Mont Aspet.

A Saint Laurent, notre lieu de rendez-vous, nous avions un ciel couvert, mais la météo était bonne nous allions trouver le beau temps. Après Nistos,  sur la route qui conduit à la station de ski de Cap Nestès nous montons dans le brouillard, mais lorsque nous arrivons à la cabane des Artigous vers 1350m, notre point de départ, nous nous trouvons au-dessus des nuages.

C’est ainsi que, tout confiants, bien chaussés et en laissant les raquettes dans les voitures, nous partons vers le pic de Douly. Une large piste,  un sentier, à la fin une prairie un peu pentue nous conduisent au sommet (1630m). Durant ce parcours en se retournant on voyait parfaitement le mont Aspet, notre future ascension. C’est la dernière fois que nous le vîmes .

Les nuages que nous avions laissés au niveau des Artigous nous ont suivis. Dès que nous quittâmes le sommet du Douly, nous fûmes dans le brouillard. C’est en tâtonnant, en descendant un peu trop à l’Est dans un premier temps, puis en rectifiant le tir que nous nous dirigeâmes vers la cabane de la Prade 1629m. Nous avons contourné le pic de Belloc par le nord, sans même le voir.

Il est presque midi lorsque nous sommes à la cabane. Monter au mont Aspet dans ces conditions n’enchante personne. Nous dégustons donc notre repas dans ce lieu, le dos contre les murs de la cabane et devant nous, un mur de brouillard.

Ironie de l’histoire, lorsque nous sommes presque prêts à repartir, le ciel se dégage et nous revoyons le mont Aspet qui semble nous attendre. Cependant,  après manger, personne ne souhaite effectuer cette raide grimpette de 230m. De plus le brouillard revient, mais une piste sure nous ramène à nos voitures (que nous apercevons au tout dernier moment).

Vers 15 h nous nous retrouvons à Saint Laurent, en nous promettant de refaire ce circuit qui par beau temps est très agréable.

Merci à toi, Bernard de nous avoir conduits au pic de Douly et de nous avoir ramenés à bon port.

Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard
Douly et brouillard

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 9 Mars 2020

Au programme de ce Dimanche c'étaient les Crêtes de Culentous mais les chutes de neige abondantes de ces derniers jours en ayant bloqué la route d'accès il a été décidé de changer de destination.

   Le risque élevé d'avalanches nous conduisant à choisir une randonnée sûre c'est sur les Crêtes du Louron que nous allons profiter de la neige fraîche et d'un beau soleil printanier.  

   Départ du col d'Azet à 1520 m vers 9heures 15,  nous chaussons les raquettes tout de suite et atteignons le Tuc du Labatiadère à 1732 m en une heure.

   Nous obliquons ensuite vers le Nord Ouest vers le Rocher de Peyres Aubes puis plein Nord jusqu'à l'orée du Bois de Pyarre  .

   Il est 11h 15 et nous décidons de faire demi-tour à la côte 1600 m pour remonter jusqu'au Rocher de Peyres Aubes où nous arrivons à l'heure du repas qui est pris devant le panorama grandiose des pics enneigés de la Vallée d'Aure et du Louron .

   Retour ensuite par le chemin de la montée jusqu'au Col d'Azet atteint vers 14 h.

  

   Nous avons parcouru près de 9 km pour 330 m de dénivelé et surtout profité d'un beau soleil dont nous étions privés depuis trop longtemps.

Merci Jean-Pierre

Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron
Crêtes du Louron

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #raquettes à neige

Repost0

Publié le 2 Mars 2020

La Montagne du Pin est une nouvelle fois au programme du Club ce Dimanche 1er Mars  mais on peut compter sur Richard pour nous y mener par un chemin inconnu de tous.

 Avec le beau temps nous sommes treize à prendre la direction de Bareilles puis par la route forestière du Bois de Tragnes nous parvenons au départ d'une piste à la côte 1536 m où nous laissons les voitures vers 9 h15.

 La pente est d'entrée très raide et nous atteignons après cent mètres le chemin de la Serre vers 1650m .

  En suivant la Crête de la Serre où nous jouissons d'un superbe panorama à droite sur les sommets de la vallée d'Aure et à gauche sur les Serres de Montaut et du Pin, nous sommes au pied de la Montagne du Pin vers 10h 10.

 L’ascension par cette arête est moins pénible que par les granges de Jézeau que nous apercevons à notre gauche.

 Nous suivons une belle corniche de neige et, aiguillonnés par un grain venant de l'Ouest, nous touchons le sommet  à 11 heures.

  L'idée initiale de Richard était de poursuivre la randonnée vers la Montagne d'Areng toute proche ce qui aurait été très envisageable compte tenu de l'heure mais le grain qui nous rejoint alors se transformant en véritable tempête de vent glacial et de neige la descente est immédiatement entamée.

