Publié le 26 Octobre 2020

    Au calendrier de ce Dimanche 25 Octobre 2020 était prévu le sommet d'Anténac depuis le Port de Balès.  La route étant officiellement fermée, Richard nous a prévu un circuit à partir de Bourg d'Oueil.

    Départ du village à 9h 20 . Nous sommes vingt à emprunter plein Est la route du Port de Balès sur un kilomètre et à la première épingle nous prenons une piste qui s'élève doucement vers le Nord.

    Après sept kilomètres nous atteignons le Port de Balès à 1755m. vers 11h 30.

    Là le groupe se scinde en deux les uns allant vers le refuge du Mont Né à 1840m où ils prendront leur repas, les autres se lançant à l'assaut du Mont Né par sa crête Est. Le sommet est atteint vers 13h à 2147m.

    Après avoir profité d'un panorama grandiose nous pique-niquons rapidement à cause d'un vent glacial et redescendons plein Sud vers le Port de Pierrefitte à 1855m où nous retrouvons nos amis du premier groupe.

    Nous descendons ensuite Sud-Est par une variante du GRP Tour d'Oueil-Larboust. C'est un sentier bien tracé qui nous mène, par des paysages variés recelant ça et là quelques champignons, jusqu'au village de Bourg d'Oueil où nous retrouvons les voitures vers quinze heures, juste avant la pluie.

 

    Nous avons parcouru près de quinze kilomètres pour un dénivelé cumulé de 900 m.

 

   Une très agréable sortie aux chatoyantes couleurs d'automne.

 

    Merci Richard.

Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
Bourg d'Oueil  -  Le Monné
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Publié le 19 Octobre 2020

 

   En manque de soleil depuis quelques semaines il nous fallait profiter d'un beau Dimanche en évitant la neige tombée récemment.  Le pic de Miqueù, 1464 m selon Open street ou 1452 m selon IGN, nous a paru tout indiqué pour remplacer le 3000 inscrit au calendrier.

  

   Nous nous retrouvons à quinze randonneurs au départ vers 8h 50 du monastère des Sœurs de Bethléem au Sud de Saint Pé de Bigorre à 401m d'altitude. Nous empruntons Sud-Ouest un beau chemin  ancestral bordé de pierres sèches et de buis et quittant l'itinéraire classique indiqué « Cabane d'Aülhet » nous prenons tout droit un un joli sentier proposé par le topo d'un randonneur local.

   Nous franchissons un ravin encaissé aux allures amazoniennes,  traversons le lieu-dit « Castet » parsemé de ruines et commençons une ascension soutenue vers le « Sarrat dets Castets » sur un sentier à peine tracé balisé en bleu. C'est un sentier de chasseurs très souvent encombré d'arbres couchés par les tempêtes rendant la progression lente et difficile, à la limite de la réserve biologique intégrale de St Pé.

   Atteignant la crête nous basculons vers la Coume Rédo, un autre ravin bien encaissé que nous franchissons, ainsi qu'un deuxième, d'un affluent, pour atteindre plein Est le Pla de Bers un peu en dessous du carrefour coté 824m. où arrive l'itinéraire classique vers le sommet.

Laissant à droite plein Sud la voie classique nous empruntons en face le sentier historique des Charbonniers dit des Tachouères ( blaireaux en bigourdan) rejoignant Bat Seco et les estives d'Aülhet. Ce sentier traverse une magnifique hêtraie de haute futaie et l'on peut apercevoir sur la droite , dans des dolines les vestiges de fours métalliques des charbonniers qui transformaient le bois en charbon de bois, activité qui dura jusqu'à la deuxième guerre mondiale.

   Poursuivant l'ascension en passant au pied du Puntou de las Crampes (1016m) très pittoresque, nous sortons enfin de la forêt sur les estives de l'Aülhet où nous parvenons rapidement à la cabane-refuge du même nom à 1170m. atteinte vers 11h 45.

   C'est un bâtiment de construction récente en bois, partagé entre une habitation de berger et un refuge non gardé mais très bien aménagé.

 

   Après une petite pause ensoleillée, abandonnant avec les sacs un petit groupe en ayant assez avec les 800 m gravis, la troupe se dirige plein Sud dans les pelouse en direction du col d'Espadres traversant les magnifiques estives d'Artigues.

   Parvenus au col de Larbastan à 1240 m nous sommes au pied du Pic de Miqueù et nous le contournons par la droite suivant un sentier un peu moins raide en foulant des vestiges de la neige tombée récemment. Le sommet est « vaincu » vers 12h 45et nous pouvons y jouir d'un magnifique panorama à 360 degrés sur la Chaîne enneigée vers le Sud et la plaine de Bigorre vers le Nord. 

 

   Après une descente rapide nous rejoignons nos amies au refuge pour un repas très attendu et mérité sous un soleil automnal bien revigorant.

 

   Il faut bien redescendre et nous empruntons pour cela, vers 14h05, le sentier du Mesplé derrière la cabane en direction de Bat de Haü, plein Ouest jusqu'au Couret Béroy où on oblique plein Nord sur l'arête du Sarrat dets Castets par le sentier très peu marqué dit des Brioles.

    Restant toute crête nous descendons sur une pente assez raide dans une belle forêt de hêtres, hérissée de rocher moussus parfois fantomatiques qu'il faut contourner.

    Nous atteignons le lieu remarquable de Calihourc un vaste lapiaz de roches parfois dressées à l'esthétique originale mais indéniable probablement le repaire de quelques lutins ou farfadets.

    Passant goulets étroits, arbres arrachés et une cheminée rapidement équipée d'une sangle nous suivons toujours la crête jusqu'à tomber avec soulagement sur le chemin emprunté à l'aller au lieu-dit Castets.

