Les pics de Barran et du Mont
Publié le 4 Février 2020
C’est une très belle météo qui incite 21 randonneurs à aller visiter la région d’Hautacam.
Nous quittons la station à 9h45 et, sous la direction de Jean-Pierre, nous projetons d’aller gravir les pics de Barran et du Mont. Etant donné le faible enneigement, le chef a décidé que les raquettes resteraient sagement dans les coffres des voitures. Le magnifique temps promis n’était pas tout à fait au rendez-vous, ciel couvert et vent ont accompagné notre départ.
Nous empruntons une piste jusqu’au col de Moulata puis, nous continuons au sud-est par un sentier qui nous conduit à la Hourquette d’Ouscouaou . Nous avons auparavant laissé à notre droite le sentier qui mène au lac d’Isaby, recouvert de neige, que nous voyons en contrebas.
Une petite visite à la cabane de la Hourquette s’impose. Il nous reste ensuite 100m à monter pour atteindre un petit col puis le sommet du pic de Barran. Nous y sommes vers 12h15.
Double satisfaction, le panorama annoncé est réellement splendide et le soleil qui nous a boudés jusque là, daigne enfin nous réchauffer. Il ne nous quittera plus.
La randonnée n’est pas terminée, le pic du Mont nous appelle. Dans le groupe, tout le monde ne répond pas à cet appel et 4 randonneurs, estimant qu’ils ont rempli leur contrat, restent sur place. Les autres, plus vaillants, allégés il est vrai de leur sac à dos vont au pic du Mont. De là le Montaigu leur semble si proche, que certains (en rêve) s’y verraient déjà !!
Un anniversaire à fêter pendant le repas, une légère sieste et vers 13h45, nous entamons la descente.
Nous ne prenons pas le même itinéraire, nous descendons plein ouest et toute crête vers le Clôt du Serpent puis nous retrouvons le sentier du matin qui, passant à la base sud du pic de Naouit, nous conduit au col de Moulata puis à la station que nous atteignons vers 15h30.
Surprise, il y avait 2 autres anniversaires à fêter ! Un gâteau nous attend !
Nous n’allons pas souvent dans ce secteur pourtant magnifique mais un peu lointain.
Un grand merci, Jean-Pierre de nous l’avoir fait redécouvrir.