  Le vent se calmant au gré de la perte de dénivelé c'est avec le soleil que le pied de la Montagne est atteint à une heure raisonnable pour prendre le casse-croûte.

  Pas de sieste après le repas car les organismes sont encore marqués par le froid du sommet et les voitures sont rejointes vers 13 heures par le même chemin qu'à la montée.

 

  Une très jolie randonnée de 6,5 km pour 500m de dénivelé.

 

   Encore une fois merci Richard. !

Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m
Montagne du Pin 2001 m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 25 Février 2020

Lorsque Maithé a proposé cette randonnée, au mois d’octobre précédent, elle pensait que nous chausserions les raquettes assez rapidement après le départ du joli petit village d’Artigue (1222m). Mais les raquettes sont au chômage longue durée, elles n’ont même pas eu droit à une balade en voiture au cas où…

Donc sans elles, nous quittons Artigues à 9h, et nous  dirigeons vers la cabane de Saunères atteinte vers 10h20. Après une petite halte nous nous allons vers la cabane de Peyrehitte. Depuis Saunères,  2 itinéraires sont possibles : soit, monter en crête, itinéraire élégant, soit emprunter une piste qui monte plus régulièrement que le chemin de crête et arrive au même endroit vers la cabane de Peyrehitte. Presque tout le monde choisit le bel itinéraire, une faible minorité prend la piste, éternel débat entre l’efficacité et le panache !!

Nous nous retrouvons à 11h30 au pied du Montmajou, il nous reste à gravir les 140m qui nous séparent du sommet. La  montée est  assez raide, sans sentier, chacun choisit un itinéraire à sa convenance ;  à midi tout le monde est au sommet. Il est  très vaste et plat, ce qui explique son appellation.

Quelques plaques de neige nous rappellent que nous sommes en février et permettent de rafraîchir quelques boissons qui  célèbreront un anniversaire.

Une fois les bouteilles au frais, nous contemplons un panorama grandiose allant du pic de Maubermé  jusqu’au pic du Midi. La neige présente au delà de 2000m donne  à ce tableau  une touche merveilleuse.

Le repas terminé et l’anniversaire souhaité,  à 13h30, nous prenons le chemin du retour et retrouvons Artigue à 15h30.

C’est le café de Montréjeau qui nous accueille pour prendre le pot de l’amitié.

 Nous parcourons toujours cette région avec un grand plaisir, merci à vous,  Maithé et Raymond.

Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m
Le plan de Montmajou  2081m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 17 Février 2020

 

 

Ce Dimanche de mi-Février Richard nous propose une sortie dans « son jardin » du Louron.

La neige est désespérément absente de la moyenne montagne et les raquettes resteront à la maison ce qui arrange plutôt beaucoup de randonneurs.

 Nous sommes treize à l'accompagner au départ, à neuf heures, de Cazaux-Dessus à l'assaut du Sommet de l'Aigle . Le club connaît bien ce sommet mais c'est à chaque fois différent grâce à Richard qui nous propose une variante (étonnant non?) en partant plein Sud de Cazaux par la piste habituelle de la crête de Portet mais en la quittant dès le premier virage pour nous engager à droite dans une montée très raide dans la forêt.

  Après quelques minutes de peine nous débouchons sur la crête parallèle à celle de Portet mais plus au Sud, et nous jouissons déjà là d'une vue somptueuse sur la vallée du Louron au timide soleil du matin.

  Nous suivons alors plein Est la crête jusqu'à rejoindre la piste de la Crête de Portet et gardons le cap à l'Est jusqu'au Sommet de l'Aigle à 2078m que nous atteignons vingt minutes avant midi et où nous retrouvons notre amie de Mont partie de chez elle.

   En ayant encore sous la semelle la moitié de l'effectif suit Richard jusqu'au Pouy Louby voisin à 2091 m avant de reformer le groupe pour le repas ajoutant 120 m de dénivelé et trois quarts d'heure de marche au total de la rando compte tenu de la remontée au sommet de l'Aigle.

   Un peu plus bas que le sommet, à l'abri relatif d'un vent violent, nous fêtons deux anniversaires et prenons un casse-croûte rapide compte tenu du froid causé par le vent.

   La descente reste classique jusqu'au Cap de Peyrehicade mais le « mordu de variantes » nous propose  d'accompagner notre amie jusqu'à Mont ce que nous faisons en descendant dans la Coume Longue au pied Sud du Cap du Tuquet, pour atteindre en traversée le col de Collantigue à 1615m,  au Sud du Cap de Bosc Grand.

   De là nous suivons la très jolie crête  passant par Pène d'Aube 1631m pour descendre jusqu'à Mont.

   Notre amie « abandonnée » nous suivons le très pittoresque chemin ancestral passant par la charmante église de Saint Calixte  pour rejoindre à 17h 15 les voitures à Cazaux Dessus.

 

  Merci Richard pour cette très jolie randonnée « surprise » de 13,300 km et 1036m de dénivelé et un peu plus de 14km pour 1156 m pour les plus courageux.

Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m
Sommet de l'Aigle 2078 m

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 10 Février 2020

Toujours pas de neige en moyenne montagne, raquettes au chômage (situation qui ne déplait pas à tout de monde), Bernard décide de nous conduire sur les hauteurs de la vallée de Campan, vers le Courtaou de Teilhet.

Nous quittons Campan vers 9 h, puis après avoir traversé l’Adour, nous prenons un sentier nord-est,  assez raide mais confortable. Vers 10 h, nous partons plein Est et cheminons un long moment en forêt. Nous la quittons au niveau du Courtaou du Teilhet (1218m). Au loin nous apercevons le Casque du Lhéris maintes fois gravi. Il n’est que 11h, le chef décide de poursuivre notre progression  vers le Casque. Ce vallon dans lequel nous sommes est très agréable. Nous allons jusqu’au Pla  d’Espet , musardons, échangeons avec d’autres groupes de randonneurs ; nous ne sommes pas les seuls à fréquenter cette région.

Ensuite, retour vers le Courtaou où nous avions décidé de manger, mais, à tout prendre, Bernard pense qu’il serait préférable d’aller jusqu’au sommet du Teilhet, à seulement 70m au-dessus. Il est suivi par toute la troupe qui peut ainsi contempler à loisir un magnifique paysage. Un petit vent assez frais ne nous incite pas à prendre notre repas en ce lieu, nous redescendons au Courtaou, où, bien à l’abri, sur le lieu d’une ancienne cabane, nous dégustons enfin notre repas. Auparavant nous sommes allés voir un large puits bien muré mais sans margelle, (attention en cas de brouillard) appelé « la glacière ». Ce patronyme désigne son ancienne fonction.

A 13h30, après une visite à la cabane du Courtaou, nous redescendons par un sentier très bien tracé mais  pierreux dans la Coume d’Articaou. A l’altitude 835m, un sentier dans l’axe de la vallée nous ramène à Campan. Quelques arbres abattus par la tempête récente ajoutent un petit piment à notre progression. Nous retrouvons Campan vers 15h et un sympathique bar nous invite à y boire le pot de l’amitié agrémenté de quelques gâteaux.

Tu nous as conduits dans un superbe endroit, pour certains ce fût une découverte.

Très bonne idée  et un grand merci,  Bernard

Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.
Le Teilhet 1287m.

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0

Publié le 4 Février 2020

C’est une très belle météo qui incite 21 randonneurs à aller visiter la région d’Hautacam.

Nous quittons la station à 9h45 et,  sous la direction de Jean-Pierre, nous projetons d’aller gravir les pics de Barran et du Mont. Etant donné le faible enneigement, le chef a décidé que les raquettes resteraient sagement dans les coffres des voitures. Le magnifique temps promis n’était pas tout à fait au rendez-vous, ciel couvert et vent ont accompagné notre départ.

Nous empruntons une piste jusqu’au col de Moulata  puis,  nous continuons au sud-est par un sentier qui nous conduit à la Hourquette d’Ouscouaou . Nous avons auparavant laissé à notre droite le sentier qui mène au lac d’Isaby, recouvert de neige,  que nous voyons en contrebas.

Une petite visite à la cabane de la Hourquette s’impose. Il nous reste ensuite 100m à monter pour atteindre un petit col puis le sommet du pic de Barran. Nous y sommes vers 12h15.

Double satisfaction, le panorama annoncé est réellement splendide et le soleil qui nous a boudés jusque là,  daigne enfin nous réchauffer. Il ne nous quittera plus.

La randonnée n’est pas terminée,  le pic du Mont  nous appelle. Dans le groupe, tout le monde ne répond pas à cet appel et 4 randonneurs, estimant qu’ils ont rempli leur contrat, restent sur place. Les autres,  plus vaillants, allégés il est vrai de leur sac à dos vont au  pic du Mont. De là le Montaigu  leur semble si proche, que certains (en rêve) s’y verraient déjà !!

Un anniversaire à fêter pendant le repas, une légère sieste et vers 13h45, nous entamons la descente.

Nous ne prenons pas le même itinéraire, nous descendons plein ouest et toute crête vers le Clôt du Serpent puis nous retrouvons le sentier du matin qui, passant à la base sud du pic de Naouit, nous conduit au col de Moulata puis à la station que nous atteignons vers 15h30.

Surprise, il y avait 2 autres anniversaires à fêter ! Un gâteau nous attend !

Nous n’allons pas souvent dans ce secteur pourtant magnifique mais un peu lointain.

Un grand merci, Jean-Pierre de nous l’avoir fait redécouvrir.

Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont
Les pics de Barran et du Mont

Voir les commentaires

Rédigé par club ski et montagne de la neste

Publié dans #randonnée en montagne

Repost0