    Les voitures sont retrouvées près du monastère à 16h 25.

  

   Nous aurons parcouru 10,5 km pour un dénivelé positif de 1283m.

 

   Comme le précise l'auteur du topo suivi « cette randonnée s'effectue en pleine nature dans un environnement plutôt agressif : pentes raides barres rocheuses, escarpements, épineux, parfois même absence de sentier... C'est pourquoi elle est réservée à des randonneurs aguerris, sportifs et ayant un bon sens de l'orientation. Un GPS peut également se révéler très utile. »

   C'est pour cela que je félicite tous les participants qui ont surmonté toutes ces épreuves avec brio et sans la moindre récrimination en y prenant même, j'en suis sûr, un grand plaisir prouvant encore une fois le bon niveau du club d'Anères .

 

   Jean Pierre

Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.
Pic de Miqueù 1464m.

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Publié le 13 Octobre 2020

Ce dimanche  11 octobre ne commence pas sous de bons hospices météorologiques. La sortie initiale dans la haute vallée d’Aure a été à juste titre annulée.

Nous nous apprêtions à passer un dimanche au coin du feu, lorsque Monique a secoué notre torpeur en nous proposant de faire un petit circuit en Barousse. Ce circuit est édité par l’office de tourisme de la Barousse (Rendons à César ……………..)

Nous partons vers 9h30 de Mauléon-Barrousse avec les imperméables et des parapluies. Nous empruntons une large piste très romantique avec ses couleurs d’automne et ses feuilles mortes répandues sur le sol. Elle nous conduit plein sud vers le village d’Esbarreich.  C’est un très joli village très typique.

Nous le quittons et allant toujours plein sud,  arrivons à Sost, le dernier village de la Barousse. Il est adossé coté ouest au Mont Las qui le domine abruptement de 1000m. On peut contempler  (par temps dégagé, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui) le pic de Hourmigué plein est.

Nous changeons totalement d’orientation et repartons plein nord par une série de pistes qui vont nous conduire à la Croix de Crouzet. C’est une vaste esplanade accessible par la route qui est assez fréquentée l’été, elle est équipée de plusieurs tables de pique nique. C’est surtout aux yeux de certains un des points  de départ du pic de Hourmigué (toujours lui !). Nous empruntons cette piste sur quelques 500m, repartons au nord, traversons le ruisseau des Tours et retrouvons une autre piste qui va nous nous ramener à Mauléon.

Nous avons mis 3h30 pour effectuer ce circuit. Il est familial, très sympathique, il fait 12 km et l’on dénivèle de 360m, rien de bien éprouvant.

Nous pouvons ensuite déguster notre pique-nique bien à l’abri de la pluie et fêter comme il se doit deux anniversaires.

Malgré ce temps maussade et pluvieux, tu nous as fait découvrir un bien joli circuit. Grand merci Monique.

S de l’A

Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
Le circuit de Peyremilla
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Publié le 1 Octobre 2020

Il fallait y croire, une météo catastrophique vendredi et samedi, des chutes de neige à partir de 1500m. Météo-France prédisait une amélioration des conditions pour dimanche, nous l’avons cru et nous avons eu raison. C’est un ciel étoilé que l’on pouvait découvrir dimanche en fin de nuit. Par contre il ne faisait pas bien chaud et quelques vêtements d’hiver sortirent des placards.

Chaudement vêtus,  nous nous retrouvâmes à 14 pour partir en randonnée. Abandonnant notre projet initial (les étangs de la Fraiche, trop élevés  en altitude) nous partîmes vers la cabane de Salode.  Elle est située dans le massif du Burat-Bacanère. Elle se trouve au pied des pics de Burat et du pic de Maupas.

Nous quittons nos voitures à Gouaux de Luchon vers 9 h et en suivant une piste tranquille, nous arrivons vers 11h à la cabane. Nous en ferons notre lieu de pique-nique, mais la piste se prolongeant vers l’EST, nous la poursuivons. A partir de ce lieu, le groupe s’étire, comme un peloton de cyclistes lors de la montée d’un col. Les premiers voudraient suivre la piste qui serpente au pied du Burat et se dirige vers le pic de Bacanère. D’autres, moins motivés se contentent de suivre de loin. Il faut dire que dès la cabane, nous avons trouvé la neige, la première de l’année. Au fur et à mesure que nous prenons de l’altitude, la couche s’épaissit  et,  vers 1800m, même les plus vaillant(es) doivent faire demi-tour. Autre facteur, le ciel si bleu qui nous a accompagnés jusque là commence à bien se voiler.

Il serait de fort mauvais gout d’émettre l’idée que la perspective de fêter un anniversaire a donné à certains,  l’envie de rallier le plus rapidement possible la cabane. Cette mise au point étant faite, vers 12h30, nous souhaitons un bon anniversaire à Gérard.

Le ciel, bien que voilé reste bienveillant, et nous pouvons apprécier longuement ce lieu qui nous offre un beau panorama sur tout l’ensemble des monts du Luchonnais, magnifiquement parés de leur nouveau manteau blanc.

Vers 13h45 nous quittons ces lieux non sans avoir dit au revoir à un gentil chien de berger qui nous a tenu compagnie pendant notre repas.

Nous nous retrouvons à Gouaux vers 15h30. Une petite visite à Luchon pour y déguster quelques boissons, et nous prîmes le chemin du retour.

Cette cabane judicieusement placée, nous a permis de passer une bonne journée. Remercions-là.

Merci Jacques

La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.
La cabane de Salode 1561m.